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La Minute bovine : novembre 2024

Coup d’œil sur les marchés du bœuf et du veau

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Nouvelles de La Financière agricole du Québec

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COUP D’ŒIL SUR LES MARCHÉS DU BŒUF ET DU VEAU

 

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BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

Filière bœuf et veau

Séance d’information du MELCCFP – Gestion des pesticides

De nouvelles exigences réglementaires concernant l’achat et l’usage de pesticides entreront en vigueur le 1er janvier 2025. Elles touchent notamment les semences de huit cultures enrobées d’insecticides et de fongicides. Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) offrira une deuxième séance d’information virtuelle à ce sujet le lundi 16 décembre de 9 h à 12 h.

Les sujets suivants seront abordés :

  1. Nouvelles exigences réglementaires concernant la gestion des pesticides

Cette présentation sera offerte par le MELCCFP.

  1. Aide financière disponible pour documenter les champs et réduire l’utilisation des semences enrobées d’insecticides

Cette présentation sera offerte par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

  1. Assurance-récolte : admissibilité et indemnisation en cas de dommages causés par les insectes

Cette présentation sera offerte par La Financière agricole du Québec.

Source : UPA

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ACTUALITÉS

Participation record au Colloque de l’industrie bovine québécoise

Deux cents acteurs clés des filières bœuf et veau étaient présents au Colloque de l’industrie bovine québécoise (CIBQ) pour une édition riche en expériences! L’événement, qui se tenait le 19 novembre à Lévis, a attiré des participants de tous les horizons, notamment des producteurs, des représentants d’abattoir, des agronomes et des étudiants.

La programmation de la journée, qui avait pour thème Préparer l’avenir était très diversifiée. Dans son discours d’ouverture, le président des Producteurs de bovins du Québec, M. Sébastien Vachon, a eu l’occasion de présenter son parcours en tant que producteur et de partager sa vision pour le futur de l’industrie.

En plus des présentations sur le prix des protéines, la finance et la durabilité du bœuf canadien, les participants ont eu droit à une démonstration de découpes sur scène. De passage au Québec, le boucher, M. Scott Stewart, et le directeur du Centre d’excellence du bœuf canadien, M. Mathieu Paré, ont présenté différentes manières de valoriser l’intérieur de ronde.

D’autres moments forts ont ponctué la journée, comme la table ronde sur les nouvelles technologies, ainsi que le témoignage de l’homme d’affaires, M. Jean Bédard. Le dirigeant du Groupe Grandio a expliqué comment la chaîne de restaurants La Cage – Brasserie sportive était parvenue à changer sa culture d’entreprise pour rester compétitive. Enfin, le président de Bœuf canadien, M. Éric Bienvenue, a fait état des réalisations de son organisme au cours de la dernière année, tout en identifiant les enjeux auxquels était confrontée l’industrie.

Le CIBQ s’est clôturé avec le tirage de plusieurs prix de présence et un cocktail, au grand plaisir de tous.

Le comité organisateur tient à remercier chaleureusement tous les partenaires et les exposants qui ont contribué au succès de cet événement.

Des contenus disponibles

Vous avez manqué le CIBQ ou vous souhaitez consulter les présentations? Certains contenus sont désormais disponibles en ligne.

Source : PBQ

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L’UPA Outaouais-Laurentides salue le leadership de M. Stanley Christensen en agroenvironnement

M. Stanley Christensen s’est distingué une fois de plus pour ses efforts visant à concilier l’agriculture et l’environnement. Le producteur de bovins a reçu le prix Leader agroenvironnement lors du banquet soulignant les 60 ans de l’UPA Outaouais-Laurentides, qui s’est tenu le 30 octobre au Fairmont Le Château Montebello.

Rappelons qu’en 2023, l’entreprise de M. Christensen, Ferme SAGE enr., a représenté le Québec au Prix de l’intendance environnementale (TESA), qui récompense les entreprises de bovins de boucherie pour leurs bonnes pratiques agroenvironnementales à l’échelle canadienne. Parmi les pratiques de la ferme, mentionnons l’implantation de cultures pérennes, l’absence de travail mécanique du sol et la fauche tardive. Plusieurs gestes sont également posés pour la protection de l’eau et de la biodiversité.

Source : PBQ

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Les dirigeants de la Ferme de Ste-Victoire remportent le Prix de la relève agricole 2024

Crédit : Éric Labonté, MAPAQ

Le Prix de la relève agricole a été remis à Mme Maude Péloquin, M. Renaud Péloquin et M. Michaël Lecours, tous trois propriétaires de la Ferme de Ste-Victoire inc., située à Sainte-Victoire-de-Sorel, en Montérégie.

Ces jeunes entrepreneurs passionnés cultivent du maïs-grain, du blé et du soya et élèvent des veaux de grain. Fiers d’être la huitième génération de la ferme familiale, ils ont pour mission d’assurer la pérennité de l’entreprise pour les générations futures d’une manière résiliente et profitable.

Leaders en agroenvironnement, ils encouragent les autres producteurs à adopter de meilleures pratiques et démontrent que c’est possible de le faire en assurant la profitabilité de l’entreprise et en faisant bénéficier la collectivité.

Les finalistes 2024 sont Mme Emmanuelle Vincent et M. Simon Laflamme, propriétaires de la Ferme Belflamme inc., une ferme laitière située à Saint-Anselme, dans la région de la Chaudière-Appalaches.

 

 

Sources : MAPAQ

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BOvins pour le climat : 50 producteurs inscrits!

Le projet BOvins pour le climat, par des pratiques rentables et durables prend son envol avec la participation de 50 producteurs. Ceux-ci sont répartis dans 10 régions du Québec afin de représenter la distribution générale des secteurs de production. En production bovine, le groupe se compose de 7 producteurs de bouvillons d’engraissement et de 28 producteurs de veaux d’embouche, avec ou sans semi-finition. En production ovine, le projet inclut 15 producteurs, tant des éleveurs commerciaux que des hybrideurs ou des producteurs de races pures.

Il faut rappeler que ce projet se penchera sur l’applicabilité, l’efficacité et l’impact des actions de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) sur la gestion des fermes participantes. À travers diverses rencontres et formations, les compétences des conseillers seront renforcées et les outils d’aide à la décision seront améliorés pour accélérer l’adoption de pratiques réduisant les GES par les producteurs québécois. Enfin, le projet permettra de déterminer des leviers à mettre en œuvre pour soutenir les producteurs dans l’adoption de ces pratiques.

Pour suivre de près l’évolution du projet, rendez-vous sur la page Facebook BOvins pour le climat.

Ce projet, qui s’échelonnera de 2024 à 2027, est financé par le gouvernement du Québec dans le cadre du Plan de mise en œuvre 2023-2028 du Plan pour une économie verte 2030.

Sources : PBQ

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Un balado sur BOvins pour le climat

L’enregistrement du balado avait lieu dans le studio de La Terre de chez nous.

 

Rejoignez-nous pour découvrir BOvins pour le climat! Animé par Catherine Larivée Bazinet, agronome, ce balado explore comment des pratiques agricoles durables et rentables peuvent transformer les industries bovines et ovines face aux enjeux climatiques.

Elizabeth Lepage, agronome et coordonnatrice du projet, nous raconte l’origine de cette initiative, les objectifs poursuivis, les producteurs engagés et bien plus encore.

Et pour répondre à la question brûlante : Pourquoi « BOvins »? Non, ce n’est pas une erreur! Découvrez la signification derrière ce jeu de mots dans le tout premier épisode.

Ce balado est une initiative du secteur bovin du Centre de développement du porc du Québec, réalisée en collaboration avec le Conseil pour le développement de l’agriculture du Québec, le Centre d’expertise en production ovine du Québec et Les Producteurs de bovins du Québec.

Cliquez ICI pour écouter le balado sur Spotify.

Financé par le gouvernement du Québec dans le cadre du Plan de mise en œuvre 2023-2028 du Plan pour une économie verte 2030.

Sources : PBQ

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La biodiversité en production bovine attire les gens

Le Programme biodiversité en production bovine, qui s’est déroulé entre 2022 et 2024, a conduit à la réalisation de 19 activités d’introduction aux organismes utiles pour la biodiversité à la ferme et à des pratiques d’élevage, de pâturages et de cultures favorables, notamment pour les oiseaux champêtres et les pollinisateurs. Ces activités ont été organisées chez des producteurs de bovins à travers le Québec et ont permis de rejoindre 667 personnes. Le succès repose sur des ententes de collaboration avec des groupes particulièrement actifs dans leur milieu, qui ont su mobiliser producteurs, intervenants et citoyens autour de la découverte des pratiques de biodiversité sur des fermes bovines.

Trois témoignages vidéo offrent la possibilité d’en apprendre davantage sur les bandes riveraines et l’amélioration de la biodiversité, l’utilisation de la barre d’effarouchement, la fauche retardée ainsi que sur les systèmes agroforestiers favorables à la biodiversité. Visionnez les vidéos ici. 

Ce projet nous a appris que, même parmi les producteurs, les bénéfices de la production bovine pour la biodiversité sont souvent mal connus. Le Programme biodiversité en production bovine a contribué à faire connaître ces bénéfices, tout en apportant un vent de positivisme à la production. Une retombée inattendue est le lien privilégié établi entre les différents partenaires impliqués et les regroupements qui militent en faveur de la biodiversité. Par exemple, ce nouveau lien entre l’industrie bovine et des biologistes a permis à ces professionnels de mieux comprendre notre secteur agricole et a ouvert la voie à une collaboration avec QuébecOiseaux pour le projet de conservation volontaire des habitats de nidification des oiseaux champêtres en milieu agricole pour les années 2025-2026.

Le programme en lice aux prix de l’Union

Les Producteurs de bovins du Québec sont finalistes aux prix de l’Union (Prix Environnement Hélène-Alarie) pour la réalisation de ce programme.

Ce prix récompense des équipes qui ont mené des projets visant l’adoption de nouvelles pratiques agroenvironnementales, l’adaptation aux changements climatiques, ou en faveur de l’agriculture et de la foresterie durables. La remise des prix aura lieu le 4 décembre 2024 lors du gala du Congrès de l’UPA.

Source : PBQ

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Création des Bourses Agria en production bovine

Les Producteurs de bovins du Québec sont fiers de lancer les Bourses Agria en production bovine. Ces bourses d’études ont pour objectif d’encourager la persévérance scolaire d’étudiants des niveaux professionnel et collégial qui souhaitent évoluer dans les filières bœuf et veau au Québec. Cette initiative est rendue possible grâce à la générosité de la Fondation Agria qui a pour mission de soutenir et promouvoir la formation agricole et le perfectionnement.

Au total, deux bourses seront remises

  • Une bourse de 1 000 $ à un étudiant de niveau professionnel
  • Une bourse de 1 000 $ à un étudiant de niveau collégial

Les dossiers de candidature doivent être transmis avant le 31 décembre 2024 à 23 h 59. Les lauréats seront dévoilés à l’hiver 2025.

 

 

Source : PBQ

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Des bourses jusqu’à 5 000 $ pour la relève: Inscrivez-vous avant le 31 décembre!

Il est encore possible de soumettre une candidature aux Bourses PBQ de la relève en production bovine. La date limite a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2024 pour permettre à un plus grand nombre de candidats potentiels de se manifester. Ces bourses de distinction visent à saluer les efforts de diplômés qui désirent poursuivre ou démarrer un projet en production bovine.

Rappelons que l’une des deux bourses sera remise à un candidat issu de l’industrie. Si la relève de votre entreprise répond aux critères de sélection, n’hésitez pas à lui faire part de cette initiative. L’autre bourse sera décernée à un candidat qui débute dans le secteur.

Le montant des bourses sera modulé en fonction du niveau de scolarité des lauréats :

  • 1 250 $ pour les candidats de niveau professionnel
  • 2 500 $ pour les candidats de niveau collégial
  • 5 000 $ pour les candidats de niveau universitaire

Pour plus de détails : https://bovin.qc.ca/ecoles/bourses/

Sources : PBQ

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Visite d’une ferme avec les étudiants en Gestion et technologies d’entreprise agricole

La Fédération de l’UPA de la Montérégie a organisé des visites de fermes les 6 et 7 novembre 2024 pour les 70 étudiants en première année au programme Gestion et technologies d’entreprise agricole de l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec au campus de Saint-Hyacinthe. Lors de la journée, une visite avait lieu à la Ferme Guy Noiseux.

Dans le cadre de l’activité, une présentation des Producteurs de bovins du Québec (PBQ) a été faite par Mme Laurie Noiseux, directrice de la mise en marché des veaux d’embouche, bovins de réforme et veaux laitiers. C’était une occasion pour les étudiants de prendre connaissance des cinq secteurs des PBQ, des différents modes de mise en marché des veaux d’embouche ainsi que des bourses d’études offertes par les PBQ.

Sources : PBQ

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L’automne arrive, c’est le temps de prendre une photo de famille!

En vue de leur 50e anniversaire, Les Producteurs de bovins du Québec organisent un concours photo. Vous courez la chance de remporter l’un de nos trois prix en argent : 300 $, 200 $ et 100 $.

Les meilleures photos sélectionnées seront exposées à l’occasion de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec les 25 et 26 mars 2025.

Participez en grand nombre!

Règlements et trucs pour de meilleures photos : https://bovin.qc.ca/concours-photo/

Source : PBQ

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Prix TESA et INNOVEAU : 1 000 $ à gagner

Votre ferme se démarque? L’innovation et la durabilité sont au cœur de votre stratégie d’entreprise? Soumettez votre candidature au Prix de l’intendance environnementale (TESA) – Section Québec ou au Prix INNOVEAU! Vous pourriez remporter l’une des deux bourses de 1 000 $ sous forme d’aide financière pour un service-conseil en agroenvironnement.

Depuis 1996, le Prix de l’intendance environnementale est décerné chaque année au niveau national pour récompenser le leadership des producteurs de bovins (vache-veau et bouvillons) en matière de conservation. Les candidats des différentes provinces sont sélectionnés sur la base de leurs pratiques de gestion, leurs réalisations et leurs objectifs. Ainsi, la candidate ou le candidat aura le privilège de représenter le Québec lors de la Canadian Beef Industry Conference et courra la chance d’être le lauréat du prix au niveau national.

Créé par les PBQ l’année dernière, le Prix INNOVEAU récompense le leadership des producteurs de veaux lourds en matière de bien-être animal, d’innovation et de conservation. Chaque année, ce concours souligne l’excellence d’une entreprise d’ici qui se distingue entre autres par sa capacité à améliorer l’efficacité de sa production et par ses actions entreprises pour s’adapter aux changements climatiques.

L’appel de candidatures se termine le 3 janvier 2025. Les gagnants seront dévoilés lors de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec en mars 2025.

 

 

Sources : PBQ

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Québec octroie 5 M$ pour soutenir les jeunes agriculteurs

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, confirme un appui financier de 5 M$ pour aider les jeunes agriculteurs à s’établir sur le territoire québécois. Cette somme permettra de soutenir la relève agricole qui démarre une nouvelle entreprise ou qui acquiert ou reprend une entreprise existante.

L’aide financière accordée est d’un maximum de 50 % des dépenses admissibles, jusqu’à un montant maximal de 25 000 $ par demandeur. Les entreprises auront jusqu’au 31 janvier 2025 pour soumettre un projet ou jusqu’à l’épuisement de l’enveloppe budgétaire.

 

 

Source : MAPAQ

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Le fédéral annonce une aide de 5,4 M$ pour le secteur bovin

De passage à la Canadian Western Agribition, à Regina en Saskatchewan, le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, M. Lawrence MacAulay, a annoncé un nouvel investissement fédéral pouvant atteindre 5,4 M$ pour cinq projets financés dans le cadre de trois programmes, visant à améliorer l’accès au marché, à aider les producteurs à adopter des pratiques plus durables et à promouvoir la solide réputation du Canada en tant que chef de file de la production de viande bovine de qualité supérieure.

L’Association canadienne des bovins recevra plus de 4 569 682 $ pour quatre projets dans le cadre du programme Agri-assurance (volet Associations nationales de l’industrie) et du programme Agri-compétitivité pour :

  • améliorer son programme Verified Beef Production Plus;
  • mettre à jour deux systèmes d’assurance clés de la Table ronde canadienne sur le bœuf durable, soit l’Évaluation nationale de la durabilité du bœuf et le Cadre sur le bœuf durable certifié;
  • améliorer l’interface utilisateur de l’indice de production d’herbe, un système numérique d’assurance des fourrages et un outil de gestion des risques;
  • étendre le jeu Gardiens des prairies dans les salles de classe de huit nouvelles provinces et créer une version du jeu pour les salons professionnels.

Le Conseil canadien des races de bovins de boucherie recevra jusqu’à 871 200 $ sur trois ans dans le cadre du programme Agri-marketing pour faire croître l’industrie canadienne de la génétique bovine en améliorant sa présence sur les marchés établis et émergents et en faisant la promotion de la qualité et de la durabilité du matériel génétique des bovins de boucherie canadiens.

 

 

Source : Agriculture et Agroalimentaire Canada

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Disponible sur YouTube – Soins d’urgence aux veaux… STAT!

Étant donné qu’un pourcentage important des mortalités chez les veaux survient dans les 48 premières heures de vie, cette période est charnière pour la rentabilité d’une entreprise où des vaches vêlent. Nous discuterons des sujets suivants :

  • Gestion du vêlage : durée, complications, quand intervenir;
  • Colostrum : gestion et gavage;
  • Quels sont les signes indiquant qu’un veau nécessite une surveillance accrue;
  • Quels sont les signes cliniques d’une déshydratation chez un veau;
  • Quelles sont les principales maladies retrouvées chez les veaux et comment les diagnostiquer, les traiter et les prévenir.

Le conférencier a également présenté un résumé du PISAQ traitant des consultations vétérinaires par télémédecine.

Bon visionnement!

Source : PBQ

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Commandes d’identifiants pour les bovins, ovins et cervidés

Attestra souhaite informer les producteurs de bovins, d’ovins et de cervidés qu’elle suit de près l’évolution de la grève à Postes Canada. Elle travaille en étroite collaboration avec le fournisseur d’identifiants Allflex afin de s’assurer de la mise à disposition des identifiants auprès des producteurs.

Attestra rappelle que, selon le Règlement sur l’identification et la traçabilité de certains animaux, les animaux des productions bovine, ovine et de cervidés sont dans l’obligation d’être identifiés avec des identifiants approuvés et commandés chez Attestra.

Source : Attestra

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Utilisation d’antibiotiques : Saviez-vous que…

Les producteurs de veaux de lait et de veaux de grain font de plus en plus face à des problématiques de bactéries résistantes et multirésistantes aux antibiotiques.

Préserver l’efficacité des antibiotiques permis et garantir la durabilité de la production sont des enjeux de taille pour la filière veau. Les producteurs de lait peuvent assurer le bon développement du système immunitaire de leurs veaux, contribuant ainsi à réduire l’usage d’antibiotiques, de plusieurs façons :

  • En distribuant un colostrum de qualité en quantité suffisante et dans les délais prescrits;
  • En limitant la propagation des infections en maintenant les bâtiments et les équipements propres et bien ventilés;
  • En fournissant une alimentation adaptée et équilibrée;
  • En utilisant des prébiotiques et des probiotiques;
  • En vaccinant les mères et les veaux;
  • En intervenant rapidement sur les animaux malades et en les isolant des autres;
  • En évitant le surpeuplement des parcs;
  • En évitant les traitements préventifs systématiques;

Contactez votre vétérinaire praticien pour établir un protocole de vaccination pour les veaux laitiers qui seront vendus à l’encan, et participez à la lutte contre l’antibiorésistance.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Un nouveau visage dans l’équipe

Suite à la nomination de M. Denis Pelletier au poste d’agroéconomiste, Mme Amira Khezzaren a été embauchée à titre d’agente à la mise en marché pour les secteurs veau de grain et veau de lait.

Amira est titulaire d’un diplôme universitaire d’ingénieure en agronomie et d’une maîtrise en sciences agronomiques. Elle possède six ans d’expérience dans le domaine agricole, en gestion de projets, en service client et en développement de stratégies de vente et marketing.

Il est possible de la joindre par courriel à akhezzaren@upa.qc.ca ou par téléphone au poste 8343.

Source : PBQ

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 Mise à jour de votre programme alimentaire

Si votre programme alimentaire date de 2018, il est temps de le mettre à jour! Parlez-en avec votre agronome dès que possible pour être fin prêt en 2025.

Besoin d’aide? Contactez Catherine pour de l’accompagnement à la ferme ou en ligne.

Source : PBQ

VEAU D’EMBOUCHE

Enchère électronique

Lors de l’enchère électronique du 26 novembre 2024, 183 veaux d’embouche provenant de quatre producteurs ont été vendus à deux producteurs de bouvillons différents. Au total, 16 acheteurs à travers le pays étaient inscrits sur la plateforme d’enchère. Voici les résultats de la vente :

 

Le comité de mise en marché des veaux d’embouche a souhaité apporter des allégements aux conditions de vente afin d’assurer l’affichage de lots lors des prochaines ventes. Les critères touchés sont :

  • Offrir plus de dates de vente que celles mentionnées dans le calendrier publié en juin dernier;
  • Permettre un écart de poids maximal de 200 lb;
  • Accepter les veaux semi-finis de type boucherie et de type laitier croisé boucherie.

La prochaine vente par enchère électronique se tiendra le 21 janvier. Les producteurs qui désirent inscrire des veaux peuvent le faire jusqu’au 17 janvier. Toutes les informations (conditions de vente et d’achat, formulaire d’inscription, accès à plateforme d’enchère, etc.) concernant les ventes par enchère électronique se trouvent ICI.

Source : PBQ

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Producteurs & Productrices dans le veau d’embouche : La parole est à vous!

Le sondage d’évaluation des besoins en termes de logiciel de régie de troupeau dans le veau d’embouche est officiellement lancé !

Ce sondage est effectué dans le cadre du projet Inventaire des besoins et des outils de régie de troupeau dans le veau d’embouche.

Celui-ci fait suite à la résolution adoptée lors de l’atelier des producteurs de veaux d’embouche à l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec en mars 2024. En tant que producteur et productrice, votre participation à ce sondage est indispensable afin de nous aider à bien cibler vos besoins et votre réalité. Ce sondage devrait prendre environ 15 minutes à remplir.

La date limite est le 20 février 2025.

Sondage (version française) 

Survey (english version)

Source : PATBQ

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VEAU D’EMBOUCHE ET BOUVILLON D’ABATTAGE

Vous êtes le meilleur défenseur du bien-être de votre troupeau!

Les consommateurs veulent savoir à quel point les producteurs de bovins prennent soin de leurs animaux, de l’environnement et de leur communauté. Et avec une certification VBP+, il est encore plus facile de leur montrer votre engagement!

Nous le savons : pour vous, le bien-être animal n’est pas qu’une simple obligation, c’est une priorité. Des animaux confortables sont non seulement plus performants, mais travailler avec un troupeau en santé, c’est toujours plus agréable.

Le programme VBP+ met un accent particulier sur la santé et le bien-être animal, avec des chapitres conçus par et pour des producteurs comme vous. Voici, entre autres, ce qu’il propose :

  • Consigner les traitements administrés aux animaux et entretenir une bonne relation avec son/ses vétérinaire(s)
  • Respecter le Code de pratiques pour le soin et la manipulation des bovins
  • Offrir un environnement propre et confortable
  • Fournir de la nourriture et de l’eau en bonne quantité et qualité
  • Mettre en place un protocole pour gérer les bovins vulnérables et savoir quand et comment procéder à l’euthanasie

Ce sont des gestes que vous accomplissez déjà au quotidien, alors pourquoi ne pas vous certifier et faire reconnaître votre bon travail?

Consulter la section 5 du manuel VBP+ ici

Source : PBQ

Rencontrez les vétérans de l’équipe VBP+ Québec

Pourquoi se certifier? C’est quoi les avantages?

Laissez nos vétérans vous en parler :

CLIQUEZ ICI

Source : PBQ

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Faites partie de l’équipe VBP+ en 2025 – Formation en ligne 10 décembre 2024

Lors de formations VBP+, nous avons demandé à des producteurs pourquoi ils souhaitent se certifier :

  1. Pour rassurer les consommateurs
  2. Pour aider mon vétérinaire à suivre la santé de mes animaux
  3. Pour me comparer au fil du temps
  4. Pour améliorer ma gestion
  5. Pour obtenir des indications si je suis malade

Et vous, pourquoi souhaitez-vous devenir une recrue VBP+?

Inscrivez-vous à notre webinaire VBP+ gratuit du 10 décembre prochain.

 

 

Source : PBQ

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BOUVILLON D’ABATTAGE

La demande des abattoirs et les signaux de qualité de l’écart Choice (AAA) – Select (AA)

L’industrie de la viande bovine maximise la valeur de celle-ci en fournissant les produits les plus recherchés par les consommateurs. Les catégories de qualité Choice (AAA au Canada) et Select (AA au Canada) du USDA ou de l’ACCB sont des indications du degré de persillage qui apporte la tendreté et le goût que les consommateurs apprécient davantage. Un élargissement de l’écart de prix offert pour les catégories Choice (AAA) et Select (AA) indique que les consommateurs sont prêts à payer plus cher le bœuf Choice (AAA) par rapport au bœuf Select (AA).

Les consommateurs peuvent remplacer les produits de bœuf Select (AA) par des produits de bœuf Choice (AAA) lorsque l’industrie offre trop de Select (AA) par rapport au Choice (AAA). Toutefois, il y a une perte de valeur pour l’industrie, car les consommateurs sont prêts à payer beaucoup moins pour des produits qui ont moins de valeur à leurs yeux.

L’écart de prix entre la catégorie Choice (AAA) et Select (AA) aide alors le secteur de l’industrie bovine à comprendre la demande ainsi que les signaux de marché afin de pouvoir bien répondre à la demande (voir le graphique Choice / Select Spread – USDA ici-bas qui représente la valorisation des Choice).

Source : https://cabcattle.com/cattlemen-will-continue-to-reap-quality-rewards-in-2023/

Bien que l’écart entre les prix des bovins Choice (AAA) et Select (AA) reflète la demande des abattoirs pour certains types de qualité de bovins, ces incitations ne sont pas toujours entièrement communiquées par le biais des signaux de prix, en fonction du système de tarification utilisé pour l’approvisionnement des bouvillons. En fixant le prix des bouvillons sur la base de prix « vivant » par exemple, il est difficile pour l’abattoir de cibler pleinement la qualité de l’animal recherché. Il peut en résulter un prix inférieur pour le producteur de bovins, car le conditionneur n’est pas certain de la qualité de la carcasse tant que l’animal n’a pas été abattu. D’autre part, un système de tarification par grille fournit des incitations plus fortes, par le biais de primes et de réductions dans la grille, pour que les producteurs produisent des bouvillons de haute qualité possédant les caractéristiques souhaitées par les consommateurs.

En résumé, la tarification par grille transfère au producteur un certain risque concernant la qualité de la carcasse et sa valeur, mais le producteur peut également être récompensé pour des bovins de meilleure qualité qui répondent à la demande des consommateurs. Il y a donc une plus-value disponible pour les producteurs et les abattoirs pour des bouvillons classés dans la catégorie Choice (AAA).

Sources : Oklahoma State University. J. Ross Pruitt – Assistant Professor and Livestock Market Economist at Louisiana State University Agricultural Center. Kellie Curry Raper -Associate Professor and Livestock Market Economist at Oklahoma State University. Derrell S. Peel – Professor and Livestock Market Economist at Oklahoma State University

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

Connaître les règles d’affaires et le compte à compte

Saviez-vous que la compréhension de certaines règles d’affaires de La Financière agricole du Québec peut faciliter vos décisions en lien avec la gestion de vos comptes, notamment avec le compte à compte?

 

 

Source: FADQ

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ASREC : importance de fournir vos rendements réels chaque année

L’assurance récolte (ASREC) permet de protéger vos cultures et de réduire les risques financiers de votre entreprise. C’est un outil de gestion des risques indispensable qui offre une protection adaptée à votre réalité.

Pour ce faire, il est important de fournir vos rendements réels chaque année. Ces derniers constituent les fondations qui serviront à établir le rendement probable le mieux adapté à votre situation.

 

 

Source: FADQ

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RPA : Formulaire de déclaration 2024 maintenant disponible

Si vous faites partie des entreprises agricoles qui sont inscrites à l’Initiative ministérielle de rétribution des pratiques agroenvironnementales (RPA), le formulaire de déclaration annuelle 2024 des superficies des pratiques appliquées est disponible dans votre dossier en ligne. Vous avez jusqu’au 15 décembre 2024 pour le remplir et nous le soumettre.

Rappelons que le gouvernement du Québec a élaboré la RPA pour encourager les efforts des entreprises agricoles qui mettent en place des pratiques agroenvironnementales qui vont au-delà des exigences réglementaires et qui génèrent des gains environnementaux importants.

 

 

Source: FADQ

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Conflit de travail chez Postes Canada

En raison du conflit de travail chez Postes Canada, la livraison des communications postales entre La Financière agricole et vous est affectée. Si vous êtes dans l’attente d’un chèque ou de tout autre document important de notre part, communiquez avec votre centre de services.

 

 

Source: FADQ

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Bilan ASREC : près de 40 M$ versés aux producteurs

La Financière agricole (FADQ) dépose son bilan sur l’état des cultures et des sommes versées dans le cadre du Programme d’assurance récolte (ASREC), en date du 19 novembre 2024.

La FADQ a versé près de 40 M$ à plus de 1 000 entreprises ayant subi des pertes indemnisables.

Somme toute, le bilan 2024 de l’assurance récolte traduit une belle saison de cultures.

 

 

Source: FADQ

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NOUVELLES DE L’ASSOCIATION CANADIENNE DES BOVINS

 

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NOUVELLES RÉGIONALES

CENTRE-DU-QUÉBEC

L’Expo-Bœuf 2024 : une opportunité de formation pour les producteurs et de valorisation de l’industrie

Les Producteurs de bovins du Centre-du-Québec ont invité leurs producteurs à participer à la 24e édition de l’Expo-Bœuf qui s’est déroulée du 11 au 13 octobre 2024 à Victoriaville. Cette exposition attire chaque année plusieurs centaines d’éleveurs du Québec, mais également de l’Ontario et des provinces maritimes. Plusieurs activités étaient à l’horaire, soit des ateliers, des jugements et des conférences. 

Les participants ont pu également assister à la Tournée bovine qui a eu lieu à la Ferme Leblanco de Saint-Léonard-d’Aston. Ils y ont découvert un modèle innovant de ferme, notamment en ce qui a trait à la gestion des pâturages, l’alimentation hors saison et les soins entourant la naissance des veaux.  

Durant la fin de semaine, les participants ont eu l’occasion d’assister au jugement des différentes races et de réseauter lors du souper des éleveurs. Les producteurs et productrices de la relève ont démontré leur savoir-faire et toute l’énergie qu’ils ont mis dans l’entraînement et la préparation de leurs animaux avant de les présenter aux juges. À la lumière du spectacle offert, l’avenir de l’industrie bovine est entre bonnes mains!

Source : Producteurs de bovins du Centre-du-Québec

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MAURICIE

Un souper-conférence instructif et convivial

Les Producteurs de bovins de la Mauricie ont organisé un souper-conférence sur le marché nord-américain de la viande bovine le 17 octobre dernier, au Domaine de Joriane à Saint-Narcisse. Plus de 30 personnes étaient présentes pour assister à la conférence d’Anaïs Gingras, agronome et agente à la mise en marché aux Producteurs de bovins du Québec. Il a notamment été question des causes de la hausse actuelle des prix et des conséquences pour les différents secteurs bovins. Les participants ont également profité d’un agréable 5 à 7 pour échanger entre eux et d’un succulent repas offert par le Domaine de Joriane.

Source : Les Producteurs de bovins de Mauricie

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