INFOLETTRE

La minute bovine – Mars 2018

 


ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2018

Toutes les productrices et tous les producteurs de bovins visés par le Plan conjoint des PBQ sont invités à prendre part à leur 36e assemblée générale annuelle. Cette année, l’événement se déroulera sous le thème « La Production bovine québécoise, c’est : une filière veau, une filière bœuf ».

L’AGA se tiendra les 4 et 5 avril 2018 à l’Hôtel Travelodge Québec (anciennement Hôtel Clarion).

L’assemblée générale annuelle constitue un incontournable pour les producteurs de bovins du Québec. Notez, toutefois, que seuls les producteurs de bovins délégués par leur syndicat régional ont droit de vote. Pour plus d’information et pour prendre connaissance de l’ordre du jour, cliquez ici.

 

Les PBQ tiennent à remercier tous les commanditaires de l’AGA 2018 incluant,notamment, Zoetis, Merck Santé animale et Aliments Breton.

 

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ZOETIS : COMMANDITAIRE OFFICIEL DE L’AGA 2018

Les Producteurs de bovins du Québec sont heureux d’offrir à Zoetis un espace privilégié pour se présenter à nos abonnés.

Un support à la clientèle inégalé

L’équipe de vétérinaires Zoetis est pleinement engagée à travailler avec nos clients vétérinaires et avec leurs clients producteurs. Leur fonction est d’offrir un soutien en répondant à vos questions et en vous suggérant des pistes de solutions.

Programmes à valeur ajoutée et formation des producteurs en collaboration avec leur praticien

  • Le programme SelectVac Gold
  • La garantie CRB
  • Présentations sur mesure lors de différentes réunions de producteurs
  • Formation d’utilisation et d’administration de produits sur place

Le programme Zoetis de surveillance de la susceptibilité aux bactéries pathogènes du complexe respiratoire bovin et porcin (CRB et CRP)

Ce programme de surveillance a été initié en 1998 pour suivre in vitro la susceptibilité des bactéries pathogènes aux drogues les plus communes utilisées dans le traitement du CRB et CRP. Trois laboratoires du Canada et 17 laboratoires des États-Unis ont soumis des échantillons en 2015.

Les informations générées par ce programme sont utilisées pour :

  • Surveiller l’apparition d’isolats résistants;
  • Détecter précocement une baisse de la susceptibilité;
  • Appuyer les allégations de susceptibilité des pathogènes sur les étiquettes des anti-infectieux Zoetis.

 

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LES INTENTIONS DU PLAN DES PBQ ANNONCÉES AU PUBLIC

Pour 2018-2025, les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) ont décidé de se doter d’un plan de développement visant à augmenter notre production d’ici sept ans. Les présidents des différents syndicats régionaux ont déjà entamé une campagne dans les médias pour informer la population quant aux fondements de l’initiative et sa nécessité.

L’objectif est d’atteindre un volume nécessaire de production pour que la filière québécoise soit prospère et durable, avoir des fermes en meilleure santé financière qui pourront mieux conjuguer avec les fluctuations du marché et être plus attrayantes pour la relève. Les prix du bœuf sont influencés par les cours mondiaux et nos entreprises ont des besoins bien particuliers dans ce contexte où la compétition se base sur des modèles de fermes bien différentes des nôtres.

Pour y arriver, les PBQ souhaitent travailler avec le gouvernement à élaborer une législation qui répondrait aux attentes du public en ce qui concerne le respect de l’environnement et du bien-être animal ainsi qu’aux aspirations à croître des producteurs. Ensuite, nous voulons mettre de l’avant un plan de marketing majeur pour le bœuf et le veau du Québec afin de nous démarquer de la compétition provenant des importations, notamment celles provenant de l’Union européenne. Les producteurs souhaitent spécialement s’adresser aux Québécois et faire valoir leur particularité dans ce grand marché où seulement 20 à 30 % du bœuf consommé par nos concitoyens vient de nos fermes.

Les PBQ garderont leurs membres informés des avancements du plan de développement et des pourparlers avec les instances gouvernementales dans leurs différents canaux de communications incluant, mais non exclusivement, le groupe Facebook « Les Producteurs de bovins du Québec », l’infolettre La minute bovine et le cahier spécial Bovins du Québec inclus dans La Terre de chez nous quatre fois par année.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

POUR PARTAGER L’ALBUM « FORCES ET DÉFIS DE LA PRODUCTION BOVINE » SUR FACEBOOK

Copiez ce lien https://www.facebook.com/media/set/?set=oa.149458455867387&type=3 et collez-le sur votre profil Facebook et cliquez sur « Publier ».

 

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VEAU DE GRAIN : CONFÉRENCES DISPONIBLES EN LIGNE

Le 1er mars 2018, plus de 80 éleveurs de veaux de grain, de veaux de lait et intervenants du secteur ont participé à la journée INPACQ veaux de grain 2018. Les participants ont assisté à deux conférences en matinée au Club de golf d’Acton Vale traitant de la ventilation et du contrôle de la vermine. M. Bruno Marquis, ingénieur spécialiste en ventilation, a présenté, entre autres, tous les types de ventilation que l’on peut retrouver dans un bâtiment agricole avec leurs avantages et leurs inconvénients. Par la suite, M. Hugues Lefebvre, spécialiste en contrôle de la vermine,  a présenté les risques associés à la présence de rongeurs, de mouches ou de pigeons et la façon de contrôler efficacement ces populations.

En après-midi, les participants ont pu mettre en pratique ces concepts lors d’ateliers donnés à la ferme de veaux de grain de M. Jocelyn Grenier, vice-président du comité de mise en marché des veaux de grain et producteur de Sainte-Christine. Celui-ci était également responsable de l’un des ateliers où il a présenté son entreprise et ses expériences d’analyse de groupes (technico-économique).

Un dernier atelier traitant des bonnes pratiques de nettoyage des équipements d’allaitement était donné par M. Frédéric Beaulac, vétérinaire. Chapeau à tous les conférenciers et à M. Jocelyn Grenier pour avoir fait de cette journée un réel succès!

 

 

Les conférences sont disponibles en ligne en en cliquant ici.

 

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER : PLUSIEURS CHANTIERS EN COURS

Dans le cadre de l’application du plan stratégique du secteur veau laitier, voici trois projets qui seront réalisés par le comité de mise en marché des bovins de réforme et des veaux laitiers.

Groupe de travail sur la santé des veaux laitiers

Le comité a approuvé la création d’un panel d’experts vétérinaires qui aura le mandat suivant :

  1. Évaluer les résultats de la collecte de données sur la santé des veaux laitiers mis en marché;
  2. Faire état des connaissances sur la santé des veaux laitiers reliée à la commercialisation;
  3. Établir des critères de santé pour la mise en marché des veaux laitiers;
  4. Développer les protocoles de soins des veaux laitiers.

Ce projet est associé à la feuille de route — veaux laitiers 2017-2022.

Projet d’estimation du coût de production d’un veau laitier

Le comité a adopté un projet d’estimation du coût économique de production d’un veau laitier selon le temps qu’il passe à la ferme de naissance. Le mandat sera réalisé par Valacta et permettra d’outiller les producteurs laitiers dans leur prise de décision concernant la commercialisation de leurs veaux.

Projet de recherche sur l’engraissement de bouvillons de race holstein

Le comité a approuvé la réalisation d’un projet d’évaluation du potentiel agronomique et économique de l’engraissement de veaux laitiers en bouvillons de race holstein.

Le mandat consistera à effectuer un recensement des différents programmes d’alimentation existants et des différentes étapes d’engraissement, d’établir un programme d’engraissement adapté au Québec et de réaliser un projet pilote d’engraissement.

 

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BOUVILLON : UNE AUGMENTATION DES ABATTAGES AU QUÉBEC EN 2017

 

Au cours de l’année 2017, quelque 12 700 bouvillons engraissés au Québec ont été abattus dans les abattoirs de la province, soit près de 14 % des abattages totaux. Il s’agit d’une augmentation de 35 % par rapport à 2016, l’année où il y a eu le plus faible niveau d’abattage au Québec au cours des cinq dernières années. Une bonne nouvelle pour les abattoirs de chez nous!

 

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BOUVILLON : UNE AUGMENTATION DES ABATTAGES AU QUÉBEC EN 2017

L’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) a reçu du financement du programme Prime-Vert pour réaliser le projet « Émissions de GES des modes d’élevages de bovins de boucherie au Québec : quantification et réduction ».

Ce projet a pour but de quantifier et de comparer les émissions de GES des élevages de vache-veau sous différentes régies, soit l’aménagement traditionnel avec bâtiment d’élevage et l’élevage alternatif avec enclos d’hivernage.

Pour y arriver, une approche basée sur la méthode d’analyse de cycle de vie, prenant en compte les opérations reliées à la production des aliments, à la fermentation entérique des animaux et à la gestion et l’épandage des fumiers sera utilisée.

Des producteurs de vache-veau des régions de l’Outaouais et du Bas-Saint-Laurent participeront à l’étude afin de répondre à un questionnaire concernant la régie d’élevage, l’alimentation et les terres en culture et en pâturage. Des échantillons d’aliments et de déjections fraîches seront prélevés.

Dans les prochains mois, les émissions de GES de chaque scénario seront évaluées pour deux régions distinctes du Québec. Chaque région apportera des variantes en regard de l’alimentation, des cultures et de la gestion des fumiers. À partir des équations et des données retenues lors de la revue de littérature, les émissions de GES (kg CO2e/kg veau) seront calculées pour chaque scénario en tenant compte de toutes les opérations de la production de vache-veau jusqu’à la vente des veaux, incluant la production des aliments, l’élevage des animaux, la gestion et l’épandage des fumiers.

Ensuite, les calculs d’émissions de GES provenant de la fermentation entérique, de la gestion des fumiers et de l’épandage au champ seront révisés en considérant des données réelles obtenues par l’analyse d’échantillons des déjections, de fumier et d’aliments prélevés sur les fermes types. À la fin du projet, deux scénarios pour lesquels les plus faibles émissions de GES sont calculées seront proposés afin de faire des recommandations aux producteurs et intervenants du milieu.

Les résultats devraient être connus en 2020.

Source : Nathalie Côté, agronome

 

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PROGRAMME D’ÉCHANGE DES IDENTIFIANTS – BILAN

Le programme d’échange des identifiants REG pour le modèle Ultraflex s’est terminé le

 30 novembre dernier. Près de 2 000 producteurs ont participé au programme, ce qui a contribué au remplacement de 6 347 identifiants et aussi régularisé 52 313 identifiants inscrits dans les dossiers de producteurs. En parallèle, 102 visites de ferme ont été effectuées. Celles-ci avaient pour but d’évaluer la rétention des identifiants. Le taux de perte observé de l’identifiant REG était en moyenne 32 %, tandis que l’Ultraflex était d’environ 5,5 %. Aussi, 3 % des bovins n’avaient plus d’identifiants. L’évaluation de la rétention a été faite tant sur des entreprises laitières que de boucheries. Il s’était écoulé quatre ans depuis la dernière évaluation.

En résumé, le projet dresse les conclusions suivantes :

  • L’environnement d’élevage et la pose des identifiants sont les deux facteurs majeurs pour une rétention fiable.
  • Les producteurs doivent utiliser le bon applicateur avec le pointeau vert. Les identifiants doivent être appliqués selon les directives d’Agri-Traçabilité Québec et d’Allflex, lorsque les oreilles le permettent.
  • Les bovins ayant accès aux pâturages et abris naturels sont plus à risque de perdre des identifiants.
  • Les producteurs visités ont reconnu que l’identifiant Ultraflex démontre des qualités de rétention supérieure aux précédents modèles.

Ce projet a été réalisé grâce à une aide financière du Programme de développement sectoriel, issu de l’accord Cultivons l’avenir 2 conclu entre le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec et Agriculture et Agroalimentaire Canada. Pour prendre connaissance de l’entièreté du rapport final, cliquez ici.

 

 

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IDENTIFIANTS MÉTALLIQUES DE SÉCURITÉ POUR BOVINS DE BOUCHERIE ET BOVINS LAITIERS DISPONIBLES CHEZ ATQ

Les producteurs de bovins du Québec peuvent maintenant commander chez Agri-Traçabilité Québec (ATQ) les identifiants métalliques de sécurité Ketchum Kurl-Lock no.2 portant les neuf derniers chiffres de l’identifiant officiel. ATQ précise qu’il s’agit d’un identifiant non officiel, complémentaire aux identifiants règlementaires.

Conditions d’utilisation

ATQ vous rappelle que les identifiants officiels doivent être posés dans les délais prévus au Règlement sur l’identification et la traçabilité de certains animaux. L’identifiant métallique complémentaire devrait être posé en même temps que les identifiants officiels et doit obligatoirement porter le même numéro. Un animal ayant perdu un identifiant officiel (boucle électronique ou panneau visuel) pourra attendre sa sortie de l’exploitation avant d’être identifié à nouveau, s’il porte également un identifiant métallique du même numéro que les identifiants officiels. Afin d’assurer l’identification de l’animal en tout temps, celui-ci doit toujours porter deux étiquettes sur trois. Il est à noter qu’à leur sortie de l’exploitation, tous les animaux doivent porter leurs deux identifiants règlementaires, c’est-à-dire la boucle électronique RFID et le panneau visuel Ultraflex.

Pour plus d’information ou pour passer une commande, n’hésitez pas à contacter le service à la clientèle d’ATQ au 1 866 270-4319 ou visitez leur site Web en cliquant ici.

 

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REEIE: LES PBQ ONT RENCONTRÉ LE MDDELCC

Le 13 décembre 2017, le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) a annoncé son projet de modification du Règlement sur l’évaluation et l’examen des impacts sur l’environnement (REEIE). En résumé, tout projet amenant le nombre d’unités animales d’un site à plus de 600 unités animales en gestion liquide ou à plus de 1 000 unités animales en gestion solide sera soumis à une procédure d’évaluation et d’examen des impacts environnementaux qui implique, au minimum, la réalisation d’une étude d’impact. Les entreprises existantes qui dépassent ces seuils devront se soumettre au même processus lors de la demande d’un certificat d’autorisation.

Les PBQ considèrent que les coûts associés à la procédure d’évaluation et d’examen des impacts, estimés à un coût minimum de 80 000 $, sont disproportionnés par rapport aux bénéfices environnementaux qu’apporte le projet de modification du règlement. La santé financière d’entreprises familiales s’en trouvera affectée. Les demandes des PBQ, exprimées dans un mémoire transmis au MDDELCC et lors d’une rencontre avec le personnel politique de la ministre, sont les suivantes :

À défaut d’exclure les activités d’élevage du règlement,

  • les seuils d’unités animales doivent être, au minimum, doublés; et
  • les frais associés à la procédure doivent être réduits au maximum.

Les PBQ poursuivent leurs représentations reliées à ce dossier.

 

Pour prendre connaissance du mémoire des PBQ remis au MDDELCC, cliquez ici.

 

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JOURNÉE BOVINE DE LA CAPITALE-NATIONALE-CÔTE-NORD

Le 28 février dernier, 94 personnes ont assisté à une journée bovine organisée par les Producteurs de bovins de Capitale-Nationale-Côte-Nord. L’événement qui s’est tenu à la ferme AGR SENC et à la ferme Louber inc. a permis aux participants d’échanger avec les propriétaires des entreprises de divers sujets, notamment ceux touchant la régie, la reproduction, la génétique et l’alimentation. Les participants ont grandement apprécié le déroulement de cette journée.

Pour visionner l’album photo, cliquez ici

 

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FACEBOOK DES PBQ : AIMEZ, PUBLIEZ, PARTAGEZ!

Depuis février dernier, les PBQ ont lancé le groupe Facebook « Les Producteurs de bovins du Québec ». Depuis, c’est plus de 300 productrices, producteurs et personnes de l’industrie qui sont regroupés dans une même plateforme. Pour y accéder, cliquez ici. Pour partager le groupe, copier et coller le lien https://www.facebook.com/groups/bovinsqc/ sur votre mur ou dans le corps d’un courriel!

 

 

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MACHINERIE: ÉTUDE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL

La 5e édition de l’Étude sur les conditions de travail, pilotée par le Groupe AGÉCO, pour le compte d’AGRIcarrières, est en branle! En plus des métiers des secteurs laitier, porcin et serricole, pour une première fois, celle-ci inclura les salaires et conditions de travail du secteur avicole et du métier d’Opérateur de machinerie agricole (incluant les productions bovines, maraîchères, pommes de terre et grains).

Participez à la cueillette de données qui aura lieu tout au long du mois de mars, en remplissant le questionnaire en ligne qui vous sera envoyé dans les prochains jours ou en répondant par téléphone à l’équipe d’AGÉCO. Il vous suffira de 10 minutes pour compléter le tout, et vous pourriez gagner un des deux prix de participation d’un montant de 500 $ chacun![1]

Les résultats globaux de l’étude vous permettront de connaître les salaires et les conditions de travail offerts sur le marché pour les métiers les plus significatifs du secteur agricole, par le biais d’un échantillonnage de plus de 500 entreprises. Les réponses seront traitées de façon confidentielle par AGÉCO, et seules des données regroupées seront présentées.

Les Producteurs de bovins du Québec comptent parmi les fiers partenaires de la réalisation

 de cette étude.

Pour toute information, communiquez avec AGRIcarrières au 450 679-0540, poste 8630.

[1] Le tirage aura lieu le vendredi 13 avril. Les gagnants seront informés par téléphone et leurs noms apparaîtront également sur le site web www.agricarrieres.qc.ca.

 

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ASREC : NOUVELLE COUVERTURE POUR LE FOIN BIOLOGIQUE

La Financière agricole du Québec (FADQ) a récemment annoncé qu’elle offre une nouvelle protection d’assurance récolte pour le foin biologique. Le prix unitaire de cette nouvelle protection est de 213 $/t, soit une fois et demi celui du foin produit sous gestion conventionnelle, lequel a augmenté de 7 % en 2018, passant à 142 $/t.

Par ailleurs, cette nouvelle protection et l’augmentation du prix unitaire du foin produit sous gestion conventionnelle s’accompagnent d’une diminution du taux de prime de 18 % à 40 % selon les options de garanties. Les producteurs de foin peuvent donc compter sur une meilleure couverture d’assurance, et ce, à moindre coût. L’adhésion au Programme d’assurance récolte pour l’année 2018 se fait à compter du 15 février et se termine le 30 avril 2018.

Source : FADQ

Pour plus d’information sur l’adhésion au Programme d’assurance récolte, cliquez ici pour rejoindre le site web de la FADQ.

 

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