INFOLETTRE

La Minute bovine – Septembre 2019

ACTUALITÉ :

CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION :

BOUVILLON :

BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER :

VEAU DE GRAIN :

VEAU DE LAIT :

VEAU D’EMBOUCHE :

QUALITÉ :

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CHAUDIÈRE-APPALACHES :

ESTRIE

GASPÉSIE-LES ÎLES :

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ACTUALITÉ  :

LES PRODUCTEURS DE BOVINS RÉCLAMENT DE L’AIDE IMMÉDIATE POUR COMPENSER LES PERTES MONÉTAIRES EN ONTARIO ET AU QUÉBEC

GUELPH, ON et LONGUEUIL, QC, le 17 sept. 2019 /CNW Telbec/ – Beef Farmers of Ontario (BFO) et Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) demandent aux chefs des partis politiques fédéraux d’assigner comme mandat prioritaire au ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire la création d’un Programme d’investissement et d’indemnisation pour les producteurs bovins afin d’aider les producteurs de l’Ontario et du Québec à faire face aux dommages causés par la récente perturbation des marchés. Dans le cadre de la nouvelle campagne électorale fédérale, les BFO et les PBQ encouragent fortement tous les candidats du Québec et de l’Ontario à soulever cet enjeu.

« La perte des marchés clés d’exportation de la Chine et de l’Arabie Saoudite, la diminution de la capacité de transformation dans l’est du Canada ainsi que les difficultés d’accès aux marchés des États-Unis et de l’Union européenne sont des facteurs qui ont tous contribué à former la tempête actuelle », déclare le président des BFO, Joe Hill, « Les producteurs de bovins ont subi des pertes de plus de 180 $ par animal depuis le début du mois de janvier, ce qui est notamment le résultat à la fois des actions du gouvernement et de son inaction. Les pertes des fermes d’élevage de bovins des deux provinces s’élèvent à plus de 100 millions de dollars depuis le début de l’année. L’industrie perd plus de 2,5 millions de dollars par semaine en moyenne seulement pour l’alimentation du bétail, ce qui n’est tout simplement pas soutenable. Il est temps d’agir. »

« Les occasions commerciales actuelles devraient favoriser le développement de la production de bœuf et de veau. Dans les faits, ce n’est pas le cas. Le volume de la production bovine québécoise est en déclin et ce phénomène ne fait que s’amplifier. Présentement, les nouveaux accords commerciaux ne favorisent pas une meilleure rentabilité des fermes, bien au contraire », explique Claude Viel, président des PBQ. Notre secteur d’activité a besoin d’aide afin d’atténuer l’importante perturbation des marchés. Il faut tirer profit des échanges commerciaux. »

Les gouvernements doivent soutenir fermement les secteurs du bœuf et du veau en réponse aux récents accords commerciaux et à la perturbation des marchés. Les secteurs méritent un soutien les aidant à tirer profit des différentes occasions commerciales internationales.  Les BFO et les PBQ représentent plus de 30 000 producteurs de bovins dans les deux provinces qui, collectivement, contribuent à l’économie canadienne avec plus de 2 milliards de dollars en PIB, et ce, uniquement pour la production primaire. Les BFO et les PBQ font appel à tous les candidats en Ontario et au Québec et les incitent fortement à soulever cet enjeu lors de la campagne électorale fédérale.

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Source : PBQ


Source : PBQ

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VIDÉO : LA MINUTE STATISTIQUE – LE SECTEUR BOVIN EN BREF

Source : PBQ

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« VIANDE VÉGÉTALE » : LES PRODUCTEURS DE BOVINS ONT GAIN DE CAUSE

Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) obtiennent gain de cause quant à l’utilisation du terme « viande » par la compagnie A&W pour ses produits 100 % végétaux. Lire l’article de La Terre de chez nous.

EN LIEN AVEC CETTE NOUVELLE :

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HARVEY’S S’ASSOCIE À LA TABLE RONDE CANADIENNE SUR LE BŒUF DURABLE POUR SOUTENIR UNE PRODUCTION BOVINE DURABLE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA TRCBD

Calgary, AB, le 13 août 2019. – Harvey’s Restaurants s’est associé avec la Table ronde canadienne sur le bœuf durable (TRCBD) et achète actuellement une partie de leur bœuf pour leur burger Original en conformément aux normes de durabilité de la TRCBD. « Harvey’s est fier de fournir du bœuf 100 % canadien pour tous nos hamburgers. Soutenir une production de bœuf durable s’appuie sur notre engagement actuel envers les agriculteurs et les éleveurs canadiens qui travaillent fort tous les jours pour garantir un produit sûr, de qualité et élevé de manière durable, auquel les Canadiens ont confiance et qu’ils aiment, » dit David Colebrook, chef de l’exploitation à Harvey’s.

La marque certifiée CRSB (Canadian Roundtable for Substainable Beef) représente un ensemble de normes de durabilité que les producteurs de bœuf et les transformateurs primaires doivent atteindre. Les normes de durabilité couvrent des domaines spécifiques liés aux cinq principes de la viande de bœuf durable: les ressources naturelles; les personnes et la communauté; la santé et le bien-être des animaux; l’alimentation; et l’efficacité et l’innovation. La marque certifiée CRSB et les revendications de durabilité associées fournissent aux consommateurs des assurances crédibles, fondées sur des données scientifiques, sur la manière dont leur bœuf a été élevé, vérifiées par un processus audité indépendant.

Lire le communiqué dans son entièreté ici

Source : Table ronde canadienne sur le bœuf durable

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RETOUR SUR LA CONFÉRENCE CANADIENNE DE L’INDUSTRIE DU BŒUF

Des représentants des Producteurs de bovins du Québec étaient présents à la Conférence canadienne de l’industrie du bœuf (CCIB) tenue à Calgary au mois d’août dernier.

Ces derniers ont assisté à plusieurs rencontres de travail rassemblant les intervenants des organisations canadiennes de producteurs de bovins incluant notamment :

  • Une rencontre trilatérale des organisations de producteurs de trois pays; le Canada, les États-Unis et le Mexique;
  • La rencontre nationale des directeurs généraux des provinces;
  • La rencontre nationale des responsables des communications;
  • La rencontre semi-annuelle de la Canadian Cattlemen’s Association (CCA).

À l’occasion de la CCIB, les assemblées générales annuelles de l’Agence canadienne de prélèvement du bœuf, l’Association nationale des engraisseurs de bovins (ANEB) et de la Table ronde canadienne sur le bœuf durable se sont également tenues.

La CCA a également tenue des rencontres de travail où étaient présents des représentants des PBQ sur les sujets de l’environnement, la santé et le nouveau guide alimentaire, les politiques alimentaires, la santé animale, les relations internationales et le développement des marchés,

La CCIB est le fruit d’une collaboration entre le Conseil de recherches sur les bovins de boucheries (CRBB – Beef Cattle Research Council), Canada Beef, le Conseil canadien des races de boucherie, la CCA et l’ANEB.

Source : PBQ

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CHANGEMENT AU SEIN DU COMITÉ EXÉCUTIF DES PBQ

À la suite d’élections menés auprès des membres du conseil d’administration des PBQ, M. Sylvain Bourque, producteur de Saint-Théophile et président des Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud, a été élu membre du comité exécutif des PBQ. Cette nomination fait suite au départ de M. Guy Gallant qui est maintenant directeur régional de la Fédération de l’UPA Gaspésie-Les Iles.

Source : PBQ

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ÉLECTION DU VICE-PRÉSIDENT DES PBQ À L’AGENCE CANADIENNE DE PRÉLÈVEMENT DU BŒUF 

Kirk Jackson, vice-président des PBQ, a vu son mandat renouvelé au conseil d’administration de l’Agence canadienne de prélèvement du boeuf à titre de président du comité des finances.

Source : PBQ

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LES PBQ PRÉSENTS AUX PORTES OUVERTES DE L’UPA À MONTRÉAL

Les PBQ ont tenu un kiosque au Stade Olympique dans le cadre des 17e Portes ouvertes de l’UPA qui se tenait le 8 septembre dernier. Nous tenons à remercier la Ferme SDJ Polled Limousin et ses propriétaires, M. Serge Dethier et Mme Diane Joly pour leur participation à l’événement!

Grand merci également à Dre Hélène Lardé de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal qui a accepté de collaborer avec les PBQ, permettant ainsi aux visiteurs d’écouter le cœur et le rumen d’un veau d’embouche lors de démonstrations!

Source : PBQ

 

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CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION  :

ENTREVUE À GLOBAL NEWS EDMONTON EN RÉPONSE À LA DÉCISION D’UNE UNIVERSITÉ BRITANNIQUE DE NE PLUS SERVIR DE VIANDE DE BŒUF

Visionnez l’entrevue originale ici (en anglais seulement) – Canadian Cattlemen’s Association on British university’s beef ban                                  

Entrevue de la journaliste Jennifer Crosby (JC) avec le président du comité sur l’environnement de la Canadian Cattlemen’s Association (CCA), M. Duane Thompson (DT).

JC :      Quels changements l’industrie bovine canadienne planifie-t-elle apporter en réponse aux préoccupations climatiquesDuane Thompson, producteur de bovins de la Saskatchewan et président du comité sur l’environnement de la Canadian Cattlemen’s Association, se joint à nous afin d’en discuter. M. Thompson, commençons par aborder les énoncés stipulant que la production bovine n’est pas une utilisation efficace des ressources. Selon vous, cet énoncé est-il juste?

DT :     Jennifer, cet énoncé est très frustrant pour les travailleurs de l’industrie bovine. Lorsque l’on parle d’utilisation efficace des ressources, il est important de mentionner que les terres majoritairement utilisées pour la production bovine ne conviennent pas à la production agricole annuelle ou à la production maraîchère et environ 33 % d’entre elles ne conviennent pas non plus à la production céréalière. Il ne faut pas oublier que ces terres sont aussi le milieu de vie naturel de nombreuses espèces animales sauvages. Les producteurs de bovins gèrent près de 68 % de cet habitat. Donc, si avec 33 % des terres agricoles les producteurs de bovins procurent 68 % de l’habitat à la faune sauvage, cela démontre clairement l’apport positif des producteurs de bovins en ce qui concerne l’utilisation des ressources.

JC :      Nous constatons tous que les individus et les entreprises changent leurs habitudes, car nous portons de plus en plus d’attention à notre impact sur la planète. Pourriez-vous nous en dire davantage concernant les changements qu’apportent les producteurs et l’industrie en réponse aux préoccupations climatiques?

DT :     Vous savez, Jennifer, dans le courant des trente dernières années, l’industrie bovine canadienne a diminué d’environ 15 % son empreinte écologique en ce qui a trait aux gaz à effet de serre, ce qui fait des producteurs de bovins canadiens les leaders mondiaux en efficacité de production avec l’émission de gaz à effet de serre la plus basse de l’industrie bovine.

JC :      Nous savons que le soutien de la population des Prairies est traditionnellement plutôt fort, mais avez-vous toutefois des inquiétudes concernant la possibilité de pertes commerciales sur d’autres marchés?

DT :     Certainement. Nous savons que nous produisons un aliment à forte densité nutritionnelle et cet aliment a sa place dans une alimentation humaine équilibrée. La race humaine s’est développée sur des dizaines de milliers d’années grâce, entre autres, aux protéines animales présentes dans son alimentation. Donc, lorsque des gens soutiennent que les protéines animales ne sont pas un choix santé, j’explique toujours comment nous nous sommes rendus au point où nous sommes aujourd’hui. Nous sommes bien sûr soucieux de l’environnement. Nous en sommes dépendants. Nous vivons sur nos terres et, si nous ne pensons pas en fonction de la durabilité, nos enfants ne pourront en assurer la pérennité, ce qui représente une part très importante de nos vies.

JC :      Comment voyez-vous l’avenir? Votre industrie a-t-elle à apporter d’autres améliorations concernant l’émission des gaz à effet de serre? Avez-vous besoin d’une meilleure campagne publicitaire? Où s’en va l’industrie bovine?

DT :     En fait, Jennifer, notre plus grand défi est notre taille puisque les producteurs de bovins représentent une très petite portion de la population, soit environ 1 %. Donc, la circulation de notre message… Il y a cinquante ans, nombreux étaient ceux qui étaient en contact étroit avec les fermes par le biais de leurs grands-parents, leurs oncles, etc. Les gens savaient et voyaient comment était produite leur nourriture. Nous avons la responsabilité de transmettre au public notre message et nous avons des personnes très compétentes qui y travaillent, mais ce n’est pas une tâche facile, voire même plutôt difficile. Il y a des gens anti-production animale qui sont bien financés et qui prennent beaucoup de place dans l’espace public. Nous sommes inquiets pour ceux qui font partie de la majorité silencieuse et qui souhaitent consommer des protéines animales. On les pousse à se sentir coupables, à ne plus en manger, et on leur dit que ce n’est pas un choix santé que de le faire. Nous sommes convaincus que les protéines animales, incluant le bœuf, font partie intégrante d’une saine alimentation et nous n’aimons pas l’idée que des gens s’empêchent d’en manger à cause d’un sentiment de culpabilité qu’on leur a inculqué de toutes pièces.

JC :      Nous vous remercions d’avoir partagé avec nous ces informations, monsieur Duane Thompson, président du comité sur l’environnement de la Canadian Cattlemen’s Association. Merci.

DT :     Merci, Jennifer. Bonne journée !

 Source : Global News

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COMMUNIQUÉ DE LA CCA AU SUJET DU RAPPORT DU GEIC DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET L’OCCUPATION DES TERRES

Calgary, AB – Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GEIC) des Nations Unies a rendu public un rapport spécial nommé : « Climate Change and Land, an IPCC special report on climate change, desertification, land degradation, sustainable land management, food security, and greenhouse gas fluxes in terrestrial ecosystems ».

Le rapport suggère qu’« une alimentation équilibrée, incluant des aliments d’origine végétale, comme ceux à base de céréales secondaires, de légumineuses, de fruits, de légumes, de noix, de graines et d’aliments d’origine animale provenant d’exploitations résilientes, durables et dont les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont faibles, offrent de grandes possibilités pour de l’adaptation et de la mitigation tout en générant des cobénéfices importants pour la santé humaine ».

L’industrie bovine canadienne est un excellent exemple de production « d’aliments d’origine animale provenant d’exploitations résilientes, durables et dont les émissions de GES sont faibles ». Des études démontrent que la production bovine canadienne a l’une des plus basses empreintes écologiques en termes de GES au monde, représentant seulement 0,04 % des émissions de GES mondiales. Au Canada, l’industrie bovine représente 2,4 % de l’émission de GES du pays, le tout en contribuant à l’économie canadienne avec 33 milliards de $. De plus, une quantité considérable de carbone est séquestrée dans les prairies occupées par l’industrie bovine du Canada.

Les bovins font partie de la solution au problème des changements climatiques. Les bovins de boucherie canadiens aident à préserver l’un des écosystèmes les plus menacés au monde. La production bovine canadienne est concentrée sur les grandes plaines du Nord, l’une des quatre dernières prairies tempérées existantes sur la planète. Selon la World Wildlife Fund, la moitié des grandes prairies du Nord est déjà perdue et exploitée pour les grandes cultures. Cette forme d’agriculture menace l’habitat naturel des animaux sauvages, habitat que les producteurs de bovins protègent grâce à une bonne gestion des pâturages. Ces prairies abritent plusieurs espèces en péril dont le renard véloce, la tétras des armoises et le papillon Monarque. On les retrouve parmi les 579 espèces d’oiseaux, de mammifères, de reptiles et d’amphibiens qui ont besoin de terres non cultivées pour s’alimenter, se reproduire et s’abriter. Faire paître le bétail est également une pratique reconnue afin d’aider à atténuer les risques d’incendies de forêts.

Les terres occupées par les troupeaux de producteurs de bovins fournissent 68 % de l’habitat des animaux sauvages tout en représentant seulement 33 % des terres agricoles du Canada. Le rapport sur l’état des populations d’oiseaux du Canada 2019 indique que « de bonnes pratiques de pâturage dans les terres publiques et privées sont essentielles pour la création et le maintien d’habitats propices aux oiseaux de prairie ». En outre, le rapport recommande des actions de conservation incluant la protection des dernières prairies, incluant les pâturages publics, contre les grandes cultures et la restauration des prairies d’origine afin de conserver l’habitat et d’augmenter la séquestration du carbone. On y recommande aussi que les citoyens fassent leur part en achetant des produits provenant de fermes durables et de la viande provenant de bovins nourris à l’herbe.

Le Canada est le leader mondial en production bovine durable. L’industrie continue de se concentrer sur l’innovation et la technologie  afin de réduire l’empreinte environnementale du bœuf canadien, ce qui permettra de maintenir les pâturages pour la production bovine et de protéger les écosystèmes menacés.

Les consommateurs ont bien sûr le droit de choisir la nourriture qu’ils souhaitent manger. Toutefois, réduire sa consommation de viande n’est pas une solution au problème des changements climatiques. Des études continuent à démontrer que réduire le gaspillage alimentaire a un impact beaucoup plus important dans l’atténuation des changements climatiques. Il est estimé que les consommateurs canadiens gaspillent 40 % de leur nourriture dont la majorité a été réfrigérée et transportée sur de grandes distances.

L’industrie bovine canadienne continuera à contribuer à la croissance de l’économie verte au Canada par la pérennité de son utilisation responsable des ressources naturelles du pays.

Click here to read the original statement


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Source : Canadian Cattlemen’s Association

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BOUVILLON  :

BIENTÔT DISPONIBLE EN ÉPICERIES : BŒUF DU QUÉBEC NOURRI AU MAÏS 

Dans les dernières semaines, les PBQ ont collaboré avec des représentants du programme Ontario Corn Fed Beef afin de mettre sur pied un programme de bœuf différencié produit au Québec. Certains épiciers ont signifié leur intérêt d’offrir du bœuf sous l’appellation « Bœuf du Québec nourri au maïs ». L’objectif est de reproduire, au Québec, le concept ontarien à succès, c’est-à-dire de la viande de bœuf vendue sous l’appellation « Ontario Corn Fed Beef ».

En collaboration avec l’Ontario Cattle Feeders’ Association, qui chapeaute le programme Ontario Corn Fed Beef, un protocole de certification a été mis en place afin de certifier les fermes de bouvillons à ce programme.

Pour être éligibles, les fermes doivent :

  • Être certifiées par le programme Verified Beef Production Plus (VBP+);
  • S’assurer que les bouvillons reçoivent une ration de finition avec un minimum de 80 % de maïs et une énergie nette de gain de 1 200 cal/kg sur une base 100 % matière sèche pour un minimum de 100 jours;
  • Fournir l’analyse et la composition de la ration à l’agence de vente des bouvillons des PBQ.

Le projet est en phase de lancement. Quatre fermes sont actuellement certifiées et deux chargements ont déjà été vendus!

Les fermes de bouvillons intéressées à participer à ce programme sont invitées à contacter:

M. Yannick Sauvé, agent de mise en marché

450 679-0540, poste 8524

ou par courriel à ysauve@upa.qc.ca.

 

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER  :

SONDAGE SUR LES PRATIQUES D’INSÉMINATION ACTUELLES DES PRODUCTEURS DE LAIT

Un court sondage d’environ 5 minutes a pour objectif d’en apprendre davantage sur les pratiques d’insémination et sur l’intérêt des producteurs laitiers par rapport à l’utilisation de la semence de boucherie lors de l’insémination des vaches laitières de toute race.

Nous invitons tous les producteurs à participer à la collecte d’informations en y répondant ici.

Ce dernier est lancé dans le cadre du projet d’évaluation et d’informations sur les avantages de l’utilisation de la semence de bovins de boucherie pour la production de veaux laitiers.

Rappelons qu’une revue de littérature et une étude technico-économique sont en cours de rédaction dans le but de déterminer les impacts de l’utilisation de la semence de boucherie sur la régie des vaches laitières et sur l’engraissement des veaux croisés. Il sera également question du choix de la semence, du pourcentage d’utilisation de la semence de taureau de boucherie dans le troupeau laitier et de rentabilité.

Ce projet est réalisé grâce à une aide financière du Programme de développement sectoriel, issu de l’Accord Canada-Québec de mise en œuvre du Partenariat canadien pour l’agriculture.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN  :

PROGRESSION DE LA CERTIFICATION DES FERMES : 75 % !

À LIRE AUSSI : JOURNÉE INPACQ VEAU DE LAIT 2019

 Source : PBQ

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VEAU DE LAIT  : 

JOURNÉE INPACQ VEAU DE LAIT 2019 

Le jeudi 28 novembre 2019 se tiendra la 1re édition de la Journée INPACQ veau de lait. La journée, centrée sur la santé des veaux, est d’un grand intérêt pour les producteurs laitiers, les producteurs de veaux de lait et les producteurs de veaux de grain.

Une date à réserver à votre agenda! Le processus d’inscription vous sera communiqué sous peu.

Quoi : Journée INPACQ Veau de lait

Quand : 28 novembre 2019

 : Hôtel Best Western, 915, rue Hains, Drummondville, QC J2C 3A1

Des projets de recherches effectués y seront présentés dans le cadre du programme de transition de La Financière agricole du Québec du secteur veau de lait. Un autre projet traitant de l’incidence de la S. Dublin dans les élevages de veaux de lait et de veaux de grain au Québec et une revue de littérature sur la santé des veaux laitiers seront également présentés.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE  :

CONGRÈS BŒUF 2019

Le vendredi 11 octobre 2019 se tiendra le Congrès Bœuf à Victoriaville. Cette année, deux thèmes seront abordés au courant de la journée :

  • les progrès de la génomique incluant l’avenir de la sélection génétique et ses bénéfices
  • la gestion des pâturages et la maîtrise de la production fourragère

La traduction simultanée en français sera offerte pour les conférences présentées en anglais.

Cliquer ici pour consulter la programmation complète et vous inscrire

Source : PBQ

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CONCOURS DU MEILLEUR VENDEUR AUX ENCANS SPÉCIALISÉS 2019

Pour une sixième année consécutive, les lauréats du concours des meilleurs vendeurs du Circuit des encans spécialisés de la saison 2018-2019 seront dévoilés dans le cadre du Congrès Bœuf. Encore une fois cette année, il y aurait deux entreprises finalistes et un producteur de veaux d’embouche gagnant pour chacune des six catégories suivantes :

  • 5 à 14 têtes
  • 15 à 24 têtes
  • 25 à 39 têtes
  • 40 à 59 têtes
  • 60 à 99 têtes
  • 100 têtes et plus

Source : PBQ

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QUALITÉ  :

ÉVOLUTION DU NOMBRE DE PRODUCTEURS CERTIFIÉS VBP+

Les Producteurs de bovins du Québec se sont dotés des objectifs suivants pour mars 2020 :

  • Veaux d’embouche (VE) : 75 producteurs pour un total de 7 500 têtes
  • Bouvillons (BA) : 80 % de la production, soit 69 054 têtes basé sur le volume de 2018

Rappelons que la certification VBP+ est reconnue par la Table ronde canadienne sur le bœuf durable.

Au Québec, on compte maintenant 50 producteurs qui sont ainsi certifiés « bœuf durable ».  Voici le détail :

  • 14 producteurs de veaux d’embouche
  • 2 producteurs de veaux d’embouche et semi-finis
  • 5 producteurs de veaux d’embouche, semi-finis et de bouvillons
  • 6 producteurs de veaux d’embouche et de bouvillons
  • 23 producteurs de bouvillons

Source : PBQ

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RÉGIONS  :

CHAUDIÈRE-APPALACHES

RETOUR SUR LA JOURNÉE CHAMPÊTRE BOVINE DU 7 SEPTEMBRE

Le samedi 7 septembre dernier avait lieu la Journée champêtre bovine qui se tenait à la Ferme Sylvain Giguère de Sainte-Aurélie. Cette ferme possède un troupeau d’environ 200 vaches de boucherie de race Angus-Simmental. Il s’agit d’une entreprise qui vient tout juste de compléter son transfert à la relève; les anciens propriétaires, Mme Lyne Beaudoin et M. Sylvain Giguère, ont passé le flambeau à leur fille, Mme Éliane Giguère et son conjoint, M. Patrick Fortier.

On peut affirmer que la journée fut un véritable succès puisque plus de 225 personnes sont venus visiter l’entreprise en après-midi. Les propriétaires ont raconté leurs débuts en production et ont également expliqué tous les aspects de régie, incluant notamment l’alimentation, les pâturages, la vaccination, etc. Mme Marie-Anne Grondin, consultante Bovi-Expert, M. Denis Lehoux, adjoint aux assurances à La Financière agricole du Québec et M. William Larochelle, vétérinaire de la Clinique vétérinaire de Saint-Georges, ont également ajouté des éléments d’information à la présentation de l’entreprise.

En soirée, 170 personnes ont participé au souper où elles ont pu manger un excellent méchoui de bœuf dans une ambiance conviviale et festive.

Les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud et les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Nord tiennent à remercier les propriétaires de la ferme hôte. De plus, ils remercient les partenaires financiers, dont notamment le Réseau Agriconseils de la Chaudière-Appalaches, le Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, la Fédération de l’UPA de la Chaudière-Appalaches, le Garage Oscar Brochu, la Coop de Saint-Côme, Desjardins Entreprises, Zoetis, la Clinique vétérinaire de Saint-Georges et Meyer Natural Angus.

Un merci spécial également aux producteurs bovins qui se sont déplacés et qui ont fait de cette journée une réussite!

Source : Les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud et Les Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Nord

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ESTRIE

ATELIER DE FORMATION À LA CERTIFICATION VBP+

L’atelier de formation constitue la première étape vers la certification VBP+ de votre entreprise en production vache-veau ou bouvillon.

Une formation se tiendra le 2 octobre 2019 à compter de 19 h 30 dans la salle Danias-Messier aux bureaux de la Fédération de l’UPA-Estrie au 4300, boul. Bourque à Sherbrooke.

 

Atelier de formation VBP+

  2 octobre 2019, 19h30

 Fédération de l’UPA-Estrie

4300, boul. Bourque à Sherbrooke

Inscription : 819 346-8905, poste 150 ou estrie@upa.qc.ca

Date limite : 27 septembre 2019

VBP+ est un programme canadien de salubrité à la ferme, de soins des animaux, de biosécurité et d’environnement. Déployé sur une base volontaire, il est reconnu par la Table ronde canadienne sur le bœuf durable.

Au programme : exigences du programme, registres à compléter, déroulement de l’audit et autoévaluation de votre ferme en vue d’un audit. À la fin de la soirée, vous aurez complété votre autoévaluation et votre formation, deux des exigences du programme.

Pour vous inscrire, veuillez contacter Mme Michelle Primeau au 819 346-8905, poste 150 ou au estrie@upa.qc.ca avant le 27 septembre 2019.                              

Inspirer la confiance grâce à une production bovine durable!

Source : Les Producteurs de bovins de l’Estrie

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GASPÉSIE-LES ÎLES

NOUVELLE PRÉSIDENTE PAR INTÉRIM

À la suite du départ de M. Guy Gallant, Mme Joëlle Gagné occupe le poste de présidente par intérim du Syndicat des producteurs de bovins de la Gaspésie – Les Îles (SPBGIM). Cette dernière siègera à titre de présidente régionale au conseil d’administration des Producteurs de bovins du Québec (PBQ) jusqu’à l’élection d’une nouvelle personne à la présidence du SPBGIM.

Rappelons que M. Gallant est nouvellement directeur régional de la Fédération de l’UPA Gaspésie-Les-Îles. De ce fait, il a laissé son poste au sein du conseil d’administration et du comité exécutif des PBQ.

Source : Syndicat des Producteurs de bovins de la Gaspésie-Les Îles

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VISITE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DES PBQ

Les 8 et 9 août derniers, le Syndicat des Producteurs de bovins de la Gaspésie-Les Îles recevait le conseil d’administration des Producteurs de bovins du Québec à Carleton-sur-Mer. Pendant que les administrateurs administraient les avant-midis, leurs accompagnateurs ont pu profiter des beautés de la ville et de ses attraits et ce, malgré la grisaille de la journée de jeudi.

Durant l’après-midi du 8 août, une visite d’entreprises sur les plateaux a fait découvrir à nos visiteurs les charmes de cette région. Merci à la Ferme R et E Lagacé de St-André-de-Restigouche et à ses hôtes, Étienne Lagacé et Carole Leblanc, pour leur accueil.  Avec leur stagiaire, Alexandrine Masse, ils nous ont parlé de la production bovine et nous ont partagé leur passion de celle-ci.

Nos visiteurs se sont ensuite déplacés vers l’Ascension-de-Patapédia afin de rencontrer la famille Couture, fiers éleveurs ovins. Cette entreprise compte parmi les plus grandes fermes ovines au Québec avec un cheptel de 1 800 têtes et, avec plus de 1 400 acres en culture, ils contribuent à cultiver le paysage de toute la municipalité. Nos visiteurs ont été impressionnés par ce modèle d’entreprise qui peut compter sur une belle relève. Monsieur Marcel Groleau, président général de l’UPA, a également participé aux visites de fermes sur les Plateaux. La première journée s’est terminée par un bon repas au Camp de bûcherons.

Lors de la visite d’entreprises du vendredi après-midi, une balade en autobus a permis aux participants de découvrir la Baie-des-Chaleurs en se rendant à la Ferme Bourdages de St-Siméon pour une visite guidée. Cette ferme présente en Gaspésie depuis 1821 a livré quelques-uns des secrets de fabrication de ses vins de fraises et de rhubarbe. 

La délégation s’est ensuite déplacée vers la Ferme Belgi-MAG de St-Alphonse. Marc Cyr, Gaby Leblanc et leur fils Alexandre, ont ouvert les portes de leur ferme productrice de veaux d’embouche et de bouvillons commercialisés par la Coopérative Bœuf Gaspésie. Ça a jasé de bœuf!

Ce rassemblement d’administrateurs s’est terminé autour d’un bon repas de poissons et fruits de mer au Bistro Le Frigidaire de la Poissonnerie de la Gare de Carleton-sur-Mer.

Les commentaires ont été unanimes : Les Gaspésiens savent recevoir!

 Source : Syndicat des Producteurs de bovins de la Gaspésie-Les Îles

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