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INFOLETTRE
La Minute bovine – Janvier 2020
ACTUALITÉ :
- CALENDRIER DES ASSEMBLÉES GÉNÉRALES ANNUELLE RÉGIONALES 2020
- COUP D’ŒIL SUR LE BŒUF ET LE VEAU
- TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
- LA BALANCE COMMERCIALE CANADIENNE S’ACCROÎT POUR LE BŒUF, MAIS RECULE POUR LE VEAU
- NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION
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ACTUALITÉ :
LA BALANCE COMMERCIALE CANADIENNE S’ACCROÎT POUR LE BŒUF, MAIS RECULE POUR LE VEAU
Article publié dans l’édition du 15 janvier 2020 de La Terre de chez nous
Le Canada affiche une balance commerciale positive en ce qui a trait au commerce de la viande bovine (viande de bœuf et de veau). Globalement, les résultats de l’année 2019 s’annoncent encore meilleurs puisque les exportations de janvier à octobre sont en hausse de 13 % comparativement à l’année précédente, alors que les importations sont en baisse de 14 %. Toutefois, en ce qui a trait à la viande de veau en particulier, la balance commerciale a plutôt subi un recul en 2019 avec une baisse de 37 % des exportations contre un recul de 32 % des importations.
Source : Statistique Canada
Du côté des importations, on note en 2019 une baisse des volumes en provenance des États-Unis, tant pour la viande de veau que pour la viande de bœuf. Il en est de même pour l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui ont réorienté leurs exportations vers la Chine. Cependant, en ce qui concerne la viande de veau, les importations en provenance des Pays-Bas sont en hausse de 13 % et représentent 18 % du total des importations entre janvier et octobre 2019. Le Canada a exporté moins de viande de veau vers les États-Unis, alors que la viande de bœuf a connu une légère hausse. En ce qui a trait aux exportations canadiennes de viande de bœuf, celles-ci se sont particulièrement accrues au Japon et en Chine.
Sur le plan financier, pour la période de janvier à octobre 2019, en ce qui a trait au commerce de la viande de veau, les exportations s’élèvent à 20,7 M$ et les importations à 10,1 M$, pour une balance commerciale positive de 10,6 M$. Les ventes de viande bovine à l’étranger représentent 2,7 G$ pour cette même période et les importations s’élèvent à 1,0 G$ pour une balance commerciale positive de 1,7 G$.
Pour plus d’informations, consultez le coup d’œil sur les marchés.
Source : PBQ
TRANSPORT :
PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
Lors du congrès de l’Union des producteurs agricoles de décembre 2019, la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Mme Marie-Claude Bibeau, a annoncé un assouplissement temporaire dans l’application du Règlement sur la santé des animaux, Partie XII — Transport des animaux (le « Règlement »). Cette première annonce a été faite en réponse à une question du président des PBQ, M. Claude Viel. Les PBQ souhaitent transmettre à leurs producteurs les informations officielles à ce sujet provenant de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).
Dans une note informative transmise en janvier 2020, l’ACIA précise cette annonce et explique qu’il a été décidé que l’application du Règlement se ferait de manière progressive et ce, pour une durée de 2 ans. Cette période porte uniquement sur les nouveaux intervalles de temps sans accès aux aliments, à l’eau salubre et au repos.
Pour les autres exigences du Règlement, l’ACIA fait mention d’une mise en application graduelle sans période de temps définie.
Les PBQ poursuivent leurs démarches en vue d’obtenir des allègements et de s’assurer que l’ACIA respecte son engagement à aider l’industrie à se conformer à son nouveau Règlement en minimisant au maximum l’impact que cela peut avoir sur les producteurs de bœufs et de veaux.
Demandes des PBQ :
- De reporter, pour le secteur bovin, l’application de la Partie XII — Transport des animaux du Règlement tant que les études en cours ne seront pas terminées, et ce, afin de connaître l’impact réel du transport sur le bien-être des bovins;
- D’avoir une application uniforme du Règlement dans toutes les provinces canadiennes;
- De mettre en place rapidement un programme d’aide financière pour aider les intervenants concernés (producteurs, encans, transporteurs, lieux de rassemblement, etc.) à instaurer les modifications nécessaires pour se conformer au Règlement.
Pour plus de détails, consultez le site de l’ACIA.
Source : PBQ
NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION :
LA CCA SALUE LE PROGRÈS RÉALISÉ AUPRÈS DE L’ACÉUM ET ENCOURAGE SA RATIFICATION
La Canadian Cattlemen’s Association (CCA) préconise depuis longtemps le libre-échange, l’ouverture des marchés et l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACÉUM) au bénéfice du développement de marchés pour la viande bovine. La CCA félicite les gouvernements du Canada, du Mexique et des États-Unis pour la conclusion de cette entente sur l’ACÉUM et encourage sa prompte ratification.
Sous l’ACÉUM comme sous son prédécesseur, l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), les industries bovines canadienne, étasunienne et mexicaine jouissent d’un commerce hors-taxes réciproque. La conservation de cet accès aux marchés était une grande priorité pour la CCA durant toute la durée du processus de renégociation.
L’impact de l’ALÉNA sur les industries bovines nord-américaines témoigne de l’importance des accords commerciaux. L’accès aux marchés internationaux, incluant le marché nord-américain, signifie que chaque animal vaut, en moyenne, 600 dollars canadiens de plus qu’il n’en vaudrait si les ventes avaient lieu uniquement sur le marché intérieur.
« L’ACÉUM permet aux producteurs de bovins provenant des trois pays de continuer à croître et à prospérer », déclare David Haywood Farmer, président de la CCA. « Avoir l’opportunité de vendre nos produits sur des marchés qui sont prêts à payer pour est essentiel pour la santé économique des agriculteurs et des éleveurs canadiens, étasuniens et mexicains. »
Les producteurs de bovins provenant des trois pays ont travaillé ensemble afin de démontrer la valeur de ce commerce aux représentants élus durant le processus de renégociation. La relation commerciale Canada–États-Unis est l’une des plus importantes au monde et celle-ci apporte de nombreux avantages pour l’industrie.
La CCA continue d’encourager le gouvernement du Canada à agir pour la tenue rapide de la ratification et pour la continuité de la coopération réglementaire entre les pays qui permet de renforcer la valeur du commerce et le marché nord-américain.
Source : CCA
LA CCA SE JOINT À LA MISSION COMMERCIALE DE L’INDUSTRIE DE LA VIANDE EN CHINE
Des représentants de la CCA, du Conseil des viandes du Canada (CVC), du Conseil canadien du porc (CCP) et de diverses entreprises privées d’importation de viande se sont récemment rendus en Chine afin d’y rencontrer des responsables des douanes et de la sécurité des aliments. L’objectif de cette rencontre était d’aborder les préoccupations concernant la conformité des exportations de viande canadienne aux exigences documentaires chinoises et de discuter des futures actions afin d’éviter la récurrence des erreurs passées et de prévenir de nouvelles perturbations commerciales. Le groupe de représentants a également rencontré quelques importateurs chinois de bœuf et de porc ainsi que des fournisseurs de service en dédouanement et en processus logistiques.
Quelques thèmes principaux ont meublé les conversations. Premièrement, le bœuf et le porc canadiens ont une excellente réputation comme viandes de haute qualité sur le marché chinois. Cette réputation demeure intacte auprès des consommateurs de ce pays et ce, malgré la problématique documentaire soulevée par les responsables chinois. Également, les importateurs désirent reprendre l’achat de viandes de bœuf et de porc canadiennes. Deuxièmement, les représentants sont soucieux de voir une meilleure conformité de la part du Canada et souhaitent la reprise du commerce. Enfin, et peut-être plus important encore, les responsables, les importateurs de viande canadienne et les représentants du secteur ont tous le même désir : faire preuve de leur constant dévouement au marché chinois en étant présents plus régulièrement. Cette implication suggère qu’une communication plus régulière permettrait de discuter et de rectifier toute préoccupation se présentant sans avoir recours à un arrêt du commerce.
Il y a dix ans, le Canada n’exportait aucune viande de bœuf en Chine. Depuis le début des exportations en 2012, elles ont connu une croissance constante jusqu’à devenir le 5e plus important marché d’exportation en 2017 et en 2018. Sans la suspension du commerce du mois de juin, la Chine aurait possiblement atteint la deuxième place à égalité avec le Japon en 2019. Avec une moyenne de 8,58 $ par kilo, la Chine suit de près l’Union européenne et Hong Kong pour ce qui est de la valeur par kilo de viande de bœuf exportée. La Chine représente un marché important pour les producteurs de bovins et les exportateurs de viande de bœuf du Canada et, comme démontré lors de cette rencontre, son importance ne peut que grandir.
Le défi est toutefois que les producteurs canadiens puissent compter sur un accès prévisible et continu au marché de la Chine, d’où l’importance de la recommandation, résultat des récentes discussions, concernant un contact constant et régulier. La CCA collaborera avec ses collègues et partenaires du Canadian Meat Council (CMC) et du Canadian Pork Council (CPC) afin d’élaborer une stratégie visant l’engagement soutenu pour le marché chinois pour s’assurer que nous soyons bien placés pour répondre aux besoins présents et à venir de ces importants consommateurs.
Source : CCA
DES ADMINISTRATEURS DE LA CCA À OTTAWA
Du 9 au 11 décembre 2019, des administrateurs de la CCA étaient présents à Ottawa afin d’y rencontrer des parlementaires. Une réception des Fêtes fut tenue sur la colline parlementaire afin de souligner la formation du 43e Parlement avec des membres du Parlement et des sénateurs. Les administrateurs ont eu l’occasion de discuter des possibilités et des défis actuels rencontrés par les producteurs de bovins, incluant le commerce, la capacité d’emballage dans l’Est, la durabilité, la gestion du risque d’entreprise et la main-d’œuvre.
L-R Doug Sawyer, David Haywood-Farmer, président de la CCA, Cathy Sharp et Bob Lowe, vice-président de la CCA, devant le Parlement lors de récentes réunions.
Source : CCA
LA TRCBD PUBLIE SON RAPPORT ANNUEL 2019
La Table ronde canadienne sur le bœuf durable (TRCBD) a publié son rapport annuel, mettant de l’avant les principales réalisations de la dernière année. Lancée en 2018, la TRCBD a développé le premier programme de certification fondé sur les résultats pour le bœuf durable au monde, et son taux d’adhésion est en constante croissance. « Nous sommes très heureux de constater une telle croissance du taux d’adhésion au programme de certification dans le courant de la dernière année, avec une augmentation de 45 % en volume de bœuf acheté par le biais du programme et une hausse de 16 % du nombre de fermes et d’entreprises certifiées dans les six derniers mois », déclare Anne Wasko, présidente de la TRCBD et productrice de Eastend en Saskatchewan. « Cela démontre qu’il y a une demande pour ce type de programme et nous espérons que les Canadiens sont fiers du rôle de leader que nous prenons en travaillant tous ensemble et en nous engageant envers la transparence et l’amélioration continue. »
L’adoption de cette vision a dépassé toutes nos attentes. McDonald’s a été la première entreprise à lancer son programme veillant à l’approvisionnement d’une portion du volume de bœuf utilisé dans sa gamme de hamburgers Angus (août 2018), suivie en juin 2019 par Harvey’s et son burger Original. Les deux entreprises démontrent leur soutien envers la production de bœuf durable au Canada en utilisant la Mass Balance Certification Mark afin de mettre en marché une portion de leur bœuf provenant d’entreprises certifiées durables. En date du 31 juillet 2019, il y a deux transformateurs certifiés qui sont en conformité avec les normes de la TRCBD en transformation de bœuf durable, soit Cargill dans l’Ouest et Atlantic Beef Products Inc. dans l’Est. De plus, trois autres transformateurs sont présentement en processus d’audit afin de se conformer aux exigences de la chaîne de valeur de la TRCBD, permettant de suivre le bétail lors des différentes étapes de la chaîne d’approvisionnement. L’adoption rapide de cette vision par les transformateurs et autres fournisseurs de la chaîne d’approvisionnement lance un signal clair de la part du marché aux producteurs concernant la demande réelle pour du bœuf élevé selon les normes de durabilité établies par la TRCBD. Une demande très importante est l’augmentation de la capacité de production des entreprises de veaux d’embouche certifiées qui vendent à d’autres entreprises certifiées de la chaîne d’approvisionnement.
Si vous êtes intéressés et souhaitez certifier votre entreprise, contactez l’un des organismes de certification. Si votre entreprise est déjà auditée et certifiée VBP+, elle est automatiquement conforme aux normes de la TRCBD :
Nous vous invitons à consulter le nouveau site Web crsbcertified.ca afin de répondre à toutes vos questions concernant, notamment, les normes et le nouveau guide d’interprétation qui pourra vous guider dans la mise en place des normes et qui vous permettra de mieux comprendre les points évalués lors des audits de certification.
L’organisation a également fait le lancement d’un inventaire en ligne de tous les projets de durabilité. En partenariat avec MultiSAR, la société albertaine Cows and Fish, les associations de producteurs de bovins (Alberta Beef Producers et la CCA) et le Partenariat relatif aux espèces en péril présentes sur les terres agricoles, elle a travaillé en collaboration avec 17 entreprises et a mis en œuvre l’amélioration de 32 habitats représentant 189 000 acres dans la région naturelle des prairies de l’Alberta. Cette amélioration est possible grâce au généreux financement d’Environnement et Changement climatique Canada. « Tous ces projets sont menés par des producteurs et mettent en lumière les bienfaits des programmes d’intendance collaborative basés sur le savoir local et sur les effets positifs de ces derniers sur la biodiversité et l’habitat faunique » déclare Brad Downey, biologiste de l’Alberta Conservation Association, l’une des organisations partenaires de MultiSAR.
Vous pouvez également visionner le rapport intermédiaire de la National Beef Sustainability Strategy, qui sera publié au début de 2020. Ce rapport fait un retour sur le progrès fait pour chacun des 10 buts de la stratégie depuis 2016 et identifie les possibles pistes d’amélioration. L’évaluation exhaustive de la TRCBD sera effectuée en 2023.
Cliquer ici pour consulter le communiqué complet et le Rapport annuel.
Source : CCA
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BOUVILLON :
DÉCLARATION DE PRIX
Depuis septembre 2019, les producteurs de bouvillons d’abattage ayant conclu une vente peuvent demander leurs numéros d’autorisation et déclarer leurs prix jusqu’à un mois avant la date de chargement prévue. Quotidiennement, l’agence de vente des bouvillons d’abattage compile et publie anonymement (sans aucune référence aux producteurs déclarants ou aux acheteurs) la moyenne des prix déclarés. Ces informations seront disponibles sur l’extranet dans l’onglet « Information sur les marchés » selon le format ci-dessous :
Cette initiative vise à outiller les producteurs dans le cadre de leurs négociations avec les acheteurs.
Source : PBQ
À LIRE : TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
LISTE DES MÉDICAMENTS AUTORISÉS DANS L’INDUSTRIE BOVINE ENTRE LE CANADA ET LES ÉTATS-UNIS
Une proportion importante de la production bovine québécoise (vaches et veaux) est commercialisée aux États-Unis. Il importe donc de veiller au respect des homologations et des délais de retrait avant l’abattage en vigueur au Canada et aux États-Unis pour l’administration des médicaments dans la filière.
Récemment, des producteurs de bovins du Québec ont reçu un avertissement de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) par rapport à des traces de médicaments dans leurs animaux. Afin de s’assurer de bien outiller ses producteurs, le Comité de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers redoublera les efforts visant à mieux les informer au sujet des homologations et des périodes de retrait nécessaires avant la mise en marché d’un animal.
Une étude comparative des médicaments homologués et de leurs délais de retrait respectifs entre les deux pays a été réalisée par le Dr Paul Baillargeon. Les résultats de l’étude seront diffusés aux vétérinaires praticiens par le biais d’un webinaire prévu à l’hiver 2020. Des articles sont aussi à paraître dans les éditions des revues « Le Praticien » de l’AMVPQ et « Le Producteur de lait » des Producteurs de lait du Québec. Enfin, un cahier à l’usage des intervenants et des producteurs de bovins de réforme et de veaux laitiers sera publié au printemps et transmis à ces derniers.
Le cahier d’informations regroupera de manière claire et succincte les modes d’administration recommandés pour les médicaments listés ainsi que les utilisations autorisées et les délais d’attente avant l’abattage selon les homologations au Canada et aux États-Unis.
Source : PBQ
À LIRE : TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
VEAU DE GRAIN :
NOUVEAU COÛT DE PRODUCTION DES VEAUX DE GRAIN
Le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA) a finalisé le processus de mise à jour du coût de production des veaux de grain. Au total, 31 fermes de veaux de grain ont été retenues pour établir le nouveau modèle de coûts de production. Les données technico-économiques recueillies portaient sur l’année 2018. Le nouveau modèle sera indexé et appliqué à compter de 2020.
Les PBQ invitent les producteurs à consulter le site du CECPA (www.cecpa.qc.ca) pour les résultats détaillés de l’étude de coûts de production.
Le nouveau modèle veaux de grain entraînera une augmentation de la couverture d’assurance d’environ 2,86 $/veau de grain.
Consulter le sommaire du CECPA.
Source : PBQ
PROJET « RÉVISION DES INDICATEURS DE QUALITÉ D’UNE CARCASSE DE VEAU »
Le projet « Révision des indicateurs de qualité d’une carcasse de veau » a été déposé le 5 septembre 2019 au Programme de développement sectoriel (PDS) du MAPAQ. Le projet a été identifié comme étant prioritaire pour la filière veau dans le cadre de son Plan stratégique 2020-2024. Il a été accepté au PDS en novembre 2019 et sera réalisé en partenariat avec le Centre du développement du porc du Québec (CDPQ). Le CDPQ a déjà réalisé une étude similaire pour le porc. Les objectifs du projet visent, entre autres, à établir les besoins et les priorités des acheteurs de veau quant aux critères importants de qualité d’une carcasse. Chacun des acheteurs sera rencontré et devra répondre à un sondage développé par le CDPQ et validé par un comité réunissant des acteurs importants du secteur. De plus, le CDPQ rédigera une revue de littérature visant à répertorier les différentes techniques et technologies disponibles actuellement ou en développement de classement de la viande qui pourrait être applicable au secteur veau. Le rapport final sera déposé au MAPAQ en octobre 2020 et les résultats pourraient servir de base à une refonte du système de classement des veaux.
Source : PBQ
À LIRE : TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
VEAU DE LAIT :
JOURNÉES DE FORMATION « VEAU VÉRIFIÉ » (SANS FRAIS)
Dans le cadre de l’adoption du programme de qualité « Veau vérifié » et de la restitution des résultats du projet d’accompagnement stratégique de la Financière agricole du Québec (FADQ), les productrices et producteurs de veaux de lait et tous les intervenants du secteur sont conviés à une journée de formation. Cette formation vise à :
- Former les productrices et les producteurs sur les exigences du programme Veau vérifié;
- Informer les productrices et les producteurs des résultats de l’analyse comparative Québec–Pays-Bas et discuter des avenues de solutions pour mieux faire face à la concurrence étrangère;
- Former les productrices et les producteurs indépendants sur un outil simplifié de calcul du coût de revient et des marges en production de veaux de lait.
Prendre note que nous recommandons aux participants d’apporter un ordinateur portable pour faciliter l’apprentissage et l’adoption de l’outil.
La formation aura lieu aux dates, lieux et heures ci-dessous :
- Jeudi 23 janvier 2020, de 9 h 30 à 15 h : Hôtel Holiday Inn Express & Suites, 1500, rue Johnson Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 8W5
- Vendredi 24 janvier 2020, de 9 h 30 à 15 h : Centre de congrès et d’expositions de Lévis, 5750, rue J.-B.-Michaud, Lévis (Québec) G6V 0B2
Vous devez vous inscrire à l’une des deux journées seulement et respecter la date choisie lors de l’inscription. Le contenu de la formation sera le même pour les deux journées.
Procédures d’inscription
En ligne au lien suivant : https://fr.surveymonkey.com/r/GQ83QRS
Par courriel : emethotduquette@upa.qc.ca (n’oubliez pas de préciser la ville choisie)
Par téléphone : 450 679-0450, poste 8721
Il n’y a pas de frais pour assister à cette formation. Un dîner sera inclus pour les personnes inscrites avant le 15 janvier.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec Mme Élise Méthot-Duquette au 450 679-0450, poste 8721.
Source : PBQ
À LIRE : TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
VEAU D’EMBOUCHE :
SAVIEZ-VOUS QUE VOUS POUVEZ CONNAÎTRE LES RÉSULTATS D’ABATTAGE DES VEAUX D’EMBOUCHE QUE VOUS AVEZ COMMERCIALISÉS?
L’extranet veau d’embouche se trouve sur le site des Producteurs de bovins du Québec. Cet accès permet aux producteurs de veaux d’embouche d’évaluer la productivité et la qualité générale de leur troupeau quant aux performances à l’engraissement et à la qualité de la carcasse.
Pour voir les résultats d’abattage de vos veaux d’embouche : 
- Le bouvillon doit être mis en marché par un producteur québécois;
- Le producteur de bouvillons doit avoir mis en marché plus de dix têtes par année ou doit avoir adhéré à l’assurance stabilisation;
- Le bovin doit avoir été abattu;
- La date de vente de votre veau aux encans spécialisés doit précéder la date d’abattage;
- Le gain moyen quotidien entre le moment de la vente et l’abattage doit se situer entre 1,5 lb et 4,5 lb;
- Le numéro d’identifiant du veau ne doit pas avoir fait partie d’une transaction en erreur à La Financière agricole du Québec lors de l’entrée du veau en parc d’engraissement.
Pour avoir un accès à l’extranet veau d’embouche, vous devez remplir le formulaire suivant et le retourner à l’adresse suivante : lplouffe@upa.qc.ca.
Source : PBQ
À LIRE : TRANSPORT : PÉRIODE DE TRANSITION ANNONCÉE DANS L’APPLICATION DU NOUVEAU RÈGLEMENT
NOUVELLES RÉGIONALES :
BAS-SAINT-LAURENT :
JOURNÉE LAITIÈRE, BOVINE ET OVINE 2020 AU BAS-SAINT-LAURENT
Les producteurs de bovins sont invités à participer aux Journées laitières, bovines et ovines qui auront lieu le mercredi 5 février 2020 à l’hôtel Universel de Rivière-du-Loup et le jeudi 6 février 2020 à l’hôtel Rimouski à compter de 9 h. Les conférenciers cette année sont :
- M. Jean-François Caron, motivateur;
- M. Louis Robert, agr., qui abordera les participants sur la question de la réduction des pesticides afin d’améliorer la santé des sols;
- Mme Stéphanie Jalbert, agr., qui présentera « Focus Bœuf – des décisions rentables »;
- M. Guillaume Barrette, copropriétaire de la ferme Barrette et frères SENC de Saint-Edmond-les-Plaines, gagnant au 1er rang régional bronze du concours de l’Ordre national du mérite agricole 2019, qui livrera un témoignage.
Les inscriptions doivent se faire avant le vendredi 24 janvier 2020 afin de se prévaloir du tarif préférentiel :
- Producteurs : 50 $
- Intervenants : 65 $
- Étudiants : 40 $
Pour vous inscrire, suivez le lien suivant afin de vous inscrire en ligne ou veuillez remplir le coupon-réponse inclus dans l’invitation suivante et l’envoyer par la poste à l’adresse indiquée.
Ce rendez-vous annuel est un incontournable dans la région. Profitez-en afin de perfectionner vos connaissances et d’y rencontrer des gens passionnés comme vous!
Pour toute information, veuillez contacter Mme Marie-Carmen Dumont par courriel au info@tcbbsl.org ou par téléphone au 418-723-1939, poste 4610.
Événement : Journée laitière, bovine et ovine 2020 au Bas-Saint-Laurent
Dates et heure : Les 5 et 6 février 2020, dès 9 h
Lieu : L’Hôtel Universel à Rivière-du-Loup et l’Hôtel Rimouski à Rimouski
Frais : Voir ci-dessus pour les tarifs en préinscription
Sources : Syndicat des Producteurs de bovins du Bas-Saint-Laurent
CENTRE-DU-QUÉBEC :
INVITATION AU SOUPER FESTIF
Le 24 janvier 2020 se tiendra le Souper festif à compter de 18 h à l’Espace Sophia de Sainte-Sophie-d’Halifax.
Le souper gastronomique sera animé par M. Pierre Rhéaume. Mme Isabelle Marquis, consultante en marketing alimentaire et santé, y présentera également sa conférence « Grandes tendances actuelles : entre praticité, plaisir, santé…et prise de conscience ».
Vous pouvez vous procurer des billets auprès des membres du conseil d’administration des Producteurs de bovins du Centre-du-Québec ou en communiquant avec Mme France Trudel au 819 519-5838, poste 166.
Événement : Souper festif
Date et heure : Le 24 janvier 2020, dès 18 h
Lieu : L’Espace Sophia de Sainte-Sophie-d’Halifax
Frais : 20 $ par personne
Sources : Les Producteurs de bovins du Centre-du-Québec
ESTRIE :
SOIRÉE BOVINE
Le 7 février 2020 se tiendra la Soirée bovine à compter de 17 h à la salle Guy-Veilleux au 75, rue Castonguay, à Cookshire-Eaton. La programmation inclut notamment des conférences sur la certification VBP+, l’agriculture durable, les oligoéléments et la nouvelle réglementation sur le transport.
Les tarifs sont les suivants :
- Jusqu’au 3 février (en préinscription) : 40 $ pour les producteurs agricoles, 45 $ pour les intervenants et 35 $ pour les étudiants.
- Après le 3 février : 60 $ pour les producteurs agricoles, 65 $ pour les intervenants et 55 $ pour les étudiants.
- Ces prix comprennent les taxes et le souper, mais ne comprennent pas les frais du site de vente de billets.
Pour vous inscrire, suivez le lien suivant afin de vous inscrire en ligne ou veuillez remplir le coupon-réponse inclus dans l’invitation suivante et l’envoyer par la poste à l’adresse indiquée.
Pour toute information, veuillez contacter Mme Marie-Ange Therrien au le 819 820-3001, poste 4364 ou par courriel : marie-ange.therrien@mapaq.gouv.qc.ca.
Événement : Soirée bovine
Date et heure : Le 7 février 2020, dès 17h
Lieu : Salle Guy-Veilleux à Cookshire-Eaton
Frais : voir ci-dessus
Sources : Les Producteurs de bovins de l’Estrie
LANAUDIÈRE ET MAURICIE :
INVITATION À LA SOIRÉE BOVINE DE LA MAURICIE ET DE LANAUDIÈRE (SANS FRAIS EN PRÉINSCRIPTION)
La Soirée bovine de la Mauricie et de Lanaudière aura lieu le mercredi 29 janvier 2020 à La Porte de la Mauricie de Yamachiche à compter de 18 h 30. La programmation inclut notamment des conférences portant sur les normes de bien-être (réglementation, bien-être animal et environnement, surface par tête) et l’efficacité des installations d’élevage.
La soirée est offerte gratuitement en préinscription. Le coût d’entrée sur place est de 10 $ par personne.
Pour vous inscrire, suivez le lien suivant afin de vous inscrire en ligne ou veuillez remplir le coupon-réponse inclus dans l’invitation suivante et l’envoyer par la poste à l’adresse indiquée.
Pour toute information, veuillez composer le 819 293-8501, poste 4407, et, en cas de tempête, le 819 293-8501, poste 4499.
Événement : Soirée bovine de la Mauricie et de Lanaudière
Date et heure : Le 29 janvier 2020, dès 18 h 30
Lieu : La Porte de la Mauricie à Yamachiche
Frais : Inscription gratuite en préinscription et 10 $ sur place
Sources : Les Producteurs de bovins du Centre-du-Québec et Les Producteurs de bovins de Lanaudière