INFOLETTRE
La Minute bovine : décembre 2022

 

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Nouvelles de La Financière agricole du Québec

Nouvelles de l’Association canadienne des bovins

 

 

COUP D’OEIL SUR LES MARCHÉS DU BOEUF ET DU VEAU

 

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Cliquez sur un secteur pour les prix du marché

BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

Filière boeuf et veau

  • AGA 2023 : Hôtel Le Concorde à Québec – 28 et 29 mars (RÉSERVEZ LA DATE À VOTRE AGENDA)

 


Les incendies de bâtiments agricoles peuvent être tragiques pour les exploitants et la perte d’animaux d’élevage, de bâtiments et d’équipement peut être dévastatrice à bien des égards. Cette formation en ligne de 15 heures vous fournit les outils nécessaires pour prévenir et éviter ces incidents.

        • Débute le 18 janvier 2023
        • Date limite d’inscription : 11 janvier 2023 (places limitées)
        • Offert par le Cégep de Victoriaville

Cliquez ICI pour en savoir plus. 

 


Réservez votre soirée du 18 ou 25 janvier prochain puisque vous aurez la chance d’assister à des conférences d’experts et d’un producteur vache-veau. Inscrivez-vous!

 

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ACTUALITÉS

Joyeuses fêtes de la part des PBQ!

Source : PBQ

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Les PBQ présents à la COP15 – Biodiversité

Mme Francine Trépanier, membre du comité exécutif des PBQ, et
Mme Nathalie Côté, agronome et directrice des affaires agronomiques, ont participé en tant que déléguées officielles à la COP15 sur la biodiversité.

Elles étaient présentes à l’événement Célébrer la conservation de la biodiversité et la durabilité agricole qui a eu lieu au Pavillon du Canada, le 8 décembre.

Cet événement se tenait autour de trois thématiques, soit :

  • La biodiversité nécessite des milieux humides, des prairies et du bétail;
  • La biodiversité nécessite des habitats dans les paysages cultivés;
  • La biodiversité nécessite du riz durable.

 

L’objectif était de présenter les activités de notre programme de biodiversité en production bovine réalisées pendant l’été 2022 et favoriser les échanges positifs sur le rôle des bovins pour la biodiversité.  

Les invités pouvaient visionner des vidéos et photos des différents bienfaits de la production bovine sur la biodiversité.

 

C’est quoi la COP15?

La conférence des Nations Unies sur la biodiversité, COP15, qui se tenait du
7 au 19 décembre 2022 à Montréal, regroupe les gouvernements du monde entier pour établir un plan d’action global en faveur de la biodiversité. Bien qu’elle ressemble à la COP27, la récente conférence des Nations Unies sur le climat qui s’est tenue à Charm el-Cheikh, les deux réunions portent sur des questions différentes, mais connexes. 

La COP27 s’est penchée sur les mesures à prendre dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Son objectif était de réduire les émissions de gaz à effet de serre et s’adapter à ces changements.

La COP15 se concentrera sur le monde vivant à travers la Convention sur la diversité biologique. Cette convention est un traité adopté, entre autres, pour la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique. La Conférence des Parties (COP) sur la biodiversité a lieu tous les deux ans. Cette année est particulièrement importante, car un nouveau cadre mondial pour la biodiversité doit être adopté.

Source : PBQ

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PAD : Le Ministre Lamontagne annonce que 1 000 entreprises agricoles supplémentaires pourront bénéficier d’un soutien financier

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, a profité de son passage à la COP15 pour annoncer qu’un deuxième groupe de productrices et de producteurs agricoles pourra profiter de l’Initiative ministérielle de rétribution des pratiques agroenvironnementales. Grâce à une enveloppe additionnelle de 29 M$, pour la période 2022-2027, annoncée lors du Discours sur le budget de mars 2022, ce sont près de 1 000 entreprises agricoles supplémentaires qui pourront s’inscrire à l’Initiative dès le mois de février 2023. Lire la suite

Source : MAPAQ

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Le programme fédéral FAFC, c’est quoi et comment peut-il vous être utile?

Le Fonds d’actions à la ferme pour le climat est un programme fédéral doté d’un budget de 200$ M$ à l’échelle canadienne. Il vise à aider les producteurs agricoles à participer à la lutte contre les changements climatiques et à adopter des pratiques de gestion bénéfiques visant à stocker le carbone et à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Le programme vous intéresse?

Le Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF) agit à titre de mandataire québécois pour le programme Gestation intensive des pâturages de l’Association canadienne pour les plantes fourragères, financé par le FAFC. Le CQPF a confié la promotion du programme, la réalisation des plans de pâturage et l’accompagnement à un groupe de conseillers formés. Ce sont eux qui vous aideront à présenter vos projets.

Vous pouvez obtenir la liste de ces conseillers auprès du CQPF à l’adresse info@cqpf.ca.

Pour plus d’information sur le programme, les dépenses admissibles et non admissibles, l’aide financière disponible et les conditions d’admissibilité et modalités, cliquez ICI.

Source : PBQ

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Interventions des PBQ au Congrès de l’UPA

Résolution visant à assurer la pérennité du Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA)

À la suite d’une concertation avec tous les présidents des productions sous ASRA, le président des PBQ, Jean-Thomas Maltais, a présenté une résolution extraordinaire adoptée par le Congrès de l’UPA visant à ce que le gouvernement réitère son engagement envers le Programme ASRA.

Prenez connaissance de la résolution complète ICI.

Questions aux ministres de l’Agriculture

Au ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Marie-Claude Bibeau

À la suite de l’allocution de la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Marie-Claude Bibeau, le président des PBQ, Jean-Thomas Maltais, a questionné la ministre concernant les programmes de sécurité du revenu en place. M. Maltais lui a adressé la question suivante :

Au-delà de la bonification du taux de compensation en cas de déclenchement du programme Agri-stabilité, y a-t-il d’autres améliorations prévues à court terme aux programmes de gestion des risques de l’entreprise afin de soutenir les entreprises agricoles pendant cette conjoncture particulièrement difficile?

Mme Bibeau a répondu que son gouvernement a l’intention d’améliorer les programmes de gestion des risques, tout particulièrement en les adaptant aux risques climatiques.

Pour visionner l’entièreté de l’allocution de Mme Bibeau, suivez le lien suivant : https://fb.watch/hwrTVqBKRx/

 

Au ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne

À la suite de l’allocution du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne, le vice-président des PBQ, Philippe Alain, a questionné le ministre au sujet de l’impact de la hausse du coût des intrants sur les entreprises agricoles. M. Alain a posé la question suivante :

Est-ce que vous vous engagez à actualiser et à moderniser les programmes de gestion afin qu’ils soutiennent adéquatement les entreprises agricoles pour traverser cette tempête parfaite?

 

M. Lamontagne a répondu que les programmes en place, à la base, sont faits pour tenir compte de la variation dans les conditions de marchés et des coûts de production. Ce dernier affirme comprendre que la situation actuelle est insécurisante et difficile pour les entreprises et que La Financière agricole du Québec, Agriculture et Agroalimentaire Canada et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec contribuent à faire en sorte que les différents programmes puissent accompagner les producteurs et répondre aux difficultés de la meilleure façon possible. Il a également mentionné que le gouvernement ne peut pas de miracles, mais qu’il souhaite continuer d’accompagner les producteurs afin que ces derniers deviennent continuellement plus compétitifs pour être moins affectés par ces aléas économiques.

Pour visionner l’entièreté de l’allocution de M. Lamontagne, suivez le lien suivant : https://fb.watch/hwvlEyaylR/

Source : PBQ

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Nouvelle édition du cahier Bovins du Québec disponible!

Source : PBQ

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Dura-Boeuf : Nathalie et Sirine veulent connaître votre opinion

En octobre, certains d’entre vous ont parlé de ce qu’ils voulaient comme outil technologique et de ce qui les bloquait à les utiliser ou à changer leurs pratiques.

Maintenant, on vous sonde plus précisément à partir des commentaires recueillis.

Crédit photo : Sabrina Belzil/Groupe NH Photographes

 

Source : PBQ

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Extranet de nouveau accessible

Veuillez prendre note que tous les sites extranet des producteurs de bovins sont à nouveau accessibles par le site des Producteurs de bovins du Québec.

Voici le lien : http://www.bovin.qc.ca/

Si vous avez des difficultés à vous connecter à votre compte, veuillez contacter :

Bouvilllon d’abattage : Isabelle Gingras au 450-679-0540 poste 8545 ou à igingras@upa.qc.ca.

Veau de grain : Stéphanie Demers au 450 679-0540 poste 8637 ou à stephaniedemers@upa.qc.ca.

Veau de lait : Denis Pelletier au 450 679-0540 poste 8263 ou à dpelletier@upa.qc.ca.

Veau d’embouche : Laurie Noiseux au 450 679-0540 poste 8482 ou à lnoiseux@upa.qc.ca.

Source : PBQ

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Reconnaissance des 30 années de service de Mme Hélène Martin

Nous tenons à souligner les 30 années de service de Hélène Martin au sein des PBQ.

Hélène occupe actuellement un poste de technicienne comptable. Elle est une personne souriante, dynamique et travaillante.

Merci, Hélène, pour ton excellent travail tout au long de ses 30 années! Nous t’en sommes très reconnaissants.

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Calendrier des encans réguliers durant la période des Fêtes

Source : PBQ

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Addenda à la Convention aux fins de la vente de bovins de réforme et de veaux laitiers

Le comité de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers a unanimement accepté l’addenda à la Convention aux fins de la vente de bovins de réforme et de veaux laitiers négocié avec les deux associations d’encans. 

L’entente est d’une durée de trois ans et porte principalement sur les points suivants :

  • Élaboration d’un protocole de biosécurité pour chaque encan;
  • Affichage des informations sur les panneaux dans les arènes de vente;
  • Rajustement des frais de service.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Sondage Omnibus

 

Un premier sondage Léger avait été mené l’an dernier pour évaluer la performance de la marque et la place du veau dans les habitudes de consommation des Québécois. Afin de mieux choisir et renforcer nos messages en 2023, nous avons répété cet exercice sous la formule d’un sondage Omnibus. Voici nos principaux constats :

 

        • Le pourcentage d’acheteurs de veau très fréquents (plus d’une fois par semaine) est passé de 2 % à 9 %.
        • Pour 40 % des répondants, l’impression que le veau est une viande dispendieuse est le principal frein à l’achat. La perception de prix élevé est surtout présente chez les 55 ans et plus tandis que les jeunes se préoccupent davantage du goût, des conditions d’élevage et de l’impact environnemental.
        • 88 % des acheteurs trouvent plutôt ou très facile de trouver des produits de veau en épicerie et en boucherie. C’est une hausse de 18 % par rapport à l’an dernier.
        • Une majorité des acheteurs consomme du veau de façon régulière (56 %). Une hausse de 4 % par rapport à l’an dernier. La consommation à l’été a augmenté légèrement.
        • La notoriété de la marque est semblable à l’an dernier. 21 % des répondants disent reconnaître la marque Veau du Québec.

Concours Facebook

 

Pour terminer l’année en beauté, et générer beaucoup d’engagement de la part des abonnés (commentaires, cliques, partages et j’aime) sur la page Facebook Veau du Québec, un concours a été réalisé du 12 au 18 décembre derniers. 3 481 personnes y ont participé. On compte un excellent taux d’engagement de 39 % sur la page du concours! 

En participant au concours, les gens étaient invités à s’abonner à la page Facebook et à l’infolettre du Veau du Québec. 2 407 personnes se sont inscrites à l’infolettre et la page Facebook compte 288 abonnés de plus.

En guise de récompense client, le concours a été partagé sur la page Facebook 5 ingrédients 15 minutes qui compte près de 191 000 abonnés.

 

Source : PBQ

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Interprétation du Code de pratiques pour le soin et la manipulation des veaux lourds

À la suite de l’examen de cinq ans du Code de pratiques pour le soin et la manipulation des veaux lourds, une interprétation de la section 3.2 (logement des jeunes animaux) a été publiée.

Pour en savoir plus, cliquez ici ou sur l’image.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

Reprise de la contribution spéciale pour la promotion et la publicité

Le secteur veau d’embouche a conclu un partenariat pour la réalisation d’une émission de télévision qui sera diffusée pendant les heures de grande écoute au printemps 2023.

En prévision de cette émission, le répertoire de vente de viande à la ferme par des producteurs de veaux d’embouche a fait peau neuve en affichant son nouveau nom et logo Bœufdici.com.

Dans un souci d’amélioration continue, le site Web du répertoire se présente sous un jour nouveau. Il propose désormais de l’information générale sur la production et permet de trouver facilement les producteurs qui vendent de la viande directement à la ferme dans chacune des régions du Québec. La viande offerte par les producteurs inscrits au répertoire doit provenir exclusivement de bœufs nés et élevés au Québec.

Pour faire connaître le répertoire Boeufdici.com auprès des consommateurs, une campagne sur Internet comportant des bannières publicitaires a été réalisée du 17 novembre au 20 décembre 2022.

Comme il est préférable que le solde du Fonds pour la promotion et la publicité à l’acquis des producteurs de veaux d’embouche du Québec soit suffisant pour permettre le financement de projets sur la viande de bouvillons de boucherie nés au Québec, le comité de mise en marché des veaux d’embouche a décidé de reprendre la perception de la contribution spéciale de 0,50 $ par veau d’embouche mis en marché pour ce Fonds à compter du 1er janvier 2023.

Source : PBQ

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Bilan des encans spécialisés

La saison automnale du Circuit des encans spécialisés de veaux d’embouche du Québec s’est terminée le 9 décembre dernier pour le temps des Fêtes. Depuis le début de la saison 2022-2023, le volume des veaux vendus est en diminution de 3 %, ce qui représente environ 800 veaux d’embouche de moins comparativement à l’année dernière.

La tendance des prix pour les veaux d’embouche commercialisés à l’automne 2022 connaît une augmentation depuis l’hiver-printemps 2022.

Prix moyen des veaux d’embouche

Les encans spécialisés reprendront le jeudi 12 janvier 2023 et se termineront le jeudi 22 juin 2023 à l’encan de Sawyerville. N’oubliez pas de faire la préinscription de vos veaux afin que les différents intervenants, dont les producteurs de bouvillons, puissent faire une meilleure planification.

Source : PBQ

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Comment bien protéger vos bovins contre les intempéries de l’hiver?

L’hiver est à nos portes et les bovins de boucherie ont besoin de votre aide pour bien le traverser. Pour assurer leur bien-être et être conforme à la Loi sur le bien-être et la sécurité de l’animal, il vous faut respecter minimalement les éléments suivants :

  • Pour les animaux âgés de moins de 3 mois, une huche ou un bâtiment d’élevage est accessible et il y a suffisamment de litière;
  • Pour les animaux âgés de plus de 3 mois, un refuge naturel (bordure de boisé, relief du terrain, haie brise-vent, etc.) ou construit (brise-vent, abri, bâtiment d’élevage, etc.) protégeant des intempéries ou du froid excessif est accessible;
  • Une aire de repos propre, non compactée et bien drainée est accessible à l’ensemble des animaux en même temps, dans la huche ou près du refuge;
  • Les animaux doivent avoir un état de chair adéquat et avoir été acclimatés graduellement à la température extérieure pour développer leur pelage d’hiver;
  • Des mesures supplémentaires sont mises en place en cas de froid excessif telles qu’un accès à de la litière, un apport nutritionnel supplémentaire ou une modification de la gestion d’élevage (ex. : nourrir les animaux le soir).

 

Un abri est une construction faisant partie d’une cour d’exercice ou d’un pâturage et est constitué de deux façades adjacentes. Un tel abri ne nécessite pas d’être pourvu d’un plancher étanche selon le Règlement sur les exploitations agricoles, alors qu’une construction munie de trois murs et d’un toit (sauf les huches à veau) est considérée comme un bâtiment agricole en nécessitant un.

Source : MAPAQ

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Comment bien préparer son taureau?

Dans cette vidéo, M. Vincent Blondin, agronome et membre du groupe Bovi-Expert, mentionne les aspects à considérer lors de la préparation des taureaux pour la période de saillies.

La qualité de la semence, la cote de chair et l’état des pieds et membres des taureaux vont directement affecter le taux de saillie au sein du troupeau. C’est pourquoi ilest important de leur porter une attention particulière. 

La préparation d’un taureau débute au minimum deux mois avant la période des saillies. La cote de chair et l’alimentation doivent être surveillées et l’apport en minéraux doit être adéquat.

Les tests de semence ainsi que l’utilisation des taureaux lors de la période des saillies ne doivent pas être négligés afin de favoriser un bon taux de saillies au sein du troupeau.

Source : PATBQ

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Analyse de groupe de veaux d’embouche : Pourquoi participer?

Vous songez participer à l’analyse de groupe de veaux d’embouche en 2023? Voyez pourquoi Alexandre Lefebvre,
Julie Beaulac et Michel Paquet, trois producteurs vache-veau, ont décidé de faire partie du projet pilote en 2022!  

Pour obtenir plus d’information ou pour participer à l’analyse de groupe 2023, transmettez-nous vos coordonnées en cliquant sur le lien suivant : https://forms.gle/MSexEuK3aMNRngoT9.

Source : PATBQ

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Pour consulter la liste des producteurs certifiés, cliquez ici.

BOUVILLON D’ABATTAGE

 

Horaire des Fêtes

À l’approche du temps des Fêtes, nous souhaitons vous informer de l’horaire et des services offerts pendant cette période.

Agence de vente des bouvillons

Fermée du 24 décembre 2022 au 2 janvier 2023 inclusivement.

Enchères de bouvillons

  • L’enchère du mercredi 21 décembre sera la dernière de l’année 2022. Veuillez prévoir vos ventes en conséquence.
  • L’enchère du mercredi 28 décembre est annulée.

Numéros d’autorisation

Si vous avez besoin d’un numéro d’autorisation pendant la période des Fêtes, veuillez faire parvenir votre demande à autorisation.ba@upa.qc.ca avant 12 h, le 23 décembre 2022.

Pour toute urgence, veuillez communiquer avec Yannick Sauvé au 514 452-2637.

Paiement

Il est possible que les paiements effectués pendant la période des Fêtes accusent quelques jours de retard.

Source : PBQ

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

AUX PRODUCTEURS DE FOIN ET DE PÂTURAGES

Programme d’assurance récolte – 2,7 M$ versés aux producteurs de foin et de pâturages pour la saison 2022

La Financière agricole du Québec annonce qu’elle a versé 2,7 millions de dollars à 439 producteurs de foin et de pâturages dans le cadre du Programme d’assurance récolte (ASREC). 

Ce paiement considère les pertes occasionnées par le gel hivernal, le manque de pluie ou l’excès de pluie dans certaines régions.

Pour en savoir plus, lisez l’Actualité du site Web de la FADQ .

Source : FADQ

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NOUVELLES DE L’ASSOCIATION CANADIENNE DES BOVINS

 

Le gouvernement du Canada publie la Stratégie du Canada pour l’Indo-Pacifique

L’Association canadienne des bovins (ACB) était heureuse de voir la publication de la Stratégie du Canada pour l’Indo-Pacifique annoncé le 27 novembre dernier. Cette stratégie est une bonne nouvelle pour l’industrie canadienne du bœuf, car elle accorde la priorité au commerce et à l’agriculture et comprend des recommandations clés partagées par l’ACB.

Voici quelques-unes des initiatives de la stratégie qui intéressent les producteurs de bœuf canadiens :

Missions commerciales dirigées par la ministre : 45 M$ pour lancer une série de missions commerciales renforcées dirigées par la ministre dans la région Indo-Pacifique afin d’appuyer les exportateurs et les chambres de commerce du Canada dans les marchés de l’Indo-Pacifique. Le but est de faciliter les possibilités de commerce et d’investissement à long terme. L’ACB milite depuis longtemps en faveur de la participation aux missions commerciales qui ont une grande valeur tant au pays qu’à l’étranger. Nous avons hâte de participer aux nouvelles missions.

Bureau canadien de l’agriculture et de l’agroalimentaire indo-pacifique : 31,8 M$ pour établir le premier bureau agricole du Canada dans la région afin d’accroître et de diversifier les exportations agricoles et agroalimentaires vers l’Indo-Pacifique. Il s’agit d’une réponse directe à la demande faite par l’ACB en partenariat avec d’autres associations agricoles. Le bureau aidera à prévenir et à résoudre les barrières non tarifaires dans la région de manière proactive et rapide.

Accroître la capacité diplomatique : le gouvernement investira 92,5 M$ pour accroître considérablement la capacité des missions du Canada dans la région Indo-Pacifique et d’Affaires mondiales Canada afin d’approfondir les liens diplomatiques commerciaux, de développement et climatiques avec les partenaires régionaux et de défendre les intérêts canadiens dans la région.

La région Indo-Pacifique présente le plus grand potentiel de croissance et de diversification des marchés pour notre industrie, avec une classe moyenne, un PIB et une consommation alimentaire en croissance. Environ 20 % des exportations de bœuf du Canada sont destinées au marché Indo-Pacifique, les cinq principaux marchés étant le Japon, la Chine continentale, la Corée du Sud, le Vietnam et Hong Kong. La diversification de notre commerce soutient l’avenir de nos producteurs.

Source : ACB

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Le secteur bovin canadien fait preuve de leadership à la COP27, axée sur le climat, en dévoilant des mesures pour atteindre des objectifs ambitieux

Alors que la COP27 se termine, l’Association canadienne des bovins (ACB) est heureuse de voir que les systèmes de gestion du bétail sont reconnus pour leurs nombreux avantages environnementaux et leur rôle dans l’atteinte des objectifs climatiques à long terme. Bob Lowe et Mitchell Zoratti de l’ACB ont participé à la COP27 en tant qu’observateurs officiels et au sein de la délégation officielle du Canada et étaient sur le terrain pour participer aux nombreuses discussions.

« Les éleveurs de bovins de boucherie vivent des événements liés au climat et nous travaillons tous les jours à améliorer continuellement nos paysages de travail pour les générations à venir », déclare Bob Lowe, ancien président de l’ACB. « Au fur et à mesure que les décisions en matière de politique climatique sont prises, il est extrêmement utile pour les producteurs d’être présents aux discussions et nous avons été heureux d’y participer au nom des producteurs de bovins de boucherie canadiens. »

La COP27 a été baptisée « la COP pour la mise en œuvre ». Dans l’ensemble, les discussions ont été fortement axées sur le financement climatique et sur les pertes et les dommages. Toutefois, cette année, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques  a également mis l’accent sur l’agriculture et les systèmes alimentaires.

La COP27 a souligné la nécessité d’examiner les systèmes de production alimentaires spécifiques au contexte, notant dans leur document de décision non édité intitulé Travail conjoint sur la mise en œuvre de l’action climatique sur l’agriculture et la sécurité alimentaire que « Le potentiel élevé de l’adaptation, des coavantages de l’adaptation et de l’atténuation est lié aux systèmes terrestres et alimentaires, tels que la conservation et la restauration des écosystèmes, l’amélioration de la durabilité des pratiques agricoles et la réduction de la perte et du gaspillage alimentaires provenant de systèmes alimentaires durables, et ont des liens directs et indirects importants avec la biodiversité et les services écosystémiques. » Le document reconnaît ensuite « que les systèmes de gestion du bétail sont très vulnérables aux impacts du changement climatique et que les systèmes gérés de façon durable ont une capacité d’adaptation élevée et une résilience au changement climatique tout en jouant un rôle important dans la protection de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, des moyens de subsistance, de la durabilité, du cycle des éléments nutritifs et de la gestion du carbone. » De plus, les cibles de notre secteur sont harmonisées avec les objectifs climatiques de la COP27 mentionnés dans le document pour réduire les émissions de GES tout en améliorant les puits sur les pâturages et les parcours.

L’ACB est convaincue que le secteur bovin canadien atteint déjà ces cibles et, grâce aux objectifs de 2030 des Conseillers canadiens sur le boeuf, nous sommes en voie d’atteindre d’autres cibles ambitieuses en matière de réduction de l’intensité des émissions, de maintenir et d’améliorer la biodiversité, de réduire la perte et le gaspillage d’aliments, et plus encore.

« En nous concentrant sur l’intensité, nous améliorons l’efficacité, quel que soit le nombre de bovins que nous élevons ou la quantité que nous produisons », explique Lowe. « En tant qu’industrie, nous nous attaquons à la crise de la sécurité alimentaire en alimentant le monde en bœuf avec l’option la plus durable. »

La réduction des émissions était au cœur des discussions de la COP27. En septembre 2020, les Conseillers canadiens sur le boeuf, qui regroupent l’ensemble de la chaîne de valeur canadienne des bovins de boucherie, ont dévoilé une série ambitieuse d’objectifs pour l’industrie à atteindre d’ici 2030. Le Canada a déjà l’une des plus faibles intensités de GES pour le bœuf au monde et nos objectifs pour 2030, qui comprennent une réduction de 33 % de l’intensité des émissions de GES de la production primaire, nous mettent sur la voie pour atteindre ou dépasser l’objectif absolu du gouvernement du Canada tout en nous permettant de nous développer pour répondre à la demande mondiale en matière de sécurité alimentaire.

Source : ACB

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Les éleveurs de bovins canadiens pleurent la perte de Reg Schellengerg

C’est avec une immense tristesse que l’Association canadienne des bovins (ACB) partage la nouvelle du décès soudain de notre président, Reg Schellenberg, le 2 décembre 2022.

« L’héritage de Reg et son impact sur l’industrie bovine canadienne se feront sentir pendant des années. Son attitude amical et sa forte personnalité sont des qualités que beaucoup d’entre nous admirent dans l’industrie », a déclaré Nathan Phinney, qui deviendra le nouveau président de l’ACB. « On se souviendra de lui comme un défenseur infatigable des producteurs de bovins, s’intéressant particulièrement à l’avancement des priorités liées à la santé et aux soins des animaux, ainsi qu’à la protection et à la préservation de notre industrie pour la prochaine génération. »

Reg a été élu pour la première fois comme administrateur de l’ACB en 2010 et en est devenu président le 25 mars 2022. Il a été coprésident du Comité du commerce extérieur de 2020 à 2022 et coprésident du Comité de la santé et des soins des animaux avec Pat Hayes de 2016 à 2020. Il a également représenté l’ACB au sein de l’Agence canadienne d’identification du bétail (ACIB). Avant la création du Comité de la santé et des soins des animaux,
Reg présidait le Comité de protection des animaux.

C’est avec le cœur lourd que le conseil d’administration et le personnel de l’ACB continueront à faire avancer les priorités qui étaient importantes pour Reg ainsi que pour les producteurs de bovins de tout le Canada.

Nos pensées et nos prières accompagnent l’épouse de Reg, Shannon, ses enfants et ses petits-enfants pendant cette période très difficile.

Source : ACB

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NOUVELLES RÉGIONALES

Abitibi-Témiscamingue : Un deuxième prix pour le projet relève du Syndicat des producteurs de bovins d’Abitibi-Témiscamingue!

Le comité projet relève 2016-2020 (de gauche à droite) : Stanislas Gachet, Félix Désaulniers, Linda Lavoie et Vincent Boisvert.

Le Syndicat des producteurs de bovins d’Abitibi-Témiscamingue a reçu le prix Solidarité de l’Union des producteurs agricoles lors du Congrès général 2022.   

Lors des tournées d’information et de consultation en 2015 et 2016, le Syndicat des producteurs de bovins d’Abitibi-Témiscamingue avait été mandaté par ses membres de mettre en place un projet afin de soutenir la relève en production bovine dans la région.

Le projet consistait à former, pour une relève, un petit troupeau de vaches gestantes et vendues par des producteurs à très bas prix, en plus d’offrir l’accompagnement d’un mentor. L’appel de candidatures a suscité beaucoup d’intérêt auprès de la relève potentielle. En effet, 16 candidatures ont été déposées, mais une seule pouvait être retenue. Les candidats qui n’ont pas été retenus ont reçu du soutien de Réseaux Agriconseils afin de poursuivre leur projet. L’entreprise de la relève formée dans le cadre de ce projet a vu le jour en 2019. Aujourd’hui, elle se porte bien et profite toujours du soutien du mentor. Nous désirons le remercier pour son excellent travail.

Le projet développé consistait à ce que les entreprises puissent offrir une vache gestante à rabais, afin de former un petit troupeau, et aussi d’offrir l’accompagnement d’un mentor. L’appel de candidature a suscité beaucoup d’intérêt auprès de la relève potentielle. En effet, sur 16 candidatures, seulement une pouvait être retenue. Les candidatures non retenues ont reçu du support du Réseau agri-conseil pour poursuivre leur projet.  En 2019, l’entreprise a vu le jour et aujourd’hui, elle se porte bien avec le support du mentor dont nous voudrions remercier l’excellent travail.

Ce projet n’aurait jamais pu voir le jour sans la solidarité des producteurs de bovins de boucherie et laitiers de la région. Ils peuvent être fiers d’avoir contribué au démarrage d’une entreprise. Ensemble, ils ont prouvé qu’ils pouvaient soutenir le développement du secteur bovin.

Nous désirons remercier tous ceux qui ont contribué de près ou de loin au projet, tous ceux qui y contribuent encore et, également, M. Gilbert Lavoie de Forest Lavoie Conseil qui nous a apporté son expertise et nous a encouragés à développer le projet.

Source : Les Producteurs de bovins de l’Abitibi-Témiscamingue

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Chaudière-Appalaches-Sud : Paniers de Noël de Moisson Beauce : des producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud s’impliquent!

Depuis plusieurs années, les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud font un don de viande de bœuf à l’organisme Moisson Beauce dans le cadre de la préparation des paniers de Noël remis aux familles dans le besoin à l’approche du temps des Fêtes.

Sur la photo (de gauche à droite) : M. Francis Rodrigue et Mme Isabelle Bolduc des Fermes Rodrigue, M. Sébastien Vachon d’Entreprise JSV et représentant des Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud, ainsi que M. Danny Paré de Ferme Janole. Absents sur la photo : M. Steeve Cliche et M. Francis Poirier, propriétaires d’Abattoir Cliche.

 

Pour la campagne 2022, 4 000 $ ont été amassés auprès de la Fédération de l’UPA de la Chaudière-Appalaches et des syndicats de l’UPA des Appalaches, de Beauce-Sartigan, des Etchemins, de La Nouvelle-Beauce et de Robert-Cliche. Avec ce montant, 1 000 lb de viande hachée ont pu être données à Moisson Beauce, le tout empaqueté en format de 1 lb.

De plus, les partenaires très importants dans ce projet cette année, soit Abattoir Cliche d’East-Broughton, Les Fermes Rodrigue de Beauceville, Entreprise JSV de Saint-Frédéric et Ferme Janole de Saint-Pierre-de-Broughton, ont permis d’acheter la viande à un prix inférieur au coût du marché. 

Les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud remercient sincèrement tous ses partenaires. Un merci spécial également à l’organisme Moisson Beauce pour leur excellent travail accompli auprès des personnes défavorisées.

Source : Les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud

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Mauricie : Les Producteurs de bovins de la Mauricie font un don dans leur communauté

Le 9 décembre dernier, les Producteurs de bovins de la Mauricie ont fait un don de bœuf haché à Moisson Mauricie / Centre-du-Québec d’une valeur de 750 $ afin d’aider les familles de la région dans le besoin à l’approche du temps de Fêtes. 

Merci de vous impliquer dans la communauté!

Sur la photo, on retrouve M. Jean Pellerin, président de Moisson Mauricie / Centre-du-Québec, et M. Steve Beaudry, président des Producteurs de bovins de la Mauricie.

 

Source : Les Producteurs de bovins de la Mauricie

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Saguenay-Lac-Saint-Jean : Filière viande régionale

Face aux défis liés aux récentes fermetures des salles de découpe régionales et à l’absence d’abattoir de statut provincial dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, les acteurs de la filière viande se sont réunis, le 24 novembre dernier, afin de faire le point sur la situation régionale et d’échanger sur les besoins.

En se basant sur les résultats des analyses et des études réalisées sur le sujet depuis 2020, les producteurs et les intervenants ont mené une réflexion collective sur la chaîne de valeur relative à la mise en marché locale de viande. Alors que la consolidation de cette chaîne semble en cohérence avec la volonté sociétale d’économie de proximité, de nombreux enjeux demeurent complexes.

 

Source : Les Producteurs de bovins du Saguenay-Lac-Saint-Jean

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