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La Minute bovine : octobre 2024

Coup d’œil sur les marchés du bœuf et du veau

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COUP D’ŒIL SUR LES MARCHÉS DU BŒUF ET DU VEAU

 

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Cliquez sur un secteur pour les prix du marché

BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

Filière bœuf et veau

Séances d’information du MELCCFP – Gestion des pesticides

De nouvelles exigences réglementaires concernant l’achat et l’usage de pesticides entreront en vigueur le 1er janvier 2025. Elles touchent notamment les semences de huit cultures enrobées d’insecticides et de fongicides. Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) offrira deux séances d’information virtuelles à ce sujet cet automne.

Cliquez sur la date pour vous inscrire.

  1. Lundi 18 novembre de 9 h à 12 h

Les sujets suivants seront abordés :

  1. Nouvelles exigences réglementaires concernant la gestion des pesticides. Cette présentation sera offerte par le MELCCFP.
  1. Aide financière disponible pour documenter les champs et réduire l’utilisation des semences enrobées d’insecticides. Cette présentation sera offerte par le MAPAQ.
  1. Assurance-récolte : admissibilité et indemnisation en cas de dommages causés par les insectes. Cette présentation sera offerte par la FADQ.

Source : MELCCFP

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Connaître les découpes de bœuf – formation théorique

L’objectif de cette formation est de permettre au producteur de bovins de spécialité de donner des directives à son boucher, d’être en mesure de mieux maximiser les coupes d’une carcasse de bœuf et de conseiller le client. Cette formation ne vise pas à réaliser les découpes, mais plutôt à avoir des connaissances à ce sujet.

Quand : 7 novembre 2024 au 14 novembre 2024
Durée : 4 heures
Format : En ligne
Coût : 47,25 $ taxes incluses

 

 

Source : Formation continue Chemin

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Visite de Réseau Encans

Le 15 novembre 2024, Les Producteurs de bovins de Lanaudière invitent tous les producteurs de bovins de la région à une visite de l’encan de Saint-Isidore.

Cette activité vous permettra entre autres d’en apprendre plus sur la commercialisation des veaux d’embouche et sur la qualité de veau recherchée par les acheteurs.

À cette occasion, un transport en autobus au départ de Berthierville est offert gratuitement.

Inscription avant le 1er novembre 2024 :

Un courriel de confirmation vous parviendra la semaine précédant l’activité.

 Source : Les Producteurs de bovins de Lanaudière

 

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Colloque de l’industrie bovine québécoise 2024

Cette année, les acteurs clés de l’industrie bovine québécoise se rencontrent pour préparer l’avenir. Attendez-vous à des conférences éducatives, pratiques et inspirantes.

Une formation reconnue pour les agronomes

Saviez-vous que le CIBQ est une activité admissible à la formation continue de l’Ordre des agronomes du Québec? Les agronomes qui participent à cet événement recevront une attestation d’un total de 5 heures.

 

 

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ACTUALITÉS

Un outil indispensable pour mieux comprendre la production bovine

Les Producteurs de bovins du Québec ont lancé, au cours des derniers jours, la deuxième édition de la brochure Démêler le vrai du faux. Un peu plus de quatre ans après la première publication de ce cahier, cette version revue et améliorée a pour objectif de comprendre les principales critiques à l’endroit de la production de bœufs et de veaux afin de mieux y répondre.

Rédigé sous la direction de Mme Nathalie Côté, agronome et directrice des affaires agronomiques des PBQ, et de Mme Sirine El Hamdaoui, agronome et conseillère environnement, santé et bien-être animal des PBQ, Démêler le vrai du faux donne l’heure juste sur plusieurs enjeux tels que les gaz à effet de serre, la gestion de l’eau, l’utilisation des terres, la biodiversité et la santé humaine.

Le contenu de cette brochure s’appuie sur les données scientifiques les plus à jour et sur plusieurs études dont la plus récente Évaluation nationale de la durabilité du bœuf.

La version numérique de Démêler le vrai du faux est disponible en français et en anglais.

Source : PBQ

 

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La production bovine au cœur d’un jeu-questionnaire

 

Rétablir les faits concernant la production bovine au Québec de façon amusante, c’est possible! Le 6 octobre dernier, les lecteurs de La Presse + ont pu participer à un jeu-questionnaire inspiré de la campagne LESFAITSBOEUF.COM | VEAUFAITS.COM.

Sous la forme d’un « vrai ou faux », le jeu permettait de tester ses connaissances sur la production bovine et d’en apprendre davantage sur des thèmes comme l’eau, les gaz à effet de serre et la biodiversité. L’initiative était commanditée par Les Producteurs de bovins du Québec dans le cadre de son plan de communication en durabilité.

Cliquez ici pour participer au jeu-questionnaire.

Source : PBQ

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Prix TESA et INNOVEAU : 1 000 $ à gagner

Votre ferme se démarque? L’innovation et la durabilité sont au cœur de votre stratégie d’entreprise? Soumettez votre candidature au Prix de l’intendance environnementale (TESA) – Section Québec ou au Prix INNOVEAU! Vous pourriez remporter l’une des deux bourses de 1 000 $ sous forme d’aide financière pour un service-conseil en agroenvironnement.

Depuis 1996, le Prix de l’intendance environnementale est décerné chaque année au niveau national pour récompenser le leadership des producteurs de bovins (vache-veau et bouvillons) en matière de conservation. Les candidats des différentes provinces sont sélectionnés sur la base de leurs pratiques de gestion, leurs réalisations et leurs objectifs. Ainsi, la candidate ou le candidat aura le privilège de représenter le Québec lors de la Canadian Beef Industry Conference et courra la chance d’être le lauréat du prix au niveau national.

Créé par les PBQ l’année dernière, le Prix INNOVEAU récompense le leadership des producteurs de veaux lourds en matière de bien-être animal, d’innovation et de conservation. Chaque année, ce concours soulignera l’excellence d’une entreprise d’ici qui se distinguera entre autres par sa capacité à améliorer l’efficacité de sa production et par ses actions entreprises pour s’adapter aux changements climatiques.

L’appel de candidatures se termine le 3 janvier 2025. Les gagnants seront dévoilés lors de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec en mars 2025.

 

 

Sources : PBQ

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Des bourses jusqu’à 5 000 $ pour la relève: Inscrivez-vous avant le 31 décembre!

Il est encore possible de soumettre une candidature aux Bourses PBQ de la relève en production bovine. La date limite a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2024 pour permettre à un plus grand nombre de candidats potentiels de se manifester. Ces bourses de distinction visent à saluer les efforts de diplômés qui désirent poursuivre ou démarrer un projet en production bovine.

Rappelons que l’une des deux bourses sera remise à un candidat issu de l’industrie. Si la relève de votre entreprise répond aux critères de sélection, n’hésitez pas à lui faire part de cette initiative. L’autre bourse sera décernée à un candidat qui débute dans le secteur.

Le montant des bourses sera modulé en fonction du niveau de scolarité des lauréats :

  • 1 250 $ pour les candidats de niveau professionnel
  • 2 500 $ pour les candidats de niveau collégial
  • 5 000 $ pour les candidats de niveau universitaire

Pour plus de détails : https://bovin.qc.ca/ecoles/bourses/

Sources : PBQ

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L’automne arrive, c’est le temps de prendre une photo de famille!

En vue de leur 50e anniversaire, Les Producteurs de bovins du Québec organisent un concours photo. Vous courez la chance de remporter l’un de nos trois prix en argent : 300 $, 200 $ et 100 $.

Les meilleures photos sélectionnées seront exposées à l’occasion de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec les 25 et 26 mars 2025.

Participez en grand nombre!

Règlements et trucs pour de meilleures photos : https://bovin.qc.ca/concours-photo/

Source : PBQ

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Disponible sur YouTube – Un avenir « vert » l’optimisation des pâturages

La gestion optimale des pâturages n’est pas simplement une pratique dédiée à l’augmentation des rendements dans les parcelles. Bien entendu, l’adoption de bonnes pratiques aux pâturages est synonyme de rentabilité, mais permet aussi d’avoir un impact positif sur l’environnement, et ce, de l’air jusqu’à la terre en passant par l’eau! Il est donc important de comprendre le cycle de vie des plantes ainsi que leurs caractéristiques pour mieux gérer les rotations et les durées de paissance et de repos.

Prenons la théorie et rendons-la applicable!

Bon visionnement!

 

 

Source : PBQ

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Deux producteurs de bovins récompensés pour leurs efforts en faveur de l’environnement

De gauche à droite : Mme Camila Rubiano, technicienne en agroenvironnement/programme ALUS Outaouais-Laurentides, M. Bryan Gilvesy, PDG d’ALUS, M. Victor Drury, finaliste du prix Dave Reid 2024, Mme Maria José Maezo, coordonnatrice d’ALUS Outaouais, M. Brian Maloney, finaliste du prix Dave Reid 2024, M. Denis Tassé, préfet suppléant, MRC de Papineau et Mme Stephanie Hedrei, coordonnatrice d’ALUS Laurentides. (Photo : Jan Amell Photography)

 

À l’occasion de la remise du prix David Reid, le programme ALUS a reconnu le leadership de MM. Victor Drury et Brian Maloney en matière d’intendance agricole et d’approches novatrices pour produire des services écologiques sur leurs terres.

Les deux finalistes recevront chacun un prix de 2 500 $. Une bourse de 10 000 $ a été attribuée au lauréat de l’édition 2024, M..François Allard, producteur albertain. 

  1. M. Maloney, dont la ferme est située à Thurso, en Outaouais, participe à plusieurs projets ALUS, incluant plus de deux acres de réserve non pâturée pour le goglu des prés et l’alouette des champs. Il a également créé une zone tampon riveraine d’un demi-acre le long de la rivière Blanche.
  2. M. Drury a rejoint le programme ALUS en 2021 afin de contribuer à la protection des espèces en péril grâce à des pratiques comme la fauche retardée sur sa ferme à La Pêche, en Outaouais. Il a également adopté le pâturage en rotation et des pratiques biologiques, bénéfiques pour la santé des sols et la régénération des pâturages. Mentionnons aussi que M. Drury est le vice-président du comité de mise en marché des veaux d’embouche au sein des Producteurs de bovins du Québec.

Rappelons que le programme ALUS propose aux agriculteurs des paiements annuels par acre pour l’établissement, l’entretien et la gestion de projets écologiques sur leurs terres.

Source : ALUS, PBQ

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Le site web du BCRC en français : la boiterie

Le Beef Cattle Reseach Council (BCRC) est l’organisme canadien pour la recherche sur le bœuf, les bovins et les fourrages. Le BCRC a pour mandat de déterminer les priorités en matière de recherche et de développement pour l’industrie canadienne des bovins de boucherie et d’administrer les fonds du Prélèvement national alloués à la recherche. Les recherches financées par le BCRC couvrent plusieurs aspects :

  • Santé et bien-être animal;
  • Utilisation et résistance aux antibiotiques;
  • Productivité des fourrages et des prairies;
  • Efficacité alimentaire et alimentation;
  • Qualité des aliments;
  • Environnement et durabilité;
  • Transfert technologique et économie de la production.

En septembre dernier, le BCRC a lancé son site web en français. Bien que tout le contenu n’ait pas encore été traduit, on peut y retrouver beaucoup d’informations en français destinées aux producteurs.

Les PBQ ont activement participé à la traduction d’éléments pertinents pour les producteurs. Une fiche technique portant sur la boiterie : Une maladie fréquente dans les parcs d’engraissement a été produite à partir de l’information disponible sur la page du BCRC. Nous vous invitons à prendre connaissance de cette fiche.

Source : PBQ

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Un nouvel identifiant pour le bovin

Attestra annonce qu’un nouvel identifiant, le « Maxi », est proposé pour l’espèce bovine avec un panneau visuel plus grand que le panneau habituel, permettant une meilleure visibilité du numéro lorsque le poil pousse dans les oreilles pendant l’année. Cet identifiant est disponible depuis le 7 octobre pour les éleveurs de bovins des catégories boucherie et laitier, en version FDX et HDX (technologie de lecture électronique). Ces deux technologies sont compatibles avec tous les bâtons de lecture distribués par Attestra ainsi qu’avec les équipements utilisés par les encans et abattoirs.

 

 

Source : Attestra

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Application de la norme provisoire pour les SPFA dans les biosolides commerciaux

À compter du 18 octobre 2024, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) appliquera la norme provisoire relative aux substances per- et polyfluoroalkyles (SPFA) dans les biosolides importés ou vendus au Canada comme qu’engrais.

Pour être importés ou vendus au Canada, les biosolides représentés comme des engrais commerciaux doivent contenir moins de 50 parties par milliard (ppb) de sulfonate de perfluorooctane (SPFO) sur une base de poids sec. Le SPFO est utilisé comme indicateur de contamination par les SPFA.

Pour démontrer leur conformité à la norme, les importateurs et les vendeurs de biosolides doivent posséder un certificat d’analyse présentant les résultats des tests effectués sur les SPFO et attestant que ce certificat est représentatif du produit qu’elles importent ou vendent.

 

 

Source : ACIA

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Comment l’état d’un bovin de réforme affecte-t-il son prix à l’encan ?

Le secteur bovin de réforme et veau laitier a participé au financement d’un projet de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal afin d’évaluer l’état des bovins de réforme lors de leur mise en marché. Les résultats ci-dessous sont issus d’une analyse menée de 2021 à 2023 sur 8 500 vaches mises en marché dans les principaux encans du Québec.

Parmi les constats de cette étude :

  • 21 % des vaches étaient pénalisées en raison de signes de boiterie (et n’auraient pas dû se retrouver dans un centre de rassemblement);
  • 65 % des vaches avaient le pis rempli au moment de la vente;
  • 14 % des vaches présentaient de l’enflure ou de la rougeur au niveau du pis;
  • Les vaches ayant une cote d’état de chair de moins de 2 étaient payées 0,23 $/lb de moins que celle ayant une cote entre 2 et 4. Les vaches ayant une cote d’état de chair de plus de 4 obtenaient quant à elles 0,12 $/lb de plus.
  • 70 % des bovins avaient les cuisses et les flancs propres, 23 % étaient sales et 7 % étaient très sales ;
  • 58 % des bovins avaient les pattes propres, 34 % étaient sales et 8 % étaient très sales ;
  • Les bovins amorphes ou sans énergie ont obtenu en moyenne 0,17 $/lb de moins que ceux ayant une attitude calme.

Les pertes de valeur ci-haut mentionnées sont cumulatives. Une vache très maigre, amorphe et présentant de l’enflure aux genoux étant beaucoup moins intéressante pour les acheteurs qu’une vache en santé et son prix serait réduit d’en moyenne 0,53 $/lb. Cet animal n’étant pas en état de subir un transport de plusieurs heures, les acheteurs ontariens et américains éviteront de miser sur elle. Plusieurs solutions peuvent cependant être envisagées et sont présentées ci-dessous :

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Se préparer à son audit en 3 étapes

  1. Rassemblez vos registres et protocoles : mettez à jour et organisez tous vos documents nécessaires pour l’audit.
  2. Assurez la conformité des documents : vérifiez que vos registres obligatoires et fortement recommandés respectent les exigences.
  3. Préparez votre ferme pour la visite : soyez prêt à expliquer vos pratiques et à montrer vos installations lors de la visite.

Vous rêvez d’une ferme qui inspire confiance et qui valorise vos efforts? Se certifier et passer un audit, c’est bien plus qu’une simple formalité : c’est l’occasion de montrer à quel point vos pratiques sont rigoureuses et à la hauteur des attentes des consommateurs et des partenaires. Un audit vous permet non seulement de faire le point sur vos réussites, mais aussi de découvrir des pistes d’amélioration. De plus, l’audit est un moment d’échange avec des auditeurs passionnés où vous pouvez consolider votre savoir-faire.

Besoin d’aide? Contactez Catherine pour de l’accompagnement à la ferme ou en ligne.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

Enchère électronique

La prochaine vente se tiendra le 26 novembre 2024.

Qui peut inscrire des veaux d’embouche?

Tous les producteurs pouvant commercialiser au moins 10 veaux du même sexe ayant un écart de poids d’au plus 100 lb.

Pourquoi commercialiser à l’enchère électronique?

  • Meilleur contrôle des revenus associés à la vente de ses veaux d’embouche
  • Solidifier le lien de confiance avec les producteurs de bouvillons
  • Valoriser ses veaux d’embouche auprès des acheteurs

Comment s’inscrire?

Quand s’inscrire?

Avant le 22 novembre 2024

Des questions?

Communiquer avec Mme Laurie Noiseux en composant le 450 679-0540, poste 8482.

Source : PBQ

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Un sevrage sans stress, c’est payant!

Avez-vous déjà observé les comportements suivants chez un veau fraîchement sevré :

  • Grande agitation
  • Activité et marche constante
  • Beuglements incessants

Pendant que le veau exprime ces comportements évocateurs de stress, sa prise alimentaire est réduite et, par conséquent, son gain de poids. De plus, une période de stress sollicite le système immunitaire inutilement et augmente le risque de maladie.

La séparation du veau de sa mère représente un évènement marquant et stressant qui risque fort d’affecter ses performances de croissance et donc vos revenus.

Heureusement, il existe plusieurs moyens d’éviter les pertes économiques en effectuant un sevrage sans stress. Apprenez-en plus en visionnant la capsule suivante.

Source : PATBQ

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VEAU D’EMBOUCHE ET BOUVILLON D’ABATTAGE

Dernier webinaire de l’année : Soins d’urgence aux veaux… STAT!

C’est votre dernière chance de pouvoir participer à un webinaire PBQ en 2024! Mais ne vous inquiétez pas, vous pouvez toujours aller visionner tout le contenu en ligne, sur notre chaîne YouTube.

Cette conférence, présentée le 21 novembre 2024 dès 19 h par le Dr Antoine Bourgeois, traitera des trois éléments suivants :

  1. Comment reconnaître les signes de détresse d’une vache pendant le vêlage et comment évaluer si la vache a besoin ou non d’assistance?
  2. Les soins préventifs des veaux :
    1. Reconnaître les signes et/ou les situations où un veau a besoin d’être surveillé
    2. Rappel de la bonne gestion du colostrum
    3. Savoir reconnaître les signes d’un veau déshydraté
  3. Les soins curatifs des veaux :
    1. Causes, diagnostic et traitement des problèmes de santé les plus récurrents chez les veaux naissants

 

 

Source : PBQ


Biodiversité : faites briller vos succès avec VBP+!

On nous répète souvent qu’il est essentiel de partager avec les consommateurs à quel point les producteurs de bovins sont attentifs à leurs animaux, à l’environnement et à leur communauté. Et avec une certification comme VBP+, c’est bien plus simple de le faire!

La biodiversité, ça vous parle? C’est un sujet incontournable aujourd’hui! Grâce aux normes dans la section 9 du manuel VBP+, vous jouez un rôle clé dans la préservation de la biodiversité sur vos terres. Eh oui, c’est écrit noir sur blanc :

“La gérance environnementale inclut l’acceptation et l’appréciation de la faune, de son habitat et de la biodiversité.”

Que vous soyez déjà certifiés ou que vous songiez à le devenir, voici quelques pratiques essentielles à mettre de l’avant pour démontrer votre engagement envers la préservation de la biodiversité :

  • Gestion des pâturages
  • Soins des sols
  • Gestion des éléments nutritifs et des zones riveraines
  • Utilisation responsable des herbicides et pesticides

En bref, les engagements VBP+ en matière de biodiversité :

  • Vous protégez et améliorez les ressources en terre, en eau et en air tout en maximisant votre production.
  • Votre gestion du fumier prévient les dégâts environnementaux et protège la qualité de l’eau.
  • L’habitat faunique est préservé et valorisé, vous contribuez activement à son maintien.
  • Les produits chimiques sont utilisés et éliminés de façon sécuritaire, sans risque pour vos animaux, votre équipe et l’environnement.
  • La qualité de l’air? Un enjeu vital pour la santé de vos animaux et de la planète. Réduire les gaz à effet de serre, la poussière et les odeurs est au cœur des pratiques VBP+.

Consulter la section 9 du manuel VBP+ ici  

Avec VBP+, vous montrez que votre exploitation prend soin de la nature tout en produisant des bovins de qualité. Une fierté à partager sans modération!

Source : PBQ


Avez-vous attrapé la fièvre VBP+?

Faites une demande de certification VBP+ d’ici le 8 novembre 2024 et courez la chance de remporter l’un de nos 2 kits VBP+ comportant les articles de l’image ci-dessus. Les gagnants seront annoncés dans La Minute bovine de novembre 2024.

En 2025, faites partie de l’équipe VBP+ Québec

Si vous faites déjà partie de l’équipe, vous serez automatiquement ajouté au tirage!

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BOUVILLON D’ABATTAGE

Comparatif 2023-2024 des ventes de bouvillons d’abattage

Depuis plus de 10 ans, la production de bouvillons est en diminution au Québec. L’année 2024 ne fait pas exception et suit la tendance nord-américaine. Nous vous présentons le résumé des ventes de bouvillons produit au Québec du 1er janvier au 20.septembre 2024 en comparaison avec l’année 2023 pour la même période.

Au 20 septembre, le volume de bouvillons totaux était de 39 816 têtes comparativement à 41 203 à la même date en 2023. Ceci représente une baisse de 3,4 %. Le volume de bouvillons produits au Québec poursuit donc sa tendance à la baisse des dernières années. À titre indicatif, le volume de production était de 215 000 têtes produites en 2008 et nous estimons qu’elle sera de 57 500 têtes en 2024. Il s’agit donc d’une baisse importante d’environ 73 % en 16 ans.

Toujours pour la période du 1er janvier au 20 septembre 2024, les prix de base moyen sont largement à la hausse, étant en moyenne à 4,02 $/lb carcasse comparativement à 3,64 $/lb carcasse. Il s’agit d’une hausse de 0,38 $/lb carcasse, soit 10,4 %. La réduction du cheptel de bovins américains, cumulée à une forte demande pour la viande bovine explique en grande partie cette hausse de prix.

Le poids carcasse moyen pour la même période a augmenté de 2,9 %, passant de 890 lb à 915 lb. Les bouvillons de classe AAA ont diminué de 7,1 %, passant respectivement de 56,7 %à 49,6 %. La forte hausse du coût des grains en 2022 et 2023 explique en partie cette diminution du taux de persillage puisque les producteurs ont dû réduire l’apport en grains dans les rations.

Sources :PBQ

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

ASREC : Adhésion automnale

L’adhésion 2025 pour les protections automnales à l’assurance récolte (ASREC) est en cours. L’assurance récolte permet de protéger vos cultures et de réduire les risques financiers de votre entreprise. C’est un outil de gestion des risques indispensable qui offre une protection adaptée à votre réalité.

À noter que la date limite d’adhésion pour les céréales d’automne est dorénavant le 1er novembre. Par ailleurs, dans le cadre d’un projet pilote, les producteurs de céréales biologiques utilisant l’autosemence peuvent s’assurer à l’assurance récolte. Les adhérents doivent cribler la semence et effectuer un test de germination de la semence produite à la ferme.

 

 

Source: FADQ

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NOUVELLES DE L’ASSOCIATION CANADIENNE DES BOVINS

C’est l’heure de célébrer le meilleur bœuf au monde

L’Association canadienne des bovins (ACB) vous donne l’occasion d’afficher fièrement votre soutien pour le bœuf canadien. En joignant la communauté des supporteurs de bœuf, non seulement vous resterez à l’affût de tout ce qui concerne le bœuf canadien, mais vous aurez également accès à des histoires inspirantes de producteurs et des recettes savoureuses.

En prime, vous pouvez recevoir par la poste un ruban bleu « Beef Champion » personnalisé!

 

 

Source : ACB

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NOUVELLES RÉGIONALES

ABITIBI-TÉMISCAMINGUE

Quelle idée retenez-vous pour vos pâturages?

C’est par cette question que l’atelier Pâturage et biodiversité s’est terminé lors de la journée de démonstration de leadership en gestion des prairies et pâturages, tenue le 20 septembre dernier à Dupuy, en Abitibi. Parmi les idées retenues par les participants, notons :

  • Rotation des pâturages plus fréquente
  • Tests avec du bale grazing pour améliorer mes sols
  • Le bon nombre d’animaux pour les ressources existantes
  • Partir mon plan de rotation à l’envers
  • Utiliser les animaux pour améliorer mes sols
  • Créer ma propre résilience en laissant 10 % de mon pâturage non pâturé pour permettre aux plantes d’exprimer leur plein potentiel
  • Garder un espace pour du pâturage hâtif au printemps

Les participants écoutent attentivement M. Brian Maloney. Ils ont même testé la température du sol. M. Éric Lafontaine, de la Ferme Lafontaine-Noël, profite de la balade en charrette aménagée pour décrire sa ferme et ses champs.

 

Environ 35 producteurs et intervenants ont participé à cette journée, où la gestion des pâturages et les techniques de rénovation des prairies étaient à l’honneur. Le programme comprenait des conférences le matin, une balade en charrette aménagée et un atelier pâturage avec M. Brian Maloney. Beaucoup d’échanges constructifs dans une région largement éprouvée par la sécheresse.

Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert.

Source : PBQ

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CHAUDIÈRE-APPALACHES

Une année record pour la Journée champêtre bovine!

Le 21 septembre dernier, les Fermes Rodrigue de Beauceville ont accueilli environ 500 visiteurs pour la Journée champêtre bovine. Parmi eux, 300 étaient présents au souper sous le chapiteau. Au cours de la journée, plusieurs kiosques ont agrémenté la journée, en plus de la visite guidée des enclos d’hivernage, fortement appréciée des visiteurs.

Peu avant le souper, les propriétaires, M. Francis Rodrigue et Mme Isabelle Bolduc, ont présenté leur jeune entreprise, qui réalise une bonne partie de sa mise en marché. Mme Marie-Anne Grondin de Bovi-Expert a ensuite partagé de nombreuses données techniques sur l’entreprise.

Pour sa 8e édition, la Journée champêtre bovine de la Chaudière-Appalaches est organisée cette année grâce à la collaboration des deux syndicats des Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches, Nord et Sud. Le comité organisateur tient à remercier encore une fois les propriétaires pour leur accueil, ainsi que les nombreux commanditaires qui ont rendu cette journée possible.

Source : Les Producteurs de bovins de Chaudière-Appalaches Nord et Sud

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MONTÉRÉGIE-OUEST

Encore un succès pour la Journée bovine!

 

Le 5 octobre dernier, une journée bovine a eu lieu au Ranch Covey Hill à Havelock. Cet événement a été organisé par le Syndicat des producteurs de bovins de la Montérégie-Ouest, en partenariat avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec de la Montérégie, et grâce au soutien financier des Producteurs de bovins du Québec, du réseau Agriconseils Montérégie ainsi que de Réseau Encans Québec.

Les 117 participants ont eu droit à une belle journée ensoleillée et à une programmation réussie.

À l’accueil, on pouvait découvrir divers kiosques. Une conférence a ensuite été présentée sur la régie et les soins (alimentation) des taureaux de boucherie de race pure, suivie d’un panel de discussion sur la commercialisation des bovins. Pour clore la journée, les producteurs ont pu assister à une démonstration de manutention d’un groupe de bovins aux pâturages.

Un encan durant le cocktail et le dessert a permis d’amasser plus de 5 000 $ grâce à la grande générosité des participants, pour soutenir les travailleurs de rang de l’organisme Au cœur des familles agricoles. Les personnes présentes ont également pu profiter d’un bon souper steak-frites et d’une soirée avec le groupe country Leadville Union.

Source : Le syndicat des producteurs de bovins de la Montérégie-Ouest

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GASPÉSIE

Rocher Percé, une activité agroforesterie et biodiversité

Du pâturage, on voit la mer!

 

Le 28 septembre dernier, les producteurs de la MRC Rocher Percé étaient invités à une activité de démonstration en agroforesterie qui confirmait que les arbres peuvent être nos alliés dans les fermes et favorisent la biodiversité. L’activité a permis la visite de quatre sites où les participants ont pu découvrir des haies agroforestières, un système d’intercalaire et le pâturage agroforestier. M. Bertrand Anel, coordonnateur du projet depuis 2006 et maintenant producteur de bovins, a présenté l’impact d’un projet local sur la biodiversité et la cohabitation de la production agricole et forestière. Le projet déployé a même inclus des propriétaires terriens non producteurs agricoles qui bénéficient maintenant d’arbres sur leur terrain tout en permettant la récolte de foin par des producteurs du voisinage. Cet entretien du paysage bénéficie donc à la collectivité.

Discussion de groupe près d’une haie forestière diversifiée.

 

Cette activité marque la fin du Programme biodiversité en production bovine qui s’est déroulé au cours des trois dernières années dans le cadre du Plan d’agriculture durable du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) et en concordance avec le Plan de durabilité des Producteurs de bovins du Québec (PBQ). Les PBQ voulaient former et accompagner les producteurs de bovins sur les pratiques à mettre en place à la ferme pour favoriser un habitat propice à la faune, notamment les oiseaux champêtres et les pollinisateurs, et pour améliorer la biodiversité. Près de 700 personnes ont participé à l’une ou l’autre des activités proposées entre 2022 et 2024. Les PBQ évalueront les retombées de ce projet et décideront de la suite à donner.

Ce projet a été financé par le MAPAQ dans le cadre du programme Prime-Vert.

Source : PBQ