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La Minute bovine : avril 2025

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Nouvelles régionales


 

COUP D’ŒIL SUR LES MARCHÉS DU BŒUF ET DU VEAU

 

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BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

 

Journée bovine MERCK 2025

Confirmez votre présence avant le 1er juin à Nicolas Morin au 418-655-2684 ou par courriel : nicolas.morin1@merck.com

Quand? 6 juin 2025 de 9 h à 16 h

Où? L’Entêté Microbrasserie – 15 400 Charles, Mirabel, Qc, J7J 0V9

Horaire

9 h – Inscription

9 h 15 – Mot de bienvenue

9 h 30 – Mise à jour sur l’utilisation des drones en agriculture (Olivier Barmettler, propriétaire Les Entreprises OJ Ag)

10 h – On croyait connaître l’incertitude (Vincent Cloutier, agr., MBA, directeur principal Stratégie en agriculture BNC)

10 h 45 – 13 faits pour réussir en reproduction bovine (Dre Lisiane Poulin, DMV, médecin vétérinaire aux services techniques grands animaux)

11 h 30 – Mieux connaître les implants en production bovine (Dre Natasha Kutryk DMV, médecin vétérinaire aux services techniques grands animaux)

12 h 15 – Présentation des Fermes Desrosiers (Famille Desrosiers, producteurs de bouvillons d’abattage, acéricoles et de grandes cultures)

12 h 30 – Dîner gratuit

14 h – Visite des Fermes Desrosiers et démonstration de drone (Les Fermes Desrosiers, 3860 Rang Saint-Hyacinthe, Mirabel, Québec, J7N 2Z9)

16 h – Clôture de l’évènement

Source : Merck, Santé animale

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ACTUALITÉS

Bovins durables 2035 : le nouvel engagement des PBQ

 

À l’occasion de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec, les PBQ ont procédé au lancement officiel de leur stratégie de durabilité. Durant la présentation, l’organisation a dévoilé son engagement d’atteindre une production bovine durable d’ici 2035.

Porté par le conseil d’administration des PBQ, cet engagement découle de pressions croissantes venant du gouvernement, des consommateurs et de l’industrie agroalimentaire pour rendre la production plus durable. Plutôt que de subir les changements, les PBQ ont choisi d’agir et de se doter d’un plan d’action concret pour définir eux-mêmes leur avenir.

 

Six producteurs ont pris la parole pour témoigner de leurs pratiques actuelles en matière de durabilité à travers des exemples concrets et inspirants. Ils ont été invités à ajouter leur propre pierre à l’édifice en inscrivant leurs actions durables. Résultat : un panorama d’initiatives concrètes qui confirme que la production bovine au Québec est bel et bien en marche vers un avenir durable.

 

Ce n’est que le début, mais une chose est certaine : les producteurs de bovins du Québec sont déjà en mouvement, et c’est ensemble qu’on avance vers un avenir plus durable.

Source : PBQ

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Nouveaux visages au conseil d’administration des PBQ

 
À gauche, M. Jean-François Gaudette, président de Montérégie-Est et à droite, M. Martin Tessier, président du comité de mise en marché des veaux de grain

 

Deux producteurs ont récemment rejoint le conseil d’administration des PBQ. M. Jean‑François Gaudette, producteur de bouvillons d’abattage dont la ferme est située à Farnham, a été nommé président des Producteurs de bovins de la Montérégie-Est, succédant ainsi à M. Jean-Marc Ménard.

Martin Tessier, dont l’entreprise est située à Saint-Eugène, dans le Centre-du-Québec, a été élu président du comité de mise en marché des veaux de grain, une fonction précédemment occupée par M. Louis-Joseph Beaudoin.

 Source : PBQ

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La ferme À L’HERBE! Bouvillons au pâturage remporte le Prix TESA – Québec

Le Prix de l’intendance environnementale (TESA) – Québec est décerné cette année à la ferme À L’HERBE! Bouvillons de pâturage. Située dans la région de la Capitale-Nationale, l’entreprise, fondée par Mme Dominique Dumas et M. Frédéric Lebel, s’est donné pour mission de fournir aux familles une viande saine et savoureuse, dans le plus grand respect du bien-être animal et de l’environnement.

Dans le but de saluer leurs efforts et leur travail exemplaire, les PBQ leur accordent une aide financière de 1 000 $ pour des services-conseils en agroenvironnement.

Ce prix récompense le leadership des producteurs de bovins de boucherie en matière d’environnement. Toutes nos félicitations!

Source : PBQ

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Le Prix INNOVEAU décerné à la Ferme Deaunier

La Ferme Deaunier, située dans la région de Chaudière-Appalaches, remporte le Prix INNOVEAU 2025. Cette distinction récompense l’excellence des producteurs de veaux lourds en matière de bien-être animal, d’innovation et de conservation.

Dirigée par M. Pierre Nadeau, Mme Denise Fournier et M. Pier-Luc Nadeau, l’entreprise se distingue par son approche préventive de la santé animale et par les nombreuses améliorations apportées à l’alimentation du troupeau ainsi qu’aux bâtiments d’élevage.

Dans le but de saluer leurs efforts et leur travail exemplaire, les PBQ leur accordent une aide financière de 1 000 $ pour des services-conseils en agroenvironnement. Toutes nos félicitations!

Source : PBQ

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Les PBQ remettent 9 500 $ en bourses à des jeunes de la relève

À l’occasion de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec le 25 mars, les PBQ ont remis quatre bourses à des jeunes qui se démarquent par leur engagement exemplaire envers la production bovine.

Lauréats des Bourses PBQ de la relève en production bovine

  • Catégorie « Nouveau dans l’industrie » : Mme Alycia Boucher, agr. (baccalauréat en agronomie, Université Laval) – 5 000 $
  • Catégorie « Issu de l’industrie » : Mme Marilou Murray (DEC en Technologie des productions animales, ITAQ, campus de La Pocatière) – 2500 $

Lauréats des Bourses Agria en production bovine

  • Mme Malorie Bilodeau (DEC en Gestion et technologies d’entreprise agricole, Cégep de Lévis) -1 000 $ (absente de la photo)
  • Michael Cyr (DEC en Technologie des productions animales, ITAQ, campus de La Pocatière) -1 000 $

Les PBQ souhaitent remercier chaleureusement la Fondation Agria pour son soutien à la relève agricole. Félicitations aux lauréats!

Source : PBQ

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Découvrez les images gagnantes du concours photo : 50 ans des PBQ

Voici les images gagnantes du concours organisé dans le cadre du 50e anniversaire des PBQ. Une sélection des meilleures photos des participants et d’images d’archives a défilé tout au long de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec, tenue les 25 et 26 mars. Merci à tous les participants!

1re place (300 $) : Ferme du Perche

2e place (200 $) : Ferme Gib Drury

3e place (100 $) : Ferme Loumi

Voir ou revoir ci-dessous la galerie de photos présentée lors de la dernière AGA.

Source : PBQ

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Bœuf durable : renouvellement du programme Crédit de reconnaissance

C’est avec plaisir que les PBQ annoncent le renouvellement du programme Crédit de reconnaissance pour une troisième année consécutive.

Ce crédit vise à reconnaître les producteurs qui ont maintenu un statut de certification actif (VBP+ et Table ronde canadienne sur le bœuf durable – CRSB) en 2024, et qui se poursuit en 2025.

Cette reconnaissance financière garantit que toutes les entreprises certifiées reçoivent un minimum de 400 $ en paiements totaux liés à l’approvisionnement en bœuf durable de Cargill pour l’année 2024.

En trois ans, environ 140 000 $ ont été versés en crédits de reconnaissance aux producteurs certifiés et admissibles.

Pour plus d’informations sur les modalités du programme et sur la façon de participer, communiquez avec Nathalie Côté à ncote@upa.qc.ca.

Source : PBQ

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La production bovine au cœur d’un balado

Trois producteurs très impliqués au sein des PBQ ont participé au balado agricole Les Prods, réalisé par la Fédération de l’UPA Lanaudière. Mme Francine Trépanier, vice-présidente, M. André Ricard, président du comité de mise en marché des bouvillons d’abattage, et M. Martin Drainville, président du comité de mise en marché des veaux d’embouche, ont partagé leur parcours personnel ainsi que leur passion pour la production bovine. L’épisode a également abordé les particularités des différents secteurs et le rôle des PBQ.

Pour écouter l’épisode :

Spotify : https://spoti.fi/3L7s8vW
Apple Podcasts : https://apple.co/3NiXKAG
Site de la fédération : https://bit.ly/3tCgLGH

Source : PBQ

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L’Université Laval offrira le cours sur la production bovine chaque année

Le cours « SAN-3201 – Production de viande bovine » sera désormais proposé chaque année à partir de l’automne 2025 à l’Université Laval. Animé par le professeur adjoint M. Rodolpho Martin Do Prado, Ph. D., il sera accessible en présentiel pour les étudiants du baccalauréat en agronomie. Les étudiants du certificat en production animale auront également la possibilité de le suivre en classe ou à distance. Jusqu’à présent, ce cours était offert tous les deux ans.

 

 

Source : PBQ

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Retour de la bourse d’études de l’Agence canadienne de prélèvement du bœuf

L’Agence canadienne de prélèvement du bœuf a créé une bourse de 2000$ pour encourager et soutenir les étudiants qui poursuivent des études post secondaires dans le domaine de l’agriculture, de la recherche agricole, ou qui ont une formation en agriculture et poursuivent des études en marketing.

Les candidatures pour cette bourse doivent être déposées avant le 30 juin 2025.

 

 

Source : Agence canadienne de prélèvement du bœuf

 

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FAFC : période de dépôt des projets jusqu’au 30 avril

L’Association canadienne pour les plantes fourragères et les prairies (ACPF) annonce qu’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) a prolongé le Fonds d’action climat à la ferme (FACF) pour les trois prochaines années. Cette prolongation comprend jusqu’à 16,1 millions de dollars de financement, afin de continuer à soutenir les agriculteurs de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, de la Saskatchewan et du Québec dans la planification et la mise en œuvre de pratiques de pâturage rotatif.

La période de dépôt des projets pour 2025 se termine le 30 avril.

 

 

Source : ACPF

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Des outils pour protéger les troupeaux

La fièvre aphteuse est un virus hautement infectieux qui a de graves conséquences pour l’industrie du bœuf et les animaux biongulés dans le monde entier.

Soyez un super-héros de la biosécurité : aidez le Canada à rester exempt de fièvre aphteuse.

Vous trouverez des outils pratiques pour protéger le bétail canadien contre la fièvre aphteuse, en collaboration avec Santé animale Canada, à l’adresse suivante: https://www.beefresearch.ca/fr/topics/foot-and-mouth-disease/

Source : BCRC

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Étude universitaire sur la santé mentale des producteurs

Une équipe de recherche de l’Université du Québec à Trois-Rivières mène une étude visant à dresser le portrait de santé mentale des propriétaires d’entreprises agricoles québécois.

L’équipe désire recruter près de 1200 personnes pour remplir un questionnaire en ligne d’une durée de 20 à 30 minutes.

Pour participer à l’étude, c’est ici 👉 : https://donnees.limequery.com/921545?lang=fr

La santé mentale des propriétaires d’entreprises agricoles québécois étant peu documentée, leur participation est cruciale afin de leur offrir des services de santé pertinents et adéquats.

Source : UQTR

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Recommandation aux producteurs et intervenants de maintenir une réserve d’identifiants

Attestra souhaite informer ses partenaires qu’elle suit de près l’évolution du conflit de travail chez Postes Canada. En collaboration avec leur fournisseur d’identifiants Allflex, ils élaborent un plan d’action afin de limiter autant que possible l’impact d’une éventuelle reprise de la grève, qui pourrait survenir dès le mois de mai 2025.

Dans ce contexte et afin de préparer au mieux les producteurs et les encans à cette situation, une communication leur a été envoyée pour les encourager à constituer dès le mois d’avril une réserve d’identifiants couvrant une période pouvant aller jusqu’à 6 mois.

Source : Attestra

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Retour sur l’AGA 2025

La hausse de la contribution spéciale pour la production et la mise en marché des veaux laitiers, de 1,05 $ par veau laitier mis en marché, applicable à compter du 1er novembre 2025, a été adoptée à la majorité lors de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec. Une demande de modification au Règlement sur les contributions des producteurs de bovins a été soumis à la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec. Notons que cette hausse avait été approuvée à une large majorité (84 %) lors de la consultation tenue dans le cadre des assemblées générales annuelles régionales.

Source : PBQ

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Comment produire un veau ayant 24 fois moins de risques d’être malade?

Les veaux naissent avec un système immunitaire immature. Bien que certains éléments clés du système immunitaire soient présents, leurs niveaux sont nettement inférieurs à ceux d’une vache adulte. Cela entraîne une réaction plus lente et moins efficace du système immunitaire du veau nouveau-né face aux agents pathogènes.

La bonne nouvelle est que le colostrum permet le transfert des anticorps de la mère au veau, offrant ainsi une protection temporaire pendant que le veau développe ses propres anticorps.
 

Ces anticorps proviennent des interactions de la mère avec des agents pathogènes dans l’environnement ou des vaccins reçus. En donnant le colostrum de la mère à son veau, ce dernier est mieux préparé à affronter les agents pathogènes spécifiques présents dans l’exploitation d’origine. Ce processus est connu sous le nom de transfert passif d’immunité. 

Le transfert passif de l’immunité est réussi lorsque le veau reçoit une quantité suffisante de colostrum propre et de bonne qualité peu après la naissance. En revanche, l’échec du transfert passif de l’immunité survient lorsque le veau ne reçoit pas assez de colostrum, que le colostrum est de mauvaise qualité ou contient peu d’anticorps, ou encore s’il est contaminé. Ce transfert passif protège les veaux pendant leur premier mois de vie, période où ils sont extrêmement vulnérables à la maladie et à la mort.

Quelques faits saillants :

  • Les veaux qui se remettent d’une maladie auront un taux de croissance réduit et seront moins productifs tout au long de leur vie;
  • Selon l’étude de Lora et. al. (2018), 34,6 % des veaux ont connu un échec du transfert passif, ce qui les rend 24 fois plus susceptibles de souffrir de diarrhée et 11 fois plus susceptibles de mourir par rapport aux veaux ayant réussi le transfert passif;
  • L’échec du transfert passif de l’immunité est également associé à un risque plus élevé de devoir traiter les veaux avec des antibiotiques;
  • La réduction des risques de diarrhée, l’amélioration des chances de guérison, la diminution de l’utilisation d’antibiotiques et l’optimisation de la productivité sont autant de raisons de perfectionner de votre programme de colostrum.

Pour en savoir plus, consultez l’article (en anglais) How to raise a calf that is 24 times less likely to get sick

Crédit photo: Calfcare.ca  

Source : PBQ

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Protégez vos bovins laitiers de la grippe aviaire

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec a élaboré un outil pratique destiné aux producteurs de bovins laitiers à propos de l’influenza aviaire. Il peut être imprimé et affiché dans la laiterie pour être consulté au besoin.

Source : MAPAQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Résultats de l’analyse de cycle de vie de la filière veau québécoise

Le 25 mars dernier, lors de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec, producteurs et intervenants ont assisté au dévoilement des résultats de l’analyse de cycle de vie (ACV) de la filière veau québécoise. Il s’agit de la première analyse complète du cycle de vie de nos activités, de la ferme à l’abattoir. Cette ACV représente une étape importante pour la filière veau au Québec, offrant un premier aperçu de la performance environnementale de la production et de la transformation du veau.

Les résultats de cette étude permettent à la filière veau du Québec de mieux comprendre les principaux contributeurs aux impacts environnementaux, afin d’identifier des pistes d’amélioration pour réduire l’empreinte écologique du secteur.

L’ACV se concentre sur les productions de viande de veau de lait et de veau de grain du Québec, en couvrant les étapes suivantes :

  • La culture et la production d’aliments pour les animaux
  • L’élevage à la ferme
  • La première (abattage) et la deuxième transformation

En plus des données obtenues auprès des PBQ, des entretiens ont été menés avec des experts du système d’élevage de veaux, de l’alimentation animale et de la transformation, afin de recueillir des données de la meilleure qualité disponible et de valider la fiabilité des données issues de la littérature. Les données ont été collectées pour la période de janvier 2022 à décembre 2023, couvrant ainsi un minimum de 12 mois consécutifs. Il est courant d’employer certaines données génériques lors d’un premier bilan, ce qui permet d’entamer un processus progressif vers une évaluation plus précise.

Les indicateurs environnementaux évalués sont parmi les plus couramment utilisés dans le secteur agroalimentaire et sont recommandés par les lignes directrices du LEAP (Partenariat pour l’évaluation et la performance environnementale de l’élevage) pour les ruminants :

  • Empreinte carbone: Mesure des émissions de gaz à effet de serre (GES) reliées aux activités humaines (c.-à-d. CO2, CH4, N2O, SF6, PFC et HFC). Les émissions sont rapportées en kilogramme équivalent de CO2 (kg éq. CO2).
  • Utilisation des terres: Mesure le ratio de pertes d’espèces pour l’utilisation des terres par rapport aux pertes de l’utilisation pour les cultures. L’unité employée de « mètres carrés années de terres cultivées » (m²an) exprime les superficies de terres cultivées qui auraient causé des pertes d’espèces supplémentaires.
  • Consommation d’eau: La consommation d’eau concerne l’eau qui est évaporée, incorporée dans un produit, transférée dans un autre milieu aquatique, ou rejetée à la mer et qui n’est donc plus disponible pour les humains et écosystèmes. L’unité employée correspond au volume d’eau consommé, exprimé en mètres cubes (m³ d’eau consommée).

Les principaux constats identifiés dans les résultats de l’ACV du veau de grain sont :

  • Sur une base de 1 kg de poids vif, jusqu’à la sortie de la ferme : 
    • La production des aliments pour nourrir les veaux (cultures et aliments pour animaux) est un contributeur majeur à tous les indicateurs évalués. Elle représente 37 % de l’empreinte carbone, 72 % de l’utilisation des terres et 45 % de la consommation d’eau.
  • Sur une base de 1 kg de viande désossée et emballée, jusqu’à la sortie de l’usine de transformation : 
    • Les étapes d’élevage et cultures et aliments pour animaux contribuent toutes deux de manière significative à tous les indicateurs évalués. L’élevage représente entre 27 et 51 % des impacts calculés pour les trois indicateurs, alors la production des aliments pour les veaux compte pour 34 à 71 %.

Les principaux constats identifiés dans les résultats de l’ACV du veau de lait sont :

  • Sur une base de 1 kg de poids vif, jusqu’à la sortie de la ferme : 
    • La production des aliments pour nourrir les veaux (cultures et aliments pour animaux) est un contributeur majeur à tous les indicateurs évalués. Elle représente 37 % de l’empreinte carbone, 73 % de l’utilisation des terres et 65 % de la consommation d’eau.
  • Sur une base de 1 kg de viande désossée et emballée, jusqu’à la sortie de l’usine de transformation : 
    • Les étapes d’élevage et cultures et aliments pour animaux contribuent toutes deux de manière significative à tous les indicateurs évalués. L’élevage représente entre 26 et 50 % des impacts calculés pour les trois indicateurs, alors la production des aliments pour les veaux compte pour 35 à 73 %.

Il est important de souligner que cette ACV n’est que le point de départ d’une démarche de développement durable. Pour la suite, il est proposé de développer un plan d’action concerté afin d’agir là où cela compte, en concentrant dans un premier temps les efforts sur la production d’aliments pour nourrir les veaux et la productivité des élevages. D’autres actions pourront être mises en place, car ce sujet est inclus dans la planification stratégique du secteur pour les cinq prochaines années.

Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du Programme de développement territorial et sectoriel 2023-2026.

Source : PBQ

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Commandite de l’émission MasterChef Junior

Du 28 avril au 19 juin, durant les pauses publicitaires de l’émission MasterChef Junior, il sera possible de voir la publicité vidéo du Veau de grain du Québec dans un décompte avec habillage personnalisé. Ce décompte sera donc diffusé sur les ondes de TVA ainsi que sur TVA+ et Helix à raison de trois fois par semaine (total de 24). L’objectif de cette campagne est d’accroître la reconnaissance de la marque de certification Veau de grain du Québec auprès de monsieur et madame Tout-le-Monde.

Source : PBQ

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Focus protocole : la technique d’injection

Cliquez sur l’image pour accéder protocoles

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

Résultats de l’enchère électronique du 18 mars

Lors de l’enchère électronique du 18 mars 2025, 226 veaux d’embouche issus de 6 producteurs ont été vendus à trois acheteurs. Au total, trois acheteurs étaient inscrits sur la plateforme d’enchère. Voici les résultats de la vente :

La prochaine vente par enchère électronique est prévue pour le 15 avril 2025. Les producteurs souhaitant inscrire des veaux ont jusqu’au 11 avril pour le faire. Toutes les informations nécessaires (conditions de vente et d’achat, formulaire d’inscription, accès à la plateforme d’enchère, etc.) se trouvent ICI.

Source : PBQ

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Des rencontres inspirantes!

L’équipe Nova-Bœuf était présente lors des Soirées Bovines pour les producteurs de bovins en Estrie le 28 février ainsi qu’en Mauricie le 20 mars. Nous avons eu la chance de vous présenter la conférence « De la génétique à la carcasse : défis et opportunités pour l’avenir », portant sur l’importance de la génétique sur la qualité de la viande et ses concepts clés pour faire des choix judicieux afin d’atteindre les standards recherchés par les acheteurs.

Vous pouvez consulter la présentation ici.

L’équipe Nova-Bœuf était aussi présente lors de l’AGA des PBQ le 25 mars afin de vous présenter les résultats préliminaires du sondage effectué dans le cadre de la résolution « De trouver des outils de gestion adaptés à la production bovine du Québec et entreprendre des démarches afin de les rendre accessibles aux producteurs ». Il est possible de consulter ici un enregistrement qui présente ces résultats.

 

L’équipe Nova Bœuf ainsi que les Producteurs de Bovins du Québec tiennent à remercier tous les producteurs participants qui ont répondu au sondage. Merci de votre participation!

Source : Nova Bœuf

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VEAU D’EMBOUCHE ET BOUVILLON D’ABATTAGE

Face à un monde incertain, que pouvons-nous contrôler?

Avec tout ce qui se passe chez nos voisins, sur nos marchés, le tout saupoudré d’un climat imprévisible, on a le droit de se sentir à la merci des aléas du monde qui nous entoure. C’est étourdissant et insécurisant!

Allons-y à l’envers : que pouvons-nous contrôler au sein de notre entreprise alors? Les risques liés à la production, bien entendu! Trop peu et sans impacts, vous direz? Voyons voir…


   Quels sont les risques liés à la production bovine?

  1. Chimiques – ex. : médicaments, toxines, herbicides, pesticides, diesel, etc.
  2. Physiques – ex. : aiguilles, objets tranchants et coupants, matériel chirurgical, etc.
  3. Biologiques – ex. : maladies infectieuses, zoonoses, maladies à déclaration obligatoires, etc.

10 pratiques simples pour diminuer et mieux contrôler les risques liés à la production

  1. Tenir un registre des traitements et y noter la possibilité d’aiguilles brisées.
  2. Suivre la prescription de votre vétérinaire pour administrer la bonne dose, utiliser la bonne voie et noter la bonne période de retrait du médicament (avoir une Relation Vétérinaire-Client-Patient).
  3. À l’aide d’un document, informer les futurs propriétaires de l’état des animaux lors de leur départ, s’ils sont toujours sous une période de retrait d’un médicament et de la possibilité qu’une aiguille brisée soit présente dans l’un d’entre eux.
  4. S’assurer que toutes les installations et aires sont sécuritaires et sans risque de blessure (Code de pratiques pour le soin et la manipulation des bovins de boucherie, 2013).
  5. Jeter les médicaments périmés auprès de son vétérinaire ou s’informer auprès d’AgriRÉCUP.
  6. S’assurer que la ripe et la paille achetées à l’extérieur sont exemptes de bois traité ou de toxines.
  7. Retirer rapidement les animaux morts des parcs ou du pâturage et en disposer selon la réglementation en vigueur (enfouissement ou équarrissage).
  8. S’assurer que les animaux n’ont pas accès à des produits chimiques et que ceux-ci ne sont pas entreposés près des aires d’alimentation pour éviter toute contamination.
  9. S’assurer que les animaux et les parcs sont bien identifiés afin d’éviter de donner des médicaments aux mauvais animaux lors des traitements par injection ou dans les aliments (aliments médicamentés : rinçage ou séquençage).
  10. À l’arrivée de nouveaux animaux, mettre en place un protocole de vaccination et de quarantaine.

Nous ne pouvons peut-être pas tout contrôler, mais nous pouvons faire en sorte d’offrir un produit de qualité et démontrer nos bonnes pratiques aux consommateurs. Montrons que notre bœuf a toujours sa place sur les tablettes d’épicerie!

Image adaptée de la publication Facebook du 17 mars 2025, Verified Beef Production Plus

Source : PBQ

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Chandails de hockey VBP+ 2025 : dévoilement de nos 5 gagnants!

Félicitations aux entreprises gagnantes! Nous vous rappelons que pour être admissible au tirage, il fallait avoir réalisé son premier audit ou son audit de renouvellement VBP+/CRSB entre janvier 2024 et mars 2025.

Sans plus tarder, voici nos gagnants :

  1. Bouffard & Cie ltée – certifié depuis 2019 – Estrie
  2. Ferme Martin Gauthier SENC – certifié depuis 2019 – Capitale-Nationale–Côte-Nord
  3. Ferme Le Rondel inc. – certifié depuis 2019 – Centre-du-Québec
  4. Les élevages Gimic inc. – certifié depuis 2020 – Chaudière-Appalaches
  5. Ferme Julien Tremblay – certifié depuis 2019 – Capitale-Nationale–Côte-Nord

Restez à l’affût de la prochaine Minute bovine pour découvrir les photos de nos gagnants!

Merci à notre partenaire de la campagne VBP+ hiver 2024-2025, UNIFORM-Agri!

Source : PBQ

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BOUVILLON D’ABATTAGE

L’âge et le poids d’abattage influencent-ils le niveau de persillage chez le bouvillon?

L’âge et le poids d’abattage interviennent dans l’accumulation de la graisse intramusculaire chez le bouvillon.

Plusieurs études menées sur différentes races bovines concluent qu’une période d’engraissement prolongée augmente le niveau de persillage. D’autres études ont permis d’observer une augmentation du niveau de persillage chez les bovins Angus et Hereford avec l’augmentation de l’âge d’abattage. En effet, les muscles nécessitent du temps pour atteindre leur maturité, et une période d’engraissement prolongée permet à l’animal de déposer plus de graisse intramusculaire. De même, des études ont mis en évidence une corrélation positive entre le niveau de persillage et le poids d’abattage. Plus le poids d’abattage est élevé, plus le niveau de persillage est important.

Cependant, un engraissement prolongé pourrait entraîner une hausse des coûts d’alimentation en raison de la diminution de l’efficacité alimentaire avec l’âge. De plus, cela pourrait également entraîner une augmentation de la quantité de graisse sous-cutanée, ce qui affecterait négativement le rendement carcasse. Des études ont indiqué qu’un engraissement prolongé est davantage suggéré pour les bovins ayant un fort potentiel génétique de persillage afin d’optimiser la qualité de la viande sans trop compromettre le rendement carcasse.

Sources : 

Tan, Z., and Jiang, H. 2024. “Molecular and cellular mechanisms of intramuscular fat development and growth in cattle”. International Journal of Molecular Sciences, 25(5), 2520.

Nguyen, Don Viet., Nguyen, Oanh C. and Malau‑Aduli, Aduli E.O. 2021. “Main Regulatory Factors of Marbling Level in Beef Cattle”. Veterinary and Animal Science, 14.

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

 

Assurance récolte – Importance de fournir vos rendements réels chaque année

L’assurance récolte (ASREC) permet de protéger vos cultures et de réduire les risques financiers de votre entreprise. C’est un outil de gestion des risques indispensable qui offre une protection adaptée à votre réalité.

Pour ce faire, il est important de fournir vos rendements réels chaque année. Ces derniers constituent les fondations qui serviront à établir le rendement probable le mieux adapté à votre situation.

 

 

Source : La Financière agricole du Québec

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Concours Tournez-vous vers l’excellence! : Il est encore temps de s’inscrire

La période d’inscription à l’édition 2025 est en cours, et ce, jusqu’au 30 avril. Destiné à la relève agricole âgée de 18 ans et plus, sans avoir atteint l’âge de 40 ans au 30 avril 2025, ce concours offre entre autres :

  • Une visibilité nationale pour les entreprises (couverture média, réseaux sociaux, vidéos)
  • 18 000 $ en bourses
  • Cinq personnes gagnantes par édition
  • Une reconnaissance du travail des agricultrices et des agriculteurs

 

 

Source : La Financière agricole du Québec

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NOUVELLES DE L’ASSOCIATION CANADIENNE DES BOVINS

L’ACB élit une nouvelle direction pour 2025–2026

L’Association canadienne des bovins a terminé son assemblée générale annuelle 2025 le jeudi 20 mars 2025 à Ottawa avec un certain nombre d’événements, de réunions et l’élection d’un nouveau conseil d’administration.

Tyler Fulton, de Birtle au Manitoba, devient président, succédant à M. Nathan Phinney, de Sackville au Nouveau-Brunswick. Ce dernier demeure au conseil d’administration en tant qu’ancien président. Mme Sheila Hillmer et M. Doug Roxborough, de l’Alberta, et M. Jack Chaffe, de l’Ontario, se sont retirés du conseil d’administration. L’ACB les remercie pour leur temps et leur contribution.

Mentionnons également que le producteur M. Kirk Jackson, membre de l’exécutif des PBQ, a été reconduit comme administrateur au CA de l’ACB.

 

 

Source : ACB

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Publication du rapport annuel de l’ACB

Le 20 mars dernier, l’Association canadienne des bovins (ACB) a déposé son rapport annuel. Afin d’en faciliter la lecture, l’édition 2024 affiche un design plus épuré avec plus d’illustrations et des textes plus concis. Il est disponible en format numérique en français et en anglais.

Source : ACB

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NOUVELLES RÉGIONALES

Mauricie
La soirée thématique « Veau d’embouche » attire plus de 30 participants

Les Producteurs de bovins de la Mauricie ont organisé leur « 5 à 7 Veau d’embouche » le 20 mars dernier à Yamachiche. Un total de 33 producteurs et productrices de la Mauricie et de Lanaudière étaient présents.

À cette occasion, Mme Mélanie Lachance, agronome et coordonnatrice de la filière bovine pour Nova Bœuf, était sur place accompagnée de M. Yannick Sauvé, directeur mise en marché bouvillon d’abattage aux PBQ, pour présenter leur conférence « De la génétique à la qualité de la carcasse : défis et opportunités pour l’avenir ».

Les participants ont pu en apprendre davantage sur les besoins et critères de qualité recherchés par l’industrie et sur la manière dont la génétique peut aider à les atteindre. M. Sylvain Lefebvre, directeur du développement des affaires au Centre d’insémination artificielle du Québec, a terminé cette soirée avec une conférence intitulée « Comment l’insémination artificielle peut-elle améliorer la génétique de vos troupeaux? ».

Source : Les Producteurs de bovins de la Mauricie

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