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La Minute bovine : aout 2020

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PROGRAMME DE RÉCUPÉRATION D’ALIMENTS EXCÉDENTAIRES : 2 M$ POUR L’INDUSTRIE DU VEAU

La filière du veau représentée par Les Producteurs de bovins du Québec se réjouit de la récente annonce d’aide à l’industrie agroalimentaire du gouvernement fédéral. Au-delà du communiqué de presse, le bureau de la ministre Bibeau nous a spécifiquement confirmé qu’un montant de l’ordre de 2 M$ était prévu pour l’industrie du veau du Québec.

L’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, se trouvait, il y a le 13 août dernier, au siège social du Groupe Nutri, à Saint-Hyacinthe, pour annoncer les détails du premier programme jamais lancé par le gouvernement fédéral pour fournir des millions de livres d’aliments excédentaires de qualité et nutritifs aux populations les plus vulnérables du Canada.

Le Programme de récupération d’aliments excédentaires est une initiative fédérale novatrice de 50 millions de dollars qui doit réorienter un grand volume de produits excédentaires hautement périssables qui doivent être écoulés d’urgence (fruits, légumes, viande, poisson et fruits de mer). Ces excédents ont été créés parce que la pandémie de COVID-19 a entraîné la fermeture d’une grande partie de l’industrie de la restauration et de l’hôtellerie, privant de nombreux producteurs du principal marché pour leurs produits alimentaires.

Source : AAC

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APPLICATION MOBILE MANGEONS LOCAL PLUS QUE JAMAIS !

Le 3 août dernier, l’Union des producteurs agricoles (UPA) a lancé l’application Mangeons local plus que jamais ! présentée par Desjardins. Ce nouvel outil permet de repérer facilement sur le territoire québécois les fermes, les marchés et les transformateurs qui font de la vente directe au public. Pour plus de détails

Pour plus d’informations, les producteurs qui souhaitent voir leur ferme être ajoutée au répertoire peuvent contacter leur fédération régionale de l’UPA.

Nous vous invitons à partager massivement dans vos réseaux.

 Source : UPA

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FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

ASSURANCE STABILISATION : POSSIBILITÉ DE CHANGER LA DESTINATION DES CULTURES CÉRÉALIÈRES POUR L’ANNÉE D’ASSURANCE 2020-2021 EN RAISON DE LA SÉCHERESSE

Depuis mai, les conditions climatiques au Québec ont été difficiles. Dans plusieurs régions, le déficit hydrique a causé un retard de croissance des plantes et une pénurie de foin. Les quantités de foin récoltées lors de la première fauche sont sous les normales, créant une rareté importante dès le début de la saison.

Dans les circonstances, La Financière agricole du Québec (FADQ) a décidé de permettre une dérogation au Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) pour le produit Céréales et canola. Ainsi, les superficies qui auront fait l’objet d’un changement de destination (passant de grain à fourrage), pour compenser la pénurie de foin causée par la sécheresse de la saison de récolte 2020, demeureront assurées.

La FADQ vous invite à communiquer avec votre conseiller en assurances pour l’aviser d’un changement de destination de vos cultures. Pour plus de détails

Source : FADQ 

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DOMMAGES CAUSÉS PAR LA SÉCHERESSE : PREMIER PAIEMENT VERSÉ AUX ADHÉRENTS ET REPORT DU PROCHAIN AVIS DE COTISATION

Les premiers mois de la saison 2020 ont été marqués par un manque généralisé de précipitations affectant les cultures de la majorité des régions. Compte tenu de cette situation, La Financière agricole du Québec a versé un premier paiement à plus de 4 000 producteurs de foin et de pâturages dans le cadre du Programme d’assurance récolte.

Ce paiement s’élève à près de 21,3 millions de dollars et tient compte des éléments suivants :

  • Pertes liées au gel hivernal;
  • Pertes pour la première fauche;
  • Première période de croissance pour les pâturages;
  • Indemnité pour la valeur de remplacement du foin pour les régions qui ont cumulé des pertes régionales supérieures à 15 %.

D’autres analyses sont en cours, notamment pour les situations particulières et exceptionnelles. Des montants additionnels sont à prévoir.

Un comité de suivi réunissant des représentants de La Financière agricole du Québec, de l’Union des producteurs agricoles et du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec a été mis sur pied afin de suivre de près la situation concernant le manque de précipitations observé sur l’ensemble du territoire agricole québécois.

Report du prochain avis de cotisation au Programme d’assurance récolte

L’envoi des avis de cotisation au Programme d’assurance récolte est reporté au 9 septembre prochain pour toutes les cultures. Ainsi, nous souhaitons accorder un répit aux producteurs qui traversent une période difficile.

  • 2 488 avis de dommages pour cause de sécheresse ont été enregistrés pour l’ensemble des cultures comparativement à 209 l’an dernier à pareille date.

Pour plus de détails

Source : FADQ 

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NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION  :

 

 

 

CONSULTATIONS PRÉ-BUDGÉTAIRES 2021

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La CCA a présenté une proposition pré-budgétaire au Comité permanent des finances le 6 août 2020. Dans ses prévisions de juin, Développement économique Canada a identifié l’agriculture comme étant l’un des principaux secteurs qui sera le mieux à même de traverser la crise de la COVID-19. L’année dernière, les exportations de bœuf canadien ont connu une croissance impressionnante de 17 %, et des possibilités de croissance supplémentaire demeurent. L’industrie bovine du Canada possède un potentiel de croissance économique et a la capacité de bonifier ses principaux résultats environnementaux, tels que la préservation des prairies et des zones humides, le stockage du carbone, l’amélioration de la résistance aux inondations et l’augmentation de l’habitat des animaux sauvages et des pollinisateurs.

Lire la proposition de la CCA ici (en anglais seulement).

 Source : CCA 

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MCDONALD’S DU CANADA MAINTIENT UN ENGAGEMENT FERME ENVERS LES PRODUCTEURS BOVINS DU CANADA

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Dans un discours spécial prononcé la semaine dernière lors de la Canadian Beef Industry Conference, le président et directeur général de McDonald’s Canada, John Betts, a annoncé que McDonald’s Canada recommencera à acheter 100 % de son bœuf au Canada à partir de septembre, mettant ainsi fin aux ajustements temporaires qui ont été nécessaires en avril de cette année en raison des contraintes d’approvisionnement. Pendant cette période, McDonald’s a continué à s’approvisionner en bœuf canadien dans la mesure du possible, en obtenant en permanence plus de 80 % de ses stocks auprès de sources canadiennes et en complétant ses commandes auprès de fournisseurs McDonald’s préapprouvés. Dans un communiqué de presse accompagnant cette annonce, McDonald’s a indiqué qu’elle s’approvisionne en bœuf canadien à 100 % depuis 2003 et qu’elle est depuis longtemps un partisan des pratiques durables au sein de l’industrie canadienne du bœuf.

« Depuis près de deux décennies, nous avons maintenu un fort engagement à nous approvisionner en bœuf canadien. Nous sommes extrêmement fiers du rôle que nous avons joué pour soutenir les éleveurs et les agriculteurs locaux », a déclaré Nicole Zeni, directrice principale de la chaîne d’approvisionnement de McDonald’s Canada. « En ces temps difficiles, notre capacité à nous approvisionner à nouveau à 100 % en bœuf canadien témoigne réellement de la résilience du secteur. »

M. Betts a également annoncé que McDonald’s Canada poursuivra son cheminement vers la durabilité avec l’industrie canadienne du bœuf; à partir de septembre, elle étendra son programme d’approvisionnement durable, appliquant le programme de certification de la Table ronde canadienne pour le bœuf durable (Canadian Roundtable for Sustainable Beef ou « CRSB »), à ses galettes d’un quart de livre (« Quarter Pounder® patties »). McDonald’s est un membre fondateur de la CRSB et a contribué à l’élaboration de son cadre de travail sur le bœuf durable certifié, grâce auquel McDonald’s est en mesure de partager son engagement envers la durabilité du bœuf avec ses clients.

« La stabilisation de l’offre de bœuf canadien est importante pour nous permettre de continuer à faire avancer nos efforts de durabilité », a déclaré Jeffrey Fitzpatrick-Stilwell, responsable de la durabilité et de l’agriculture chez McDonald’s Canada. « Offrir des galettes de quart de livre faites avec du bœuf provenant de fermes et de ranchs certifiés par la CRSB est une autre étape importante pour parvenir à fournir à nos clients des aliments socialement responsables, économiquement viables et respectueux de l’environnement. »

McDonald’s Canada reste l’un des plus gros acheteurs de bœuf canadien et un fier partisan de l’industrie bovine du Canada. Au plus fort de la pandémie, l’entreprise a également fait une contribution de 100 000 $ à la Fondation canadienne des éleveurs de bovins pour soutenir les efforts d’éducation et le développement des futurs leaders par le biais du programme « Jeunes leaders » des éleveurs de bovins.

Merci pour votre soutien, McDonald’s Canada!

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LA DURABILITÉ EST-ELLE ENCORE UNE VOIE D’AVENIR? OUI, BIEN SÛR!

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Lors de l’une des sessions les plus populaires de la Conférence canadienne de l’industrie du bœuf de la semaine dernière, les panélistes ont débattu de l’avenir de la durabilité du bœuf, du point de vue des producteurs et des services de restauration. Le panel a discuté de tout, de la façon de définir la durabilité, des attitudes des consommateurs et de la façon dont elles pourraient avoir changé au cours du printemps 2020, jusqu’aux possibilités pour les producteurs de bœuf de commercialiser leurs efforts individuels et collectifs en matière de durabilité. La session, animée par Shaun Haney de RealAg, a réuni quatre intervenants issus de différents secteurs de la chaîne d’approvisionnement en viande bovine. Maryjo Tait, de Celtic Ridge Farms, productrice de bœuf près de London, Ontario, a parlé du changement rapide de son activité au cours du printemps 2020, puisque 80 % de ses clients directs sur le marché sont des restaurants. Elle a souligné les avantages de programmes tels que le programme de certification de la Table ronde canadienne pour le bœuf durable et le programme Verified Beef Production Plus, mais elle souhaiterait que les consommateurs comprennent mieux ce qu’ils représentent. Karleen Clark, de KCL Cattle dans le sud de l’Alberta, donnait quant à elle le point de vue d’une entreprise familiale multigénérationnelle opérant un parc d’engraissement. Elle a également parlé du fait qu’ils ont vu plus de gens que jamais les contacter directement pour acheter du bœuf. Darren Frey, de Gordon Foodservice Canada, et Marcel Blais, de Chop Steakhouse, ont donné le point de vue des restaurants et des services alimentaires, qui ont certainement eu leur lot de difficultés ce printemps (et en ont toujours), mais ont souligné l’histoire positive qu’ils ont à raconter au sujet de la production durable de bœuf canadien.

Tous sont optimistes quant à la durabilité de l’industrie bovine du Canada et pensent que les consommateurs souhaitent mieux comprendre d’où vient leur nourriture et comment elle est élevée. Ce sujet intéresse beaucoup les consommateurs, peut-être encore plus cette année, car ils prennent de plus en plus conscience du système alimentaire et de ce qu’il faut pour amener les aliments sur leurs étagères (ou du moins du fait qu’il y a des gens qui les cultivent et les produisent!). M. Blais a également fait part de la révélation que beaucoup de membres de son équipe ont durant la formation du personnel lorsqu’ils découvrent les nombreux bienfaits que peut avoir la production de viande bovine pour l’écosystème et les efforts déployés par les agriculteurs et les éleveurs pour préserver la terre, la biodiversité, etc., dont ils ignoraient tout. Selon lui, cela représente une opportunité clé pour notre industrie. M. Frey s’est fait l’écho de ces propos, car ils sont désireux d’armer leurs équipes de vente avec la grande histoire du leadership en matière de durabilité du bœuf au Canada.

Continuer à raconter notre histoire, en mettant personnellement en relation les agriculteurs et les éleveurs avec les consommateurs, reste un message essentiel, et les entreprises qui ont un lien direct avec les consommateurs sont prêtes à se lever et à partager ce message. Le CRSB est le point de ralliement qui permet à tous les acteurs de l’industrie de s’unir et de parler d’une seule voix.

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Cliquer ici pour consulter les nouvelles de l’Action News du 17 août 2020 (en anglais seulement)

Cliquer ici pour consulter les nouvelles de l’Action News du 4 août 2020 (en anglais seulement)

Source : CCA

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VEAU D’EMBOUCHE et BOUVILLON :

AMÉLIORATION DE LA COMPÉTITIVITÉ DES ENTREPRISES DE BOVINS DE BOUCHERIE

 

La filière bovine s’est dotée d’un plan sectoriel d’amélioration génétique en 2019. L’entente de service entre le Centre de développement du porc du Québec (CDPQ) et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) pour la gestion de la base de données du Programme d’analyse des troupeaux de boucherie du Québec venait à échéance. Des discussions ont eu lieu entre le MAPAQ, le CDPQ et Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) pour assurer la poursuite des activités bovines du CDPQ dans une optique d’amélioration de la compétitivité des entreprises bovines québécoises.

Grâce au Programme de partenariat pour l’innovation en agroalimentaire (PPIA) du MAPAQ, financé par l’Accord Canada-Québec de mise en œuvre du Partenariat canadien pour l’agriculture, les organismes ont pu en arriver à une entente de trois ans au bénéfice de l’ensemble de la filière bovine, dont le financement est assuré par :

  • le MAPAQ avec une contribution de 630 000 $ pour la période;
  • le fonds de recherche du secteur veau d’embouche avec une contribution de 90 000 $;
  • le fonds de recherche du secteur bouvillon avec une contribution de 30 000 $;
  • les producteurs utilisateurs des services desservis par l’entente la financeront à hauteur de 70 000 $ par an environ.

L’investissement total sur la période de trois ans avoisine 1 M$. Il s’agit d’un investissement majeur.

L’entente se décline en trois volets, tous identifiés dans le cadre de la planification stratégique de la filière bœuf comme étant nécessaires à l’amélioration de la compétitivité de la filière. Ce sont :

  • l’amélioration génétique;
  • la biosécurité;
  • le bien-être animal.

Le CDPQ est l’organisme responsable de la réalisation des activités. Les PBQ seront au rendez‑vous pour l’épauler!

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER, BOUVILLON, VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT :

RENCONTRE DU FORUM VEAU : SUJET — BOUVILLON HOLSTEIN

Le comité de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers était l’hôte du forum veau tenu par vidéoconférence le 30 juillet dernier. Lors de cette occasion, 36 producteurs de bovins des secteurs veau de grain, veau de lait et bouvillon d’abattage et intervenants étaient présents pour en apprendre davantage sur les grands dossiers et projets de la filière veau.

Le sujet d’intérêt était la présentation du projet d’évaluation de développement d’une filière d’engraissement de bouvillons holstein au Québec. Même si aux États-Unis l’engraissement de bouvillons holstein est présent depuis plusieurs décennies, celle-ci demeure une pratique méconnue au Québec. 

Le projet, d’une durée de deux ans, visera l’engraissement de 1 000 à 1 100 veaux sur une dizaine de sites et recevra une aide financière venant du Programme de développement sectoriel puisqu’il a pour but d’accroître la compétitivité des secteurs agroalimentaires au moyen d’une démarche synergique permettant de concevoir et de réaliser des projets collectifs d’envergure qui bénéficieront à l’ensemble du secteur. L’aide financière permettra de fournir des services techniques agronomiques et vétérinaires.

Les objectifs du projet sont :

  • démontrer la faisabilité et la rentabilité de l’élevage de bouvillons laitiers dans le contexte québécois;
  • former et développer une expertise;
  • offrir un nouveau débouché permettant ainsi de valoriser les veaux laitiers lorsque la demande est à la baisse;
  • diffuser des informations techniques pour les producteurs et intervenants de la filière bovine;
  • impliquer les filières veau et bœuf du Québec dans la réalisation de ce projet.

En savoir plus ou revoir :

Source : PBQ

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VEAU DE LAIT ET VEAU DE GRAIN: 

GROUPE DE TRAVAIL SUR LES IMPACTS DE LA COVID-19 SUR LA FILIÈRE VEAU

Un groupe de travail formé de représentants des PBQ a pour but d’évaluer les impacts de la COVID-19 qui frappent durement le secteur du veau de lait et de proposer des mesures appropriées. Les programmes de gestion des risques disponibles pour les producteurs de ce secteur démontrent leur limite dans un contexte de crise. L’objectif du groupe de travail est de mieux informer le gouvernement de l’urgence d’une intervention de l’État pour passer à travers cette crise sans précédent.

Une première rencontre a eu lieu avec La Financière agricole du Québec le 5 août dernier. Une autre rencontre est prévue le 27 août prochain avec le cabinet du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN :

APPEL DE PROJETS OUVERT À LA RELÈVE ET À TOUTE PERSONNE INTÉRESSÉE À DÉMARRER EN PRODUCTION DE VEAU DE GRAIN

Source : PBQ

REFONTE DE LA MISE EN MARCHÉ DES VEAUX DE GRAIN

Le 8 juillet dernier, les PBQ ont mis fin à la Convention avec les acheteurs de veaux de grain. Le comité de mise en marché des veaux de grain (CMMVG) des PBQ a mandaté la firme Forest Lavoie Conseil afin de structurer la démarche qui mènera à terme la conclusion d’une nouvelle entente. L’évolution du secteur au cours des dernières années fait en sorte que la convention actuelle ne cadre plus avec la réalité du marché. En y mettant fin, le CMMVG s’engage dans un processus de négociation avec les acheteurs menant à une nouvelle entente à terme. Veuillez noter que la présente Convention restera en vigueur jusqu’à l’homologation d’une nouvelle convention par la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec.

Source : PBQ