INFOLETTRE

La Minute bovine – Février 2020

ACTUALITÉ :

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE :Assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec

REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE : Assemblée générale spéciale des producteurs de bouvillons d’abattage (Hôtel Le Concorde Québec) 

REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE : Assemblée générale spéciale des producteurs de veaux de lait (Hôtel Le Concorde Québec) 

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

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ACTUALITÉ  :

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PROPANE : PROCÉDURE D’ALERTE EN CAS DE RISQUE DE PÉNURIE

Suite au blocus des chemins de fer et considérant l’importance de l’utilisation du propane dans certaines productions animales (dont notamment les productions de veaux de gain et de veaux de lait), l’Union des producteurs agricoles (UPA), le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) et le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN) ont mis en place la procédure d’alerte suivante :

  • Si un producteur de bovins manque de propane, ou s’il prévoit en manquer dans 48 heures ou moins, et n’arrive pas à s’en procurer via son distributeur de propane, il doit en informer rapidement Les Producteurs de bovins du Québec. Si votre problématique survient en dehors des heures régulières, contactez le 450-679-0540, poste 8110.
  • L’UPA fera suivre l’information complète au MAPAQ :
    • Coordonnées du producteur
    • Type de production
    • Estimation des volumes requis
    • Délai estimé avant l’épuisement du stock de propane (si possible)
    • Toute autre information pertinente.
  • Le MAPAQ informera le MERN afin d’assurer le relais auprès des différents propaniers du Québec pour fournir une réponse rapide aux besoins des animaux.

Les besoins en propane du secteur des productions animales seront priorisés.

Source : UPA

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CONCOURS « TOURNEZ-VOUS VERS L’EXCELLENCE! »

Le concours, c’est :

  • une visibilité nationale pour les entreprises de la relève;
  • 13 000 $ en bourses chaque année;
  • jusqu’à cinq gagnants par édition;
  • une belle reconnaissance du travail des agriculteurs.

La période d’appel de candidatures est maintenant ouverte pour la 15 édition du concours « Tournez-vous vers l’excellence ! »

Un nouveau formulaire est disponible dans le site Web pour que les jeunes producteurs puissent s’inscrire.

Rappelons que deux producteurs de bovins de boucherie ont été lauréats du concours pour l’édition 2019.

Source : La Financière agricole

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NOUVEAUTÉ : EMBAUCHER ET FORMER UN NOUVEL EMPLOYÉ AVEC AGRIEMPLOI

AGRIcarrières, le comité sectoriel de main-d’œuvre de la production agricole, rend disponible dès maintenant un nouveau programme d’aide au recrutement et à la formation pour les employeurs agricole en production bovine ! AgriEmploi a pour but d’aider les producteurs à recruter, former et garder un nouvel employé qui possède peu ou pas d’expérience ou de formation en agriculture, mais qui est motivé et qui possède toutes les qualités personnelles pour réussir dans le domaine

Les avantages considérables pour votre entreprise :

  • Entièrement gratuit;
  • Remboursement régressif du salaire de l’employé pendant 24 semaines;
  • Soutien pour le recrutement d’un employé, pour l’intégration et la formation en milieu de travail par le Centre d’emploi agricole de votre région (CEA);
  • Accès au matériel pédagogique testé et facile d’utilisation en milieu de travail.

Profitez de ce programme dès maintenant !

Pour connaître tous les détails et prendre part au programme AgriEmploi, communiquez avec le Centre d’emploi agricole de votre région!

Source : Agricarrières

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GUIDE DE DÉCOUPES DU BŒUF CANADIEN DISPONIBLE!

Le Bœuf canadien offre désormais la possibilité aux détaillants de commander des affiches démontrant les différentes découpes aux consommateurs.

Un produit promotionnel fort intéressant pour les producteurs qui mettent en marché à la ferme. On peut les commander en divers formats au lien suivant.

Source : Le Bœuf canadien

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PLUS DE 10 MILLIONS DE DOLLARS VERSÉS AUX PRODUCTEURS DE FOIN ET DE PÂTURAGES

La Financière agricole du Québec (FADQ) versera, au début du mois de février, plus de 10  millions de dollars à près de 1  940 producteurs de foin et de pâturages dans le cadre du Programme d’assurance récolte.

Les régions les plus touchées sont les suivantes :

  • Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec : 3,7 millions de dollars;
  • Montérégie : 2,8 millions de dollars;
  • Bas-Saint-Laurent : 2 millions de dollars.

Ce versement considère, notamment :

  • un ajustement de la valeur de remplacement pour tenir compte de l’augmentation significative du prix du foin en période de rareté;
  • les pertes occasionnées par les retards de croissance dus à un printemps tardif dans certaines régions.

Ce paiement porte à environ 44 millions de dollars le montant total versé à 3 430 producteurs de foin et de pâturages en 2019. Ainsi, au cours des deux dernières années, la protection d’assurance récolte foin et pâturages aura versé en indemnités près de 104 millions de dollars pour une contribution des producteurs de 8 millions de dollars.

Pour plus de détails.

Source : La Financière agricole du Québec

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NOUVEAUTÉS ET BONIFICATIONS DES PROGRAMMES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE

Voici des informations de la Financière agricole du Québec (FADQ) pouvant être d’intérêt pour les producteurs de bœufs et de veaux du Québec.

Garantie de prêt levier : garantie de prêt pouvant atteindre jusqu’à 100 000 dollars, sans prise de  garantie mobilière ou immobilière.

PROGRAMME D’ASSURANCE RÉCOLTE (ASREC)

Nouvelles protections

Céréales d’automne : Protection contre la mortalité hivernale (semis 2019).

Maïs-grain : l’option de prix de marché s’ajoute aux options de prix unitaires déjà offertes.

Rabais de contribution à l’ASREC : maximum de 2 500 $ par exploitant qualifié pendant trois ans.

Rabais de contribution à l’ASREC : maximum de 2 500 $ par exploitant qualifié pendant trois ans.

Pour plus d’informations, contactez la FADQ.

 Source : La Financière agricole du Québec

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NOUVELLE AGENTE AUX PROGRAMMES QUALITÉ ET BIEN-ÊTRE ANIMAL AUX PBQ

Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) ont récemment procédé à l’embauche de Sirine El Hamdaoui à titre d’agente aux programmes qualité et bien-être animal. Mme El Hamdaoui est détentrice d’un baccalauréat en ingénierie agricole de l’ISA Lille, en France, où elle s’est spécialisée en bien-être animal. Elle est également détentrice d’une maîtrise appliquée en science animale de l’Université McGill, où sa formation a plutôt été axée sur le développement durable en production animale. Mme El Hamdaoui est également membre de l’Ordre des agronomes du Québec.

Sirine El Hamdaoui contribuera aux objectifs des PBQ de poursuivre le développement d’une production dynamique et durable. Rappelons que les PBQ font la promotion de divers programmes de certification dans la filière bœuf et dans la filière veau (ex. VBP+, Veau de grain du Québec certifié, etc.).

Source : PBQ

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Crédit photo : Gouvernement du Canada

SANTÉ ANIMALE :  

BALADO : GARDER LE BÉTAIL CANADIEN EN SANTÉ

Dans ce balado, Mme Michelle Borysenko, experte de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), explique comment les exigences modernisées soutiennent l’utilisation prudente des médicaments dans les aliments du bétail pour aider à garder nos animaux de ferme en bonne santé.

Cliquez ici pour écouter.

 Source : ACIA

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REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE : Assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec

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NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION  :

UNE PÉRIODE DE TRANSITION DE DEUX ANS ACCORDÉE DANS L’APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION SUR LE TRANSPORT DANS LE SECTEUR BOVIN

En décembre 2019, la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire Canada (AAC), Marie-Claude Bibeau, s’est adressée aux producteurs de bovins au sujet de la réglementation du transport du bétail lors du barbecue de la Canadian Cattlemen’s Association (CCA) sur la Colline Parlementaire. Bien que la ministre ait indiqué que la réglementation entrerait toujours en vigueur le 20 février 2020, il y aura une « période de transition » de deux ans sur les dispositions relatives aux aliments, à l’eau et aux intervalles de repos pour le secteur bovin.

Vous trouverez ci-dessous le communiqué publié par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) décrivant les détails de la période de transition de deux ans :

Application progressive du Règlement sur la santé des animaux partie XII : modification au règlement sur le transport des animaux (Règlement), qui entrera en vigueur le 20 février 2020.
 
L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a pour mandat d’appliquer la législation canadienne sur la santé des animaux, y compris les mises à jour apportées aux dispositions sur le Règlement.  Bien qu’assurer le bien-être des animaux pendant le transport demeure notre priorité absolue, nous reconnaissons que, dans certains secteurs de l’industrie, des ajustements importants sont nécessaires pour répondre aux nouvelles exigences en matière de transport des animaux à compter du 20 février 2020.

Comment l’ACIA fera-t-elle respecter la réglementation   ?
 
L’approche de l’ACIA en matière d’application de la réglementation permettra d’équilibrer la nécessité d’assurer le bien-être des animaux pendant tout le processus de transport tout en aidant les différents secteurs de l’industrie à se conformer à la réglementation.
 
Les mesures d’exécution, le cas échéant, seront proportionnelles à la situation en matière de bien-être des animaux et à la gravité du non-respect et peuvent comprendre des avis verbaux ou écrits ou un avis de violation (avec avertissement ou sanction monétaire). Des facteurs tels que le préjudice potentiel ou réel, les antécédents de conformité et l’intention sont également pris en considération.

 L’ACIA mettra en place une période de transition pour les dispositions relatives à l’alimentation, à l’accès à l’eau et aux intervalles de repos pour les bovins et les autres secteurs.
 
L’ACIA prendra-t-elle des mesures d’exécution concernant les dispositions prescriptives relatives à l’alimentation, à l’accès à l’eau et aux intervalles de temps de repos dans le règlement modifié ?
 
L’ACIA comprend les difficultés rencontrées par certains secteurs pour se conformer aux nouvelles exigences concernant l’alimentation, l’accès à l’eau et les temps de repos, qui pourraient inclure la nécessité de mettre en place de nouvelles infrastructures ou de modifier les pratiques de commercialisation afin de respecter les intervalles réduits pour l’alimentation, l’accès à l’eau et les temps de repos.
 
Au fur et à mesure que l’industrie effectue la transition et s’adapte aux nouveaux intervalles de temps de transport prévus au nouveau Règlement, l’ACIA concentrera ses activités pour le respect de l’accès à l’eau et des temps de repos sur la promotion de la conformité par des mesures d’éducation et de sensibilisation pendant les deux premières années.  Cela fait partie du continuum de conformité de l’ACIA. Cette approche éducative permettra à l’ACIA et à l’industrie de continuer à travailler ensemble sur des solutions efficaces aux problèmes identifiés et, aux secteurs de l’élevage, de mettre en œuvre les ajustements nécessaires.
 
Selon notre interprétation initiale, la CCA est satisfaite de l’annonce et espère que l’ACIA est disposée à faire une pause et à tenir compte des recherches en cours sur le transport du bétail financées par le gouvernement fédéral. Il est impératif que nous mettions en place les bonnes réglementations et que nous garantissions le plus grand nombre de retombées positives pour les animaux transportés.
 
La CCA participe actuellement à un groupe de travail conjoint ACIA/industrie chargé d’identifier les problèmes potentiels liés à la réglementation et d’élaborer des solutions à ces problèmes. L’un des principaux objectifs du groupe de travail est d’affiner le document d’interprétation réglementaire actuel de l’ACIA.
 
À l’approche de la date de mise en œuvre du 20 février, nous encourageons les producteurs de bovins à contacter la CCA pour toute question concernant la réglementation ou consulter le site du gouvernement ici. La CCA continuera à travailler en étroite collaboration avec l’ACIA pendant la période de transition de deux ans afin d’atténuer les effets négatifs potentiels de la réglementation et de maintenir les bons résultats obtenus par les producteurs de bovins en matière de transport des bovins au Canada.

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ANNIVERSAIRE DE L’ACCORD COMMERCIAL ENTRE LE CANADA ET LA CORÉE DU SUD

Janvier 2020 marque le cinquième anniversaire de l’accord de libre-échange Canada-Corée (ALECC) et la sixième des quinze réductions tarifaires annuelles. Avant l’entrée en vigueur de l’ALECC, les droits de douane coréens sur les exportations canadiennes de découpes de bœuf frais, réfrigérés et congelés étaient de 40 %. Pour 2020, les droits de douane sur le bœuf canadien sont ramenés à 24 % et seront éliminés d’ici 2029. Pour les abats de bœuf, les droits de 18 % seront éliminés d’ici 2026 et sont réduits à 8,2 % pour le Canada en 2020. Tous les bœufs et abats doivent provenir d’animaux âgés de moins de trente mois. Les exportations de bœuf du Canada vers la Corée du Sud sont passées à 38 millions de dollars (depuis novembre 2019), ce qui représente une augmentation de 75 % par rapport à 2014.

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VOICI COMMENT DÉPOSER UNE PLAINTE CONCERNANT L’ÉTIQUETAGE DES PRODUITS ALIMENTAIRES

L’effort visant à empêcher les producteurs et les commerçants de produits alimentaires d’étiqueter comme viande les aliments protéiques alternatifs à base de végétaux comme « viande » au Canada s’inscrit dans un mouvement international visant à obtenir une nomenclature commune pour la viande dérivée de protéines animales. Le Canada a ses propres exigences réglementaires dans ce domaine, qui doivent être respectées. L’utilisation d’allégations sanitaires et environnementales liées à ces produits est également un domaine nécessitant une mise en application. La Canadian Cattlemen’s Association (CCA) a élaboré un document expliquant comment déposer une plainte concernant l’étiquetage trompeur de produits alimentaires auprès du gouvernement du Canada.

Au Canada, l’organisme de réglementation chargé de faire respecter ces exigences est notamment l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA). Si vous trouvez un nom de produit, une étiquette, une publicité ou des informations publiées par l’ACIA pour être faux ou trompeurs, vous pouvez porter plainte. Au Québec, les plaintes sont premièrement traitées par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) au lieu de l’ACIA. Vous pouvez déposer une plainte en utilisant le formulaire en ligne sur la page « Plaintes » à mapaq.gouv.qc.ca ou en appelant le 1-800-463-5023.

Des informations spécifiques sur le produit alimentaire par rapport auquel lequel vous déposez une plainte vous seront demandées, comme le lieu et le moment où vous l’avez vu. Bien que le formulaire indique qu’il s’agit d’un problème de sécurité alimentaire ou d’étiquetage, vous pouvez l’utiliser pour signaler une plainte relative au nom, à l’étiquetage, à la publicité ou aux informations véhiculées par l’entreprise du produit alimentaire à son sujet (y compris sur support papier et numérique).

Si vous déposez une plainte, nous vous invitons à tenir la CCA et/ou votre association provinciale au courant de la procédure.

Click below to screen CCA’s last newsletters (en anglais seulement) : 

January 20th Edition                                February 3rd Edition                                February 18th Edition

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BOUVILLON :

LE BŒUF CANADIEN EN TOURNÉE À MONTRÉAL

 

La Ferme Anglo Acres, dont est copropriétaire Mme Agnew, est certifié VBP+ et admissible au « Bœuf durable ».

À l’occasion des Lauréats des saveurs du Canada, le 10 février dernier, l’organisme Le Bœuf canadien était de passage à l’Institut culinaire Pius de Montréal.

À cette occasion, Chantal Agnew, productrice de veau d’embouche et de bouvillons de Saint-Chrysostome, était présente pour s’entretenir avec les jeunes et les professeurs présents sur les pratiques d’élevage des éleveurs québécois.

Le film « Guardians of the Grasslands » a également été présenté au public afin de démontrer l’apport indéniable de la production de bœuf de boucherie sur les écosystèmes canadiens.

 

Visionnez la bande annonce de Guardians of the Grasslands :

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REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE : Assemblée générale spéciale des producteurs de bouvillons d’abattage

À LIRE AUSSI : GUIDE DE DÉCOUPES DU BŒUF CANADIEN DISPONIBLE

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER :

COMMENT LES ACHETEURS ÉVALUENT-ILS LA VALEUR D’UNE VACHE DE RÉFORME

Afin d’établir le prix qu’ils sont prêts à donner pour une vache de réforme, les acheteurs évaluent son rendement carcasse potentiel. La valeur de la vache est déterminée en quelques secondes par ces derniers durant son passage dans l’aire de vente à l’encan. En d’autres mots, ils évaluent rapidement la quantité de viande que donnera la vache qui passe devant leurs yeux.

Le rendement carcasse est un pourcentage obtenu en divisant le poids de la carcasse chaude par le poids vif. Une fois que la peau, la tête, les pieds et les intestins ont été retirés, on parle d’une carcasse chaude. Faisant suite au refroidissement, celle-ci aura perdu 1 à 2 % de poids par l’évaporation d’eau dans les muscles. La présence de gras dorsal et interne aura également un impact sur la quantité de viande obtenue. Le rendement des vaches laitières étant souvent inférieur à celui des vaches de boucherie, leur valeur par livre de poids vif est également inférieure.

Le tableau suivant illustre les différences de rendement et de prix, pour la semaine du 27 janvier 2020, de trois vaches de réforme.

On constate que le prix pour les animaux de boucherie est supérieur au prix des animaux laitiers. Cela s’explique par la quantité supérieure de viande disponible à la suite de la découpe et du désossage de ces carcasses.

_____________________

Sources : Blakely, Don. 2005. Composition du corps et de la carcasse des vaches de réforme. http://www.omafra.gov.on.ca/french/livestock/beef/facts/05-076.htm

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RECHERCHE SUR LE TRANSPORT DES VEAUX LAITIERS, DES VEAUX DE GRAIN ET DES VEAUX DE LAIT

Les PBQ mènent actuellement un projet visant à évaluer le transport des veaux laitiers sur le territoire québécois. Ce projet est réalisé en collaboration avec l’équipe de recherche de la Faculté de médecine vétérinaire et la division bovine du Centre de développement du porc du Québec.

L’étude se résumera à suivre des veaux laitiers dans leur transport de la ferme laitière à l’encan cet hiver de manière à prendre connaissance de la santé des animaux en fonction de plusieurs facteurs (ex. conditions de transport, durée du transport, etc.).

Producteurs laitiers

Dans les prochains mois, certains producteurs laitiers pourraient être appelés à participer à ce projet. Il leur sera notamment demandé d’autoriser l’évaluation des veaux lors de leur embarquement à la ferme laitière, durant le transport puis à l’encan. Il est à noter que ce volet du projet sera également répété à l’été 2020.

Producteurs de veaux de grain et de veaux de lait 

Des évaluations de  transports de veaux entre la ferme et l’abattoir sont aussi prévus. Une vingtaine de producteurs participeront à ce projet ainsi que leurs transporteurs respectifs.

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RECHERCHE SUR LA SANTÉ DES VEAUX LAITIERS À L’ENCAN

Comme à l’été 2019, l’équipe de recherche de la Faculté de médecine vétérinaire effectuera une nouvelle évaluation de la santé des veaux laitiers aux encans. Ces derniers pourraient contacter des producteurs laitiers ayant vendu des veaux aux encans lors des visites pour un court questionnaire concernant le conditionnement des veaux à la ferme laitière. Il est à noter que le processus est confidentiel et que l’objectif du projet est d’accumuler des données permettant aux différents intervenants de la filière de prendre plus amplement connaissance des facteurs pouvant maximiser la qualité des veaux laitiers mis en marché.

Nous profitons d’ailleurs de ce message pour remercier ceux qui ont déjà répondu en grand nombre (près de 80 % des éleveurs contactés) lors de la première vague d’appels de l’été dernier.

Nous vous remercions d’avance de votre participation !

Source : PBQ

À LIRE AUSSI : POIDS MAXIMUM D’UNE CARCASSE DE VEAU

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VEAU DE GRAIN : 

POIDS MAXIMUM D’UNE CARCASSE DE VEAU

 Le 9 septembre dernier, pour faire suite à une demande de l’Association canadienne du veau (ACV), l’Agence canadienne de classement du bœuf (ACCB) a publié, sur son site Web, une proposition de modification au document sur les Exigences relatives à la classification des carcasses de bœuf, de bison et de veau visant l’augmentation du poids carcasse maximal d’un veau de 397 lb à 419 lb. C’est le 10 janvier 2020 que l’ACCB a indiqué, dans un communiqué de presse, que l’amendement a été approuvé et que ce dernier entrerait en vigueur dès le 15 janvier 2020. Au départ, l’objectif de la demande était de donner une certaine marge à l’industrie, sur les veaux dépassant légèrement le poids carcasse maximum de 397 lb afin d’éviter qu’ils ne soient considérés comme du bœuf non-classé. Cette situation engendrait des pertes financières tant pour les producteurs que pour les transformateurs.

Mise en marché des veaux de grain

Il est important de noter que malgré cette modification, le Règlement sur la production et la mise en marché des veaux de grain ainsi que la Convention avec l’acheteur de veau de grain (Convention) restent inchangés au Québec. Donc, conformément à l’article 1 de la Convention, la coupure de 10 % du prix de vente de la carcasse continuera à être effective sur les carcasses de veaux pesant plus de 397 lb. Le comité de mise en marché des veaux de grain se penche actuellement sur ce point afin de régulariser la situation.

Source : PBQ

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VEAU DE LAIT :  

POIDS MAXIMUM D’UNE CARCASSE DE VEAU

Le 9 septembre dernier, pour faire suite à une demande de l’Association canadienne du veau (ACV), l’Agence canadienne de classement du bœuf (ACCB) a publié, sur son site Web, une proposition de modification au document sur les Exigences relatives à la classification des carcasses de bœuf, de bison et de veau visant l’augmentation du poids carcasse maximal d’un veau de 397 lb à 419 lb. C’est le 10 janvier 2020 que l’ACCB a indiqué, dans un communiqué de presse, que l’amendement a été approuvé et que ce dernier entrerait en vigueur dès le 15 janvier 2020. Au départ, l’objectif de la demande était de donner une certaine marge à l’industrie, sur les veaux dépassant légèrement le poids carcasse maximum de 397 lb afin d’éviter qu’ils ne soient considérés comme du bœuf non-classé. Cette situation engendrait des pertes financières tant pour les producteurs que pour les transformateurs.

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REPORTÉE À UNE DATE INDÉTERMINÉE : Assemblée générale spéciale des producteurs de veaux de lait

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JOURNÉES DE FORMATION VEAU DE LAIT

Les 23 et 24 janvier dernier, des journées de formation destinées aux producteurs de veaux de lait se sont tenues respectivement à Saint-Hyacinthe et à Lévis. C’est plus de 20 producteurs et intervenants qui ont participé à ces événements qui s’inscrivent dans le cadre du programme d’accompagnement stratégique de FADQ.

Les participants ont pu prendre connaissance des résultats de l’analyse comparative des coûts de production entre le Québec et les Pays-Bas, leur permettant de mettre en lumière des points sur lesquels le secteur doit s’améliorer pour maximiser sa compétitivité. La santé et la qualité des veaux laitiers, ainsi que l’alimentation et la modernisation des élevages de veaux de lait ont été les éléments centraux des discussions.

Aussi, les participants ont été formés sur un outil simplifié de calcul de coût de revient pour le secteur veau de lait. Cet outil permet, entre autres, d’estimer le prix de vente des veaux de lait finis en fonction du prix des petits veaux laitiers et des différents coûts fixes et variables afférents à la conduite de l’élevage. L’outil est disponible pour les producteurs de veaux de lait via leur extranet au bovin.qc.ca.

Enfin, en après-midi, les participants ont pris connaissance des exigences du Programme canadien de salubrité des aliments à la ferme pour la production de veaux « Veau vérifié ». Pour en savoir plus sur le programme, visitez le lien suivant.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE :  

REMPLACEMENT DE CONGÉ DE MATERNITÉ – AGENT À LA MISE EN MARCHÉ DES VEAUX D’EMBOUCHE ET BOVINS DE RÉFORME ET VEAUX LAITIERS 

Depuis le 1er février, Mme Laurie Noiseux, agente à la mise en marché pour les secteurs bovin de réforme et veau laitier ainsi que veau d’embouche est en congé de maternité. Elle sera de retour aux PBQ à l’automne.

Pendant son congé, M. Denis Pelletier occupera ce poste. M. Pelletier a occupé, pendant plusieurs années, le poste d’agroéconomiste pour Les Producteurs de pommes de terre du Québec où il était notamment responsable du dossier de la sécurité du revenu et des coûts de production, du suivi des marchés et de l’application des règlements du Plan conjoint. Les PBQ lui souhaitent la bienvenue dans l’équipe et souhaite un très bon congé de maternité à Mme Noiseux.

Source : PBQ

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NOUVELLES RÉGIONALES :  

ESTRIE : 

RETOUR SUR LA TOURNÉE DES PRODUCTEURS DE BOVINS DU QUÉBEC EN ESTRIE

Le 20 janvier dernier, plus de 40 producteurs et productrices de veaux d’embouche se sont rassemblés en Estrie pour venir discuter des grands dossiers et des enjeux de l’année avec MM. Claude Viel, président et André Roy, directeur général ainsi que Mme Eve Martin, agronome, directrice des affaires économiques et de la mise en marché des veaux d’embouche aux PBQ. Les échanges ont été nombreux et tous ont apprécié leur soirée.

Source : Les Producteurs de bovins de l’Estrie

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MONTÉRÉGIE :

ORDRE NATIONAL DU MÉRITE AGRICOLE : INSCRIPTIONS

Cette année marque la 131édition de l’Ordre national du mérite agricole (ONMA), organisé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ).

C’est au tour des entrepreneurs des régions de la Montérégie-Est et Montérégie-Ouest de vivre cette expérience unique qui revient seulement une fois aux 5 ans.

Le concours s’adresse aux entreprises :

  • de toute taille;
  • de tout secteur de production;
  • enregistrées au MAPAQ et en activité depuis au moins 5 ans.

Pourquoi participer ?

Les anciens concurrents en témoignent : « Participer au concours de l’ONMA, c’est vivre une expérience enrichissante, sur le plan personnel et professionnel ».

Participer, c’est notamment…

  • obtenir un portrait complet sur son entreprise (points forts, points à améliorer) pour la faire progresser;
  • se comparer aux entreprises de sa région;
  • bénéficier d’une visibilité sur le plan régional et à l’échelle nationale;
  • prendre part à une séance photo réalisée par un professionnel sur les lieux de son entreprise;
  • assister à une soirée de gala de remise de prix rassemblant tous les concurrents et les acteurs du milieu agricole.

Comment s’inscrire ?

Les entrepreneurs agricoles sont invités à s’inscrire au plus tard le 1er mai dans les catégories bronze, argent ou or, en remplissant les formulaires d’inscription disponibles au www.onma.gouv.qc.ca. Les conseillers du MAPAQ se feront un plaisir d’accompagner les participants tout au long de leur démarche.

Soulignons la participation de notre précieux partenaire qui contribue au succès de cette 131e édition, soit La Coop fédérée.

Source : ONMA

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