INFOLETTRE
La Minute bovine : novembre 2021

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COUP D’OEIL SUR LES MARCHÉS DU BOEUF ET DU VEAU

 

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BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

 

ACTUALITÉS

 

Le ministre Lamontagne confirme sa présence au Colloque de l’industrie bovine québécoise

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, M. André Lamontagne, a accepté l’invitation des PBQ à participer au premier Colloque de l’industrie bovine québécoise (CIBQ). M. Lamontagne s’entretiendra avec les participants en début d’événement.

Rappelons que le CIBQ est une invitation à tous les producteurs de bœufs et de veaux du Québec ainsi qu’aux transformateurs et principaux partenaires de l’industrie.

 

Source : PBQ

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Rencontre régulière MAPAQ-PBQ

Lors d’une récente rencontre entre les PBQ, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) et le cabinet du ministre Lamontagne, il a été décidé d’instaurer des rencontres entre les PBQ et le MAPAQ sur une base régulière. Dans le cadre de celles-ci, le sous-ministériat ou le bureau du ministre Lamontagne pourrait être représenté au besoin.

Le développement des filières bœuf et veau sera au cœur des discussions. Certains aspects du secteur bovin, ses avenues de développement et des problématiques qui préoccupent les producteurs pourront être abordés (ex. : règlementation sur le bien-être animal, adaptation des programmes d’aide, etc.). Nous espérons un dialogue constructif qui se concrétisera, entre autres, grâce à une écoute réciproque. Les PBQ accueillent positivement cette approche. La première rencontre se tiendra cette semaine.

Source : PBQ

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Le bœuf et les œufs de chez nous en vedette chez Tim Hortons

C’est avec une grande fierté que Canada Beef et la Fédération des producteurs d’œufs du Québec, en collaboration avec les PBQ, présentent cette nouvelle publicité réalisée par Tim Hortons. On y retrouve à l’écran la productrice d’œufs de Chaudière-Appalaches, Mme Joanne LaBranche, ainsi que le producteur de bovins de boucherie de la région de l’Estrie, M. Jean-Sébastien Bouffard.

Une belle publicité qui réussit à mettre à l’avant-plan le travail des producteurs d’ici!

Source : PBQ

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Troisième période d’inscription de l’Initiative ministérielle Action-prévention agroalimentaire (IMAPA)

La troisième période d’inscription de l’Initiative ministérielle Action-prévention agroalimentaire (IMAPA) est en cours pour les volets 1, 2 et 3.

Ce programme d’aide financière est destiné aux entreprises agroalimentaires.

Pour s’inscrire au volet 3, les entreprises doivent soumettre un projet correspondant à l’un de ces thèmes :

  • Gestion des antibiotiques
  • Salubrité des aliments
  • Biosécurité
  • Mesures d’urgence

Date limite d’inscription pour les volets 1, 2 et 3 : 1er décembre

Aide financière : elle couvre de 60 % à 75 % des dépenses admissibles.

Pour votre information, les éleveurs de chevaux et d’animaux de compagnie ne sont pas admissibles à cette Initiative.

L’adresse raccourcie de la page Web est : Québec.ca/action-prevention-agroalimentaire

Si vous avez des questions, concernant cette Initiative vous pouvez les faire parvenir à imapa@mapaq.gouv.qc.ca.

Source : MAPAQ

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Des formations adaptées à l’agriculture

Les Collectifs régionaux en formation agricole en collaboration avec les maisons d’enseignement agricole proposent des formations de courte durée dont le contenu, l’horaire et les lieux sont adaptés à la réalité des productrices et des producteurs agricoles et de leurs travailleurs. Le détail des formations est installé sur le portail U+ uplus.upa.qc.ca. Le site compte près de 400 formations dont plus de 140 sont proposées en ligne. Les Collectifs peuvent également écouter et valider les nouveaux besoins de formation, n’hésitez pas à contacter la répondante en formation agricole de votre région. Vous trouverez leurs coordonnées à l’adresse suivante : https://uplus.upa.qc.ca/les-collectifs/

Source : UPA

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Anaïs Gingras, secrétaire des comités de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers et des veaux d’embouche

Mme Anaïs Gingras, agente à la mise en marché, assura la fonction de secrétaire des comités de mise en marché pour les secteurs bovin de réforme et veau laitier ainsi que veau d’embouche pendant le congé de maternité de Mme Laurie Noiseux. Elle prend ainsi le relais de M. Jean-Philippe Blouin qui a quitté les PBQ pour de nouveaux horizons.

Source : PBQ

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Rappel sur la hausse de la contribution spéciale pour la recherche et développement

Suivant son adoption lors de l’assemblée générale annuelle des producteurs de bovins du Québec 2020, la contribution spéciale pour la recherche et développement sera de :

  • 0,30 $ par veau laitier mis en marché à compter du 1er janvier 2022;
  • 1,10 $ par bovin de réforme mis en marché à compter du 1er janvier 2022.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Diagnostic et actions pour dynamiser le secteur veaux lourds

Au Québec, les entreprises québécoises de la filière veau évoluent dans un environnement hautement concurrentiel et doivent composer avec des importations de viande de veau en provenance d’Europe et d’Océanie dont l’importance est mal connue. En plus de la concurrence, l’augmentation du coût des aliments (poudre de lait ou équivalent et grains) fragilise la rentabilité des deux secteurs.

Pour assurer la pérennité des entreprises existantes et attirer la relève, il apparaît nécessaire de connaître toutes les dynamiques du marché en présence pour dresser des constats et développer des stratégies de filière adéquates pour relever les défis de l’après-pandémie.

Les PBQ ont demandé un appui au Programme de développement sectoriel pour notamment réaliser un diagnostic du secteur veau lourd, actualiser l’importance des importations et ses effets sur nos marchés, mieux connaître l’environnement d’affaires pour déceler des perspectives de développement, identifier des stratégies de développement pour chacun des secteurs et favoriser l’établissement d’une relève.

Le projet d’une durée de six mois doit débuter en janvier prochain. Il répond à plusieurs objectifs du plan de développement stratégique dont celui portant sur le développement des marchés et qui consiste à évaluer les potentiels d’opportunités des marchés afin de rester compétitif, réaliser une évaluation des tendances de consommation, continuer à travailler avec le Groupe de travail sur la compétitivité du veau à l’échelle canadienne et celui favorisant l’établissement d’une relève dans des conditions favorables.

Source : PBQ

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NouVeau en promo!

La nouvelle section Producteurs a été mise en ligne sur le site Web du Veau du Québec https://www.veauduquebec.com/producteurs/. On y trouve des portraits de producteurs et de leur famille ainsi que l’histoire de leur ferme. C’est une bonne façon de rapprocher le produit du consommateur et de lui faire comprendre que lorsqu’il achète du veau du Québec, il encourage une famille d’ici. De plus, cette section permet de faire la promotion des produits vendus à la ferme.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

Visite de l’entreprise « À L’HERBE! Bouvillons de pâturage »

Le 13 octobre dernier, Dominique Dumas a fait visiter son entreprise de bouvillons engraissés à l’herbe à un groupe d’étudiants de l’Université Laval et de producteurs. Notre équipe a pu profiter du moment pour lui poser quelques questions.

La mission de l’entreprise « À l’HERBE » est d’offrir aux familles une source annuelle de viande saine et savoureuse dans le plus grand respect de l’animal et de l’environnement. L’agriculture régénérative est donc au cœur de ses préoccupations.

Dans l’atteinte de ses objectifs, la régie intensive des pâturages est un incontournable et sera le principal sujet de cette vidéo. Sa méthode se distingue des autres entreprises de par les multiples changements de parcelles effectués quotidiennement. Les propriétaires optimisent ainsi les performances de leurs pâturages et de leurs bouvillons en engraissement, tout en ayant un impact positif sur l’environnement.

Source : PATBQ

À LIRE : Anaïs Gingras, secrétaire des comités de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers et des veaux d’embouche

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BOUVILLON

Orientation du secteur BOUVILLON

La lutte contre la forte décroissance dans le secteur bouvillon est au cœur des travaux du comité de mise en marché des bouvillons d’abattage (CMMBA) et du comité de négociation bouvillon d’abattage (CNBA). En vue d’améliorer la rentabilité et d’assurer la pérennité des fermes de bouvillons, le CMMBA a mandaté le CNBA pour réaliser trois priorités dans des délais de 6, 12 et 18 mois.

Le CNBA accomplira son mandat selon les étapes et délais suivants :

Première étape

  • Étudier la faisabilité de différentes options de mise en marché collective des bouvillons;
  • Présenter au CMMBA les résultats de son analyse et ses recommandations pour réorganiser collectivement la mise en marché.

L’option retenue devra faire l’objet d’une approbation par consensus du CMMBA avant d’être intégrée au plan de mise en œuvre.

Seconde étape

  • Proposer au CMMBA un plan de mise en œuvre des trois priorités suivantes pour le secteur bouvillon :
  • Amélioration du levier de négociation des producteurs par l’entremise d’une mise en marché collective des bouvillons à l’agence de vente des bouvillons (dans un délai de six mois);
  • Promotion du bœuf issu des bouvillons produits au Québec par la mise en place d’un plan appuyant les actions des partenaires de la filière (dans un délai de 12 mois);
  • Concertation entre les acteurs de la filière bœuf pour des activités de mise en marché communes visant à améliorer la part de bénéfice du producteur issue de la vente d’un bovin (dans un délai de 18 mois).

Suivant son approbation par le CMMBA, le plan de mise en œuvre sera présenté pour consultation à l’assemblée générale annuelle des producteurs visés par le Plan conjoint des producteurs de bovins du Québec.

Source : PBQ

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

Plus de 28 M$ versés aux producteurs de foin dans le cadre du Programme d’assurance récolte

La Financière agricole du Québec annonce qu’elle versera un premier paiement de plus de 28 millions de dollars à plus de 3 860 producteurs de foin et de pâturages dans le cadre du Programme d’assurance récolte. Ce paiement porte sur les dommages causés par :

  • le gel hivernal de l’hiver 2020-2021;
  • le manque de pluie des deux premières fauches et périodes de pâturages;
  • l’excès de pluie lors des deux premières fauches.

Ce versement fournira des liquidités supplémentaires aux adhérents dont les récoltes ont été affectées pour leur permettre de poursuivre leurs activités.

Notez que ce premier paiement ne constitue pas le règlement final et d’autres analyses sont en cours, notamment pour la troisième et quatrième fauche.

Faits saillants

  • La survie à l’hiver 2020-2021 des plantes fourragères a été généralement bonne en raison des températures hivernales un peu plus douces que la normale pour la majorité des régions
  • Le début de saison a été caractérisé par un printemps hâtif dans plusieurs secteurs
  • Le manque de précipitations a été important durant les mois de mai et août
    • Le manque de précipitations survenu en mai a affecté la première fauche dans plusieurs régions du Québec
    • La seconde période de croissance a été généralement favorable pour les producteurs effectuant trois ou quatre fauches
  • Pour la clientèle effectuant deux fauches, le manque de pluie durant le mois d’août a affecté grandement la deuxième fauche

Vous désirez approfondir votre compréhension de la protection d’assurance récolte Foin et pâturages? Visionnez notre webinaire.

Pour nous contacter : 1 800 749-3646  I  www.fadq.qc.ca

Source : FADQ

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Agri-relance : plus de 21 M$ versés aux producteurs de porcs, de bovins et de grands gibiers

Initiative Canada-Québec d’aide aux éleveurs pour atténuer l’impact de la COVID-19

La Financière agricole du Québec (FADQ) a versé près de 21,1 M$ à 577 producteurs de porcs, de bovins et de grands gibiers pour compenser une partie des dépenses supplémentaires engagées pour le maintien des animaux en surplus dans les élevages en raison de la COVID-19. Cette somme provient de l’Initiative Canada‑Québec d’aide aux éleveurs pour atténuer l’impact de la COVID-19 annoncée par les gouvernements du Canada et du Québec le 15 avril 2021. La mise en place de l’Initiative Canada-Québec d’aide aux éleveurs s’inscrit dans les objectifs de la Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde.

Administrée par la FADQ, cette initiative vise à soutenir les entreprises qui avaient engagé des sommes exceptionnelles pour le maintien des animaux en surplus dans les élevages durant les périodes visées. Un paiement final de 12,6 M$ sera versé au secteur porcin, portant le montant de l’aide à près de 20,5 M$ pour ce secteur. Les producteurs de bovins et de grands gibiers, quant à eux, ont reçu 546 944 $ et 112 294 $, respectivement.

 

Faits saillants de l’Initiative Canada-Québec d’aide aux éleveurs 

  • Initiative partagée entre les deux gouvernements :
  • gouvernement du Canada : injection de 13,086 M$, soit 60 % du coût total
  • gouvernement du Québec : contribution de 8,724 M$, soit 40 % du coût total
  • Entreprises admissibles : les éleveurs de porcs d’engraissement, de bouvillons d’abattage, de grands gibiers, dont les cerfs rouges, les wapitis, les bisons et les sangliers
  • doivent avoir conservé leurs animaux dans l’élevage pendant une plus longue période que prévu en raison de la pandémie de COVID-19, et ce, à partir du début de la pandémie jusqu’à la fin de la période visée qui s’est terminée le 31 mars 2021.

 

La Financière agricole du Québec, c’est…

  • Une relation d’affaires avec un peu plus de 23 500 entreprises agricoles et forestières
  • Une offre de produits et de services de qualité en financement, en assurance et en protection du revenu
  • Avoir la relève agricole au cœur de ses priorités en lui offrant une aide financière directe et adaptée à sa réalité, dont 12,3 M$ accordés à 536 jeunes de cette relève
  • Une équipe soucieuse des besoins des producteurs agricoles et des enjeux en agriculture
  • Participer à l’essor économique du Québec et de ses régions avec :
  • des valeurs assurées s’élevant à 4,18 milliards de dollars et le versement de 2,21 milliards de dollars au cours des cinq dernières années dans le cadre de ses programmes de gestion des risques; et
  • un portefeuille de garanties de prêts atteignant 6,01 milliards de dollars

Pour nous contacter : 1 800 749-3646  I  www.fadq.qc.ca

Source : FADQ

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NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION

Walmart Canada renforce son engagement envers la durabilité

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

MISSISSAUGA, Ontario. – Walmart Canada achètera la plus grande quantité connue de bœuf en provenance de fermes canadiennes certifiées durables par la Table ronde canadienne pour le bœuf durable (TRCBD) par un seul détaillant.

Cet engagement d’achat de viande de bœuf soutiendra la durabilité environnementale, sociale et économique des producteurs canadiens dont les fermes sont certifiées par le biais d’un système faisant appel à des tierces parties conformément aux standards de durabilité déterminés par la TRCBD.

Il s’agit, à ce jour, du plus grand engagement public formulé par un seul détaillant : 1,5 millions de livres de bœuf en provenance de fermes canadiennes certifiées durables par la TRCBD seront achetées par Walmart Canada dans le courant de la prochaine année civile.

Cet engagement représente une étape importante et contribue à faire avancer la durabilité du bœuf au Canada. Ce n’est qu’un début! La quantité de bœuf en provenance de fermes canadiennes certifiées durables par la TRCBD achetée par Walmart Canada continuera d’augmenter chaque année.

Le leadership d’entreprises comme Walmart encourage le changement et soutient les objectifs d’amélioration continue du secteur bovin canadien.

~ Anne Wasko, présidente de la TRCBD et productrice d’Eastend en Saskatchewan

S’engager envers un approvisionnement durable à ce niveau sans précédent crée un nouveau seuil pour l’industrie pour ce qui est possible et réaffirme le partenariat de l’entreprise avec la TRCBD. En tant que partenaire de choix, Walmart Canada continue à contribuer à l’expansion du programme de la TRCBD au Canada en faisant la promotion de l’amélioration continue des standards de l’industrie et en discutant ouvertement avec les parties prenantes de l’industrie et de la chaîne d’approvisionnement.

Nous sommes très fiers de la signification d’un tel engagement pour l’industrie et de l’impact qu’il aura pour nos producteurs, clients, fournisseurs et partenaires. Nous faisons de grands progrès concernant la progression de la durabilité dans l’industrie canadienne du bœuf, animés par notre engagement à être une entreprise régénératrice et rendus possibles grâce à de forts partenariats avec la TRCBD et nos fournisseurs.

~ Horacio Barbeito, président et PDG, Walmart Canada.

 

Source : CRSB

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Une étude auprès des consommateurs démontre le soutien important de ces derniers envers l’histoire des producteurs de bétail et le gaspillage alimentaire

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Le gaspillage alimentaire est au cœur des discussions nationales et internationales sur les changements climatiques. Le gouvernement du Canada a notamment annoncé en 2020 le Défi de réduction du gaspillage alimentaire. Plus de la moitié des aliments produits au Canada n’atteint pas nos assiettes. Le plus haut pourcentage de gaspillage se produit lors de la consommation. La réduction du gaspillage alimentaire est également le but le plus fréquent au sujet de la nourriture chez les consommateurs avec 90 % des Canadiens qui le font ou tentent de le faire.

Il est commun dans l’industrie du bœuf de récupérer les pertes et le gaspillage alimentaires en les transformant en nourriture de haute qualité pour le bétail. Cette dernière inclut les récoltes endommagées par la météo ou les animaux nuisibles (ce qui a été démontré par la sécheresse, la fumée et les sauterelles en 2021) autant que les aliments de qualité non conforme pour la vente en épiceries et la drêche de brasserie. Ce processus démontre l’économie circulaire présente en agriculture et représente l’utilisation de très grandes quantités de produits qui se seraient normalement retrouvés dans les sites d’enfouissement. L’étude d’Hall et White en 2017 a déterminé que le bétail utilise 43 milliards de kilogrammes de pertes alimentaires par année aux États-Unis. L’équipe de l’engagement du public et des parties prenantes a donc décidé de comprendre comment les Canadiens perçoivent le rôle du bétail dans la gestion des pertes alimentaires.

Un important groupe témoin en ligne a été mis sur pied en juillet 2021. Un échantillon représentatif des Canadiens a été sélectionné avec un groupe plus important de femmes de moins de 45 ans, qui sont, selon des études précédentes, le segment démographique le plus soucieux au sujet de l’impact environnemental de la consommation de bœuf. Les participants ont d’abord été questionnés à propos de leur perception de l’industrie bovine et des producteurs. Les résultats étaient similaires à ceux recueillis lors d’études précédentes par l’équipe. Les Canadiens n’en connaissent pas beaucoup au sujet de l’élevage des bovins, mais ils sont nombreux à avoir entendu parler des potentiels impacts environnementaux de ce dernier. Toutefois, la plupart des Canadiens estiment que les producteurs font du bon travail lorsqu’ils prennent soin des terres et de leurs animaux, ce qui démontre la différence entre la confiance accordée aux communications de l’industrie et aux producteurs de bovins et met de l’avant l’importance d’avoir des producteurs au centre des campagnes destinées au public.

Les participants ont par la suite visionné du contenu vidéo ainsi que du contenu provenant des médias sociaux au sujet de la réutilisation de la drêche de brasserie et des pertes alimentaires provenant d’épiceries dans l’alimentation du bétail. Les publicités ont été considérées comme quelque chose de surprenant et de nouveau, particulièrement chez les participants provenant de milieux urbains qui n’ont pas beaucoup de connaissances concernant l’élevage de bovins. Plusieurs d’entre eux se demandaient pourquoi ils n’avaient pas eu connaissance de ces informations avant.

« J’ai été surpris par le fait qu’ils nourrissent leurs animaux avec des aliments qui seraient normalement gaspillés et cela améliore grandement mon opinion des pratiques d’élevage. »

« Les aliments que le bétail consomme étaient une des grandes raisons pour lesquelles je croyais que l’industrie n’était pas durable pour l’environnement. Il est donc intéressant de savoir qu’ils mettent en place des solutions durables. »

« J’aime vraiment le fait que la manière dont est nourri le bétail permet de réduire le gaspillage alimentaire. C’est un message très fort selon moi et qui améliore réellement mon opinion des éleveurs d’ici. »

Lorsqu’on leur a demandé de déterminer le message principal de ces publicités, les participants ont répondu :

  • « que le bétail est nourri avec de bons aliments (contrairement à ce qui peut être montré dans certains documentaires populaires) et que ce processus permet de réduire le gaspillage alimentaire au Canada. »
  • « que toute la nourriture n’est pas gaspillée et qu’elle est donnée au bétail. Je pense que cette publicité est très crédible et qu’elle permet de voir l’industrie du bœuf différemment. »

Enfin, les participants ont reçu la tâche de choisir le message qu’ils ont le mieux accueilli, surtout au sujet du bétail en parcs d’engraissement. Le premier sélectionné était la réduction des ressources utilisées en parcs d’engraissement et le deuxième, le rôle essentiel des parcs d’engraissement dans la réduction du gaspillage alimentaire. 76 % des participants ont identifié que le message concernant le gaspillage alimentaire était le plus pertinent pour eux. Les raisons données incluaient que la réduction du gaspillage alimentaire est un concept universel, que c’est quelque chose que les Canadiens font dans leur propre maison et que cela connecte les humains et le bétail. En général, aucune préoccupation majeure n’a été soulevée concernant l’association positive entre le bétail et le gaspillage alimentaire chez les consommateurs, qui améliore leur opinion de l’industrie et ses efforts afin de réduire les impacts.

Amie Peck, gestionnaire – Engagement des parties prenantes, a présenté les conclusions de cette étude en septembre. Sa présentation peut être visionnée en différé ici.

Source : CCA.

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La Canadian Cattlemen’s Foundation amène « Gardiens des prairies » en classe

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Grâce à un partenariat financier avec la Canadian Cattlemen’s Foundation, Agriculture en classe Canada a lancé un guide d’enseignement avec des ressources interactives afin d’amener le court documentaire, Gardiens des prairies, en classe et permettre aux élèves d’en apprendre davantage au sujet du rôle important du bétail dans la conservation de l’écosystème en disparition des prairies au Canada.

L’utilisation du guide « Guardians of the Grasslands en classe » cible les élèves du secondaire et est un complément au visionnement du documentaire de 12 minutes par le biais de questions sur le contenu et de pistes de réflexion, d’une chasse au trésor virtuelle et d’un jeu de table faits par les élèves grâce à une recherche d’investigation. Il mentionne également des lectures supplémentaires sur les sujets suivants : la biodiversité, la santé du sol, les changements climatiques et la gestion des terres.

« En utilisant « Gardiens des prairies » comme ressource pédagogique, des élèves des quatre coins du Canada auront la possibilité d’en apprendre davantage à propos du rôle important du bétail dans la conservation de l’écosystème des prairies, » a expliqué Bob Lowe, président de la Canadian Cattlemen’s Foundation. « Nous sommes fiers de nous associer à Agriculture en classe Canada afin de démontrer l’impact environnemental positif de l’industrie à la jeunesse du Canada. »

Par le biais des activités et du documentaire, les élèves apprendront comment les producteurs, les conservateurs et autres travaillent ensemble afin de protéger les prairies canadiennes.

Le guide « Guardians of the Grasslands » en classe est disponible pour téléchargement ici.

Pour prendre connaissance de l’entièreté du communiqué de presse, cliquez ici.

Source : CCA.

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L’industrie canadienne du bœuf encourage les investissements dans la recherche agricole afin de poursuivre les objectifs de réduction du méthane

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Calgary, AB – Le 11 octobre 2021, le gouvernement du Canada a confirmé son appui à l’Engagement mondial sur le méthane. Le Canada s’est joint aux États-Unis et à l’Union européenne qui, le 17 septembre, avaient lancé l’engagement mondial de réduire d’ici 2030 les émissions de méthane d’au moins 30 % par rapport aux niveaux de 2020 et de mettre en œuvre des mesures nationales connexes. 

L’industrie canadienne du bœuf demeure un leader mondial en matière de production de bœuf durable. Les producteurs et les éleveurs de bovins gèrent des terres qui séquestrent une quantité impressionnante de 1,5 milliard de tonnes de carbone, et l’Industrie canadienne du bœuf a une empreinte de GES par kilogramme de production deux fois moins élevée que la moyenne mondiale. Toutefois, l’industrie va de l’avant avec d’autres réductions, comme le décrit une stratégie multipartite qui comprend des objectifs et des plans d’action pour : 

  • Réduire l’intensité des émissions de GES de la production primaire de 33 % d’ici 2030
  • Séquestrer 3,4 millions de tonnes supplémentaires de carbone chaque année
  • Protéger les 1,5 milliard de tonnes de carbone séquestrées sur les terres gérées avec des bovins de boucherie
  • Réduire les pertes et les déchets alimentaires (de la transformation secondaire au consommateur) de 50 % d’ici 2030

La clé pour atteindre ces objectifs est l’investissement dans la recherche et la vulgarisation pour l’application de la recherche dans les exploitations agricoles.

« Nous avons été heureux de constater l’engagement du gouvernement à soutenir les agriculteurs, les éleveurs et les partenaires canadiens de l’industrie dans la mise en œuvre de solutions aux changements climatiques », a déclaré Bob Lowe, président de l’Association canadienne des éleveurs de bovins. « Nous devons accroître nos investissements dans la recherche et l’adoption de la recherche pour atteindre nos objectifs communs. »

L’industrie prévoit réduire les émissions de méthane en améliorant la génétique, la production et la gestion des fourrages et des aliments pour animaux, ainsi que la santé des animaux, entre autres. Les chercheurs s’intéressent particulièrement aux additifs alimentaires, qui présentent un grand potentiel de réduction du méthane provenant des bovins de l’ordre de 20 à 70 pour cent. À mesure que le gouvernement poursuit ses objectifs, les partenaires environnementaux, comme l’Industrie canadienne du bœuf, devraient participer au développement des politiques et des investissements.

L’industrie canadienne du bœuf est également engagée à l’échelle mondiale grâce à des initiatives comme le Programme mondial pour un élevage durable et la Table ronde mondiale sur le bœuf durable. Les augmentations mondiales de la recherche et de la vulgarisation agricoles entraîneront des répercussions positives en cascade sur la réduction du méthane ainsi que sur la santé et les moyens de subsistance des producteurs agricoles et des collectivités rurales du monde entier.

Informations sur le Conseil de recherche sur les bovins de boucherie :

  • Au Canada, la production de 1 kg de bœuf produit maintenant 15 % moins de gaz à effet de serre qu’en 1981, grâce à l’amélioration des pratiques de production.
  • Dans les années 1950, l’efficacité alimentaire était de dix pour un. Aujourd’hui, elle est de six pour un.
  • Pour en savoir plus, consultez le site beefresearch.ca

 

Pour de plus amples informations, veuillez contacter:  
Gestionnaire des communications
Association canadienne des éleveurs de bovins
communications@cattle.ca

L’ACEB est la voix nationale de l’industrie canadienne des bovins de boucherie, qui représente 60 000 exploitations bovines et parcs d’engraissement. Visitez le www.cattle.ca.

Source : CCA.

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Cliquez sur les liens suivants pour consulter les nouvelles de l’Action News12 octobre 2021 et 25 octobre 2021 (en anglais seulement)

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NOUVELLES RÉGIONALES

Chaudière-Appalaches : Retour sur le souper-rencontre pour les aspirants-producteurs de veaux d’embouche

Le Groupe-projet veau d’embouche de la Chaudière-Appalaches est un comité formé d’intervenants qui œuvrent en production bovine. On y retrouve des représentants du Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, de La Financière agricole du Québec, du Groupe Bovi-Expert, du Réseau Agriconseils, des syndicats de producteurs de bovins ainsi que de Desjardins Entreprises. Le but premier de ce comité est de dynamiser la production bovine dans la région.

À l’initiative du Groupe-projet veau d’embouche, un souper-rencontre a eu lieu le 4 novembre dernier au Restaurant Le Journel de Saint-Joseph-de-Beauce. Cet évènement s’adressait spécifiquement aux aspirants-producteurs de veaux d’embouche.

Pour l’occasion, M. Benoit Turgeon, agronome, conseiller en gestion au Centre multi-conseils agricoles, a fait une conférence à saveur agroéconomique. Il proposait une méthode de budgétisation à utiliser dans un éventuel plan d’affaires. Il a également parlé de différents critères technico-économiques importants à prendre en compte lors du démarrage d’une ferme bovine.

Il est possible de s’établir et de démarrer une entreprise en production de veaux d’embouche, mais ce démarrage doit faire l’objet d’une analyse sérieuse au préalable. Ce souper-rencontre se voulait donc un moyen d’outiller les producteurs de la relève à cet effet.

La rencontre fut très intéressante et a permis de beaux échanges entre les aspirants-producteurs et les intervenants présents. À noter que la conférence de M. Turgeon sera disponible en ligne dans les prochaines semaines sur la page YouTube du Réseau Agriconseils de la Chaudière-Appalaches.

Source : Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches Nord et Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud

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Outaouais-Laurentides : Tournée automnale du président et du directeur général des PBQ

Le président des PBQ, monsieur Jean-Thomas Maltais, et le directeur général, monsieur André Roy, effectuent une tournée des régions. Nous vous invitons à venir partager un dîner en leur compagnie et celle des membres de votre conseil d’administration. Durant l’après-midi, vous aurez l’occasion d’échanger sur les dossiers qui concernent les producteurs de bovins.

De plus, madame Maria José Maezo, conseillère en agroenvironnement à la Fédération de l’UPA Outaouais-Laurentides, fera une présentation sur le projet ALUS et ses avantages pour vos entreprises.

Notre dernière rencontre en personne remonte à bien longtemps. Nous avons bien hâte de vous revoir!

Veuillez confirmer votre présence auprès de Nadine Brisson nbrisson@upa.qc.ca, ou au 450 472-0440 poste 311, au plus tard le 16 novembre 2021.

Au plaisir de vous voir,

 

 

Stanley Christensen

Président

 

Source : Les Producteurs de bovins Outaouais-Laurentides

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Saguenay-Lac-Saint-Jean : Soirée bovine 2021

Les Producteurs de bovins du Saguenay-Lac-Saint-Jean, en collaboration avec le MAPAQ, organisent une soirée bovine pour les producteurs de veaux d’embouche. L’événement se tiendra à l’Orée des Champs de Saint-Nazaire, le 24 novembre prochain. Plusieurs conférences sur divers sujets d’intérêt des producteurs sont à l’horaire : usage judicieux des antibiotiques, traitements antiparasitaires dans la production bovine, la semi-finition : est-ce que ça vaut le coût et l’expérience Bœuf Québec. On vous attend en grand nombre!!!!!

Pour vous inscrire, veuillez contacter Mme Luce Gagnon par téléphone au 418-542-5666, poste 247, ou par courriel au lucegagnon@upa.qc.ca.

MESURES EN RAPPORT AVEC LA COVID-19

Passeport vaccinal exigé à l’entrée, signature du registre des présences et mesures de distanciation appliquées

Source : Les Producteurs de bovins du Saguenay-Lac-Saint-Jean

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