INFOLETTRE
La Minute bovine : novembre 2020


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BOUVILLON

BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

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ACTUALITÉS 

Entrevue : La fluctuation des prix de la viande bovine

Le prix de la viande bovine, tout particulièrement celui du bœuf, joue au yoyo depuis le début de la pandémie. Le prix pour les consommateurs est élevé, et ce, même si les producteurs reçoivent peu pour leur production. Comment s’y retrouver? M. Maxime d’Almeida, agroéconomiste pour Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ), était de passage à la radio de l’Abitibi-Témiscamingue dans le cadre de la chronique agricole pour expliquer le phénomène au grand public. Cliquez ici pour écouter l’entrevue.

Source : PBQ

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LA MINUTE STATISTIQUE
COUP D’ŒIL SUR LE BŒUF ET LE VEAU

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Webinaire – Règlementation et permis nécessaires à la commercialisation de la viande bovine à la ferme

Avec la vague d’achat local, plusieurs producteurs se demandent comment tenir une boutique à la ferme. L’aspect règlementaire peut parfois sembler complexe et ardu. Ce webinaire présenté par M. Walter Rubio-Alvarez du MAPAQ, a pour objectif d’outiller les producteurs qui désirent vendre leurs produits à la ferme. Inscrivez-vous dès maintenant en cliquant ici, le webinaire aura lieu le 16 décembre prochain à 19 h.

Source : PBQ

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Nouveau cahier Bovins du Québec

Publié dans la Terre de chez nous, le cahier Bovins du Québec du 28 octobre 2020 traite notamment, de la Régie de troupeau hivernale, de la formation Enclos d’hivernage en ligne et des outils de diagnostics des maladies respiratoires chez les veaux. Bonne lecture!

Source : PBQ

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Nouvelles de la Financière agricole du Québec

Programme d’assurance récolte : 12,1 M$ supplémentaires versés aux producteurs de foin et de pâturages

Bien au fait des difficultés vécues par les producteurs agricoles ces derniers mois, La Financière agricole du Québec versera près de 12,1 M$ à plus de 1 440 producteurs de foin et de pâturages dans le cadre du Programme d’assurance récolte. Ce troisième paiement porte sur les pertes attribuables aux situations exceptionnelles liées au gel hivernal. Les principales régions concernées sont les suivantes :

  • Lanaudière : 2,9 M$ (176 producteurs);
  • Mauricie : 2,7 M$(185 producteurs);
  • Centre-du-Québec : 2,4 M$ (376 producteurs);
  • Chaudière-Appalaches : 4 M$ (662 producteurs).

Soulignons que ce paiement ne constitue pas le règlement final. Des analyses sont en cours pour les pertes liées à l’excès de pluie en 2e et 3e fauche, au manque de pluie en 3e fauche, ainsi qu’en 3e période de croissance des pâturages. Les pertes liées à des situations exceptionnelles survenues durant la saison de croissance sont également en cours d’analyse. D’autres montants sont à prévoir.

Ce versement porte à plus de 47 M$ les indemnités versées à près de 4 545 producteurs de foin et de pâturages en 2020.

Source : PBQ

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Nouvelles de la
Canadian Cattlemen’s Association

 

La Canadian Cattlemen’s Association fait part de ses commentaires au gouvernement du Canada sur les accords commerciaux transitoires et futurs entre le Canada et le Royaume-Uni

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Puisque le Royaume-Uni est en voie de quitter l’Union européenne (UE) à la fin de l’année 2020, le gouvernement du Canada souhaite conclure un accord intérimaire afin d’assurer la transition entre l’Accord économique et commercial global (AECG) et un futur accord commercial entre le Canada et le Royaume-Uni.

Plus tôt cet automne, la Canadian Cattlemen’s Association (CCA) a fait part au gouvernement du Canada de ses principales priorités quant à l’accord commercial intérimaire et à plus long terme entre le Canada et le Royaume-Uni. Malgré la croissance des exportations de bœuf canadien vers l’UE et le Royaume-Uni au cours des dernières années, le plein potentiel de notre accès négocié dans le cadre de l’AECG n’a pas été réalisé lors de cet important marché, et ce, en raison des barrières techniques aux échanges. La CCA craint que ces barrières soient maintenues dans le cadre de l’accord commercial transitoire ainsi que sur le futur accord commercial avec le Royaume-Uni.

Le personnel de la CCA continuera de suivre l’évolution de ce dossier et d’inciter le gouvernement du Canada à veiller à ce que le meilleur accord possible soit négocié pour les producteurs de bovins canadiens.

Source : CCA

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Consultation publique : L’ACIA lance une consultation sur les lignes directrices en matière d’étiquetage des « simili-produits de viande »

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La semaine dernière, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a lancé une consultation sur les modifications proposées aux lignes directrices sur les simili-produits de viande et les simili-produits de volaille. Elle souhaite obtenir des réponses aux modifications proposées des lignes directrices pour l’industrie des simili-produits de viande et de volaille ainsi qu’aux nouvelles lignes directrices pour certains aliments protéiques à base de plantes. Ces lignes directrices définissent les règles d’étiquetage, de publicité, de composition et d’enrichissement de ces produits. Compte tenu des nouvelles options de produits à base de protéines végétales, les modifications visent à fournir aux consommateurs les informations dont ils ont besoin pour prendre des décisions d’achat éclairées et à clarifier pour l’industrie alimentaire canadienne ce qui est considéré comme des produits de viande ou de volaille simulés. La consultation consiste en un questionnaire et une brève enquête.

La CCA croit que les lignes directrices proposées ne favorisent pas la clarté. (Il est à noter que les arguments suivants ont été ajoutés à l’article initial de l’infolettre Action News)

  • Elle reste préoccupée par l’utilisation de la nomenclature de la « viande » pour les produits non carnés. Le terme « viande » a une définition précise dans le Règlement sur les aliments et drogues, et l’utiliser dans les lignes directrices proposées contreviendrait au Règlement. Les mots relatifs à la viande ne devraient être attribués qu’aux produits à base de protéines animales. Elle proposerait également un autre nom pour ce guide, comme « protéine alternative », etc.
  • La CCA reste perplexe quant à l’approche et l’application fondées sur les plaintes. Il faut allouer plus de ressources pour appliquer la règlementation quant à l’étiquetage frauduleux et trompeur.
  • La confusion potentielle sera réduite en combinant les catégories 2 et 3. Les produits seraient soit de la viande (catégorie 1), soit des produits qui ne sont pas faits à base de viande, simulée ou végétale (appelés catégorie 2 ou autre). Le terme « à base de plantes » est conforme à la terminologie proposée pour les produits fabriqués aux États-Unis.
  • La terminologie doit être clarifiée ou modifiée, le cas échéant. Par exemple, le terme « galette » est actuellement défini comme 100 % viande, donc « galette de soja » ne répond pas aux exigences règlementaires actuelles.
  • Le public cible de la consultation telle que rédigée semble être les professionnels du secteur alimentaire, notamment les diététiciens et les nutritionnistes. Ce faisant, le grand public se retrouve aux prises avec un questionnaire complexe ne favorisant pas une bonne compréhension des questions pour des répondants.
  • La section de publicité dans le tableau devrait être renforcée car c’est là que réside une grande partie de la confusion. Par exemple, l’image d’un animal est autorisée sur un produit qui ne contient pas de viande, ce qui est trompeur.

Pour en savoir plus sur la consultation ou pour soumettre vos commentaires, veuillez cliquer sur ce lien. Pour de plus amples informations, veuillez contacter, par courriel, Lauren Martin, responsable des relations avec le gouvernement et l’industrie alimentaire pour la CCA, à martinl@cattle.ca.

Source : CCA

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Déclaration de l’International Beef Alliance soutenant la sécurité alimentaire par le commerce

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Les membres de l’International Beef Alliance (IBA), qui regroupe les organisations de producteurs de bovins d’Australie, du Brésil, du Canada, du Mexique, de la Nouvelle‑Zélande, du Paraguay et des États-Unis, ont tenu leur conférence annuelle par webinaire les 12 et 13 octobre 2020. Ensemble, ils fournissent 47 % de la production mondiale de bœuf et 66 % des exportations.

L’IBA publie la déclaration suivante concernant le commerce international de la viande bovine en 2020 :

« L’année 2020 a été difficile pour les éleveurs de bovins, la pandémie de COVID-19 ayant perturbé la production, la transformation et le commerce de la viande bovine dans le monde entier. Bien que les secteurs du bétail et de la viande bovine dans certains pays de l’IBA aient été gravement touchés, nous avons adapté nos procédures de gestion des risques et continuons à fournir des produits bovins sûrs, sains et nutritifs.

La pandémie de COVID-19 a démontré l’importance du commerce alimentaire international afin d’assurer la sécurité alimentaire et la prospérité économique. Au cours des six derniers mois, la pandémie a prouvé à quel point nous sommes un élément essentiel d’une chaîne d’approvisionnement alimentaire mondiale interconnectée, et les producteurs de bovins restent fermement engagés à améliorer le bien-être des personnes, de nos animaux et de l’environnement.

La contribution des membres de l’IBA à la sécurité alimentaire mondiale ne peut être sous-estimée. Nous réaffirmons l’importance de marchés libres et ouverts qui permettent aux consommateurs d’accéder à des approvisionnements en nourriture sûre, nutritive et suffisante. Les distorsions commerciales telles que les restrictions à l’exportation, les droits d’importation, les contingents tarifaires et les barrières non tarifaires entravent cette adéquation entre l’offre et la demande. À la suite de la COVID-19, nous avons vu la mise en place de mesures qui restreignent à la fois les exportations et les importations, rendant l’accès des consommateurs à la nourriture plus difficile. Nous sommes favorables à la suppression de ces barrières commerciales dès que possible.

En particulier, nous sommes profondément préoccupés par l’imposition de tests aux frontières pour la COVID-19 qui ne sont pas basés sur les normes internationales Codex. Bien que nous comprenions la pression exercée par les gouvernements pour assurer la sécurité des citoyens, l’IBA préconise l’utilisation de mesures fondées sur les risques, appuyées sur des données scientifiques solides et conformes aux normes internationales.

L’IBA se réjouit également des changements apportés par de nombreux pays pour améliorer le commerce et la sécurité alimentaires en abaissant ou en supprimant les barrières commerciales, en adoptant la certification électronique au lieu de la documentation papier, en maintenant les chaînes d’approvisionnement et en facilitant le commerce alimentaire à la frontière et en assurant une plus grande transparence des mesures affectant la production et le commerce agricoles.

Il est impératif que nous travaillions ensemble pour garantir aux consommateurs un accès continu à des produits sûrs et de haute qualité et nous demandons instamment à tous les pays d’œuvrer à la réduction et à la suppression de toutes les barrières aux échanges des denrées alimentaires, d’améliorer la transparence et le fonctionnement des chaînes d’approvisionnement alimentaire et de veiller à ce que tous les pays adoptent des mesures fondées sur des normes scientifiques reconnues à l’échelle internationale ».

Source : CCA

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Les entreprises qui ont recours à un compte bancaire personnel ont désormais accès au Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes

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La Canadian Cattlemen’s Association (CCA) se réjouit de l’annonce faite par le gouvernement du Canada d’accroître l’admissibilité au Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC) pour les producteurs de bœufs qui exploitent un compte bancaire personnel. Avant le 26 octobre 2020, les producteurs de bœufs qui gèrent leur entreprise par l’entremise de comptes personnels n’étaient pas admissibles au CUEC. Maintenant, les producteurs de bœufs peuvent maintenant ouvrir un compte d’entreprise et devenir admissibles à présenter une demande. La CCA remercie la vice-première ministre et ministre des Finances, Mme Chrystia Freeland, et la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Mme Marie-Claude Bibeau, pour leurs efforts visant à élargir l’accès au CUEC pour un plus grand nombre de producteurs de bœuf canadiens.

Cliquez ici pour plus de détails sur l’admissibilité au programme.

Source : CCA

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Cliquez sur les liens suivants pour consulter les nouvelles de l’Action News – 13 octobre 202026 octobre 2020 – 9 novembre 2020 (en anglais seulement)

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Recommandations sur la santé et la qualité des veaux laitiers avant la mise en marché

Voici cinq points à vérifier avant d’envoyer un veau laitier à l’encan. Ces points sont des recommandations visant à améliorer la santé et la qualité de vos veaux laitiers et à diminuer les risques que ceux-ci ne trouvent pas preneur lors de leur mise en vente.

  • Ne pas livrer à l’encan un veau laitier âgé de moins de huit jours;
  • Garder encore quelques jours à la ferme un veau qui pèse moins de 95 lb;
  • Ne pas envoyer un veau malade ou faible (ex. : diarrhée, hernie ombilicale, écoulement, oreilles basses, déshydratation) à l’encan;
  • Donner la bonne quantité de colostrum de qualité au veau et désinfecter son nombril, et ce, le plus tôt possible après sa naissance;
  • En cas de doute sur la condition de santé d’un veau, prendre sa température avant son départ de la ferme. S’il fait de la fièvre (39,4 °C et plus), celui-ci ne doit pas être transporté à l’encan.

Les acheteurs recherchent principalement des veaux laitiers de race Holstein ou issus d’un croisement de boucherie.

Le comité de mise en marché des bovins de réforme et veaux laitiers a produit des vidéos portant sur les soins et la santé des veaux laitiers ainsi que sur l’utilisation de la semence de boucherie dans les troupeaux laitiers. Pour voir les vidéos, cliquez sur les liens suivants :

Pour de plus amples renseignements concernant la mise en marché des veaux laitiers, veuillez communiquer avec l’agence de vente des bovins de réforme et veaux laitiers à agencebrvl@upa.qc.ca ou au 450 679-0540, poste 8482.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Webinaire – Outil de détection des pneumonies

Le 28 octobre dernier, les PBQ ont diffusé, en collaboration avec Dre Julie Berman de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, un webinaire présentant un outil qui permet de faciliter la détection des animaux atteints de bronchopneumonie infectieuse dans les élevages de veaux lourds ou chez les veaux laitiers. Bon visionnement!

Source : PBQ

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Webinaire – Les programmes alimentaires : du diagnostic au suivi des résultats

Présenté le 18 novembre 2020, ce webinaire animé par M. Michel Lemelin, agronome chez Bovi-Expert et auditeur pour le programme de certification Veau vérifié, traite particulièrement des programmes alimentaires dans l’élevage de veaux de grain. Pour obtenir le lien de la vidéo, communiquez avec Catherine Larivée Bazinet à clariveebazinet@upa.qc.ca.

Source : PBQ

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NouVeau en promo

  • L’équipe de la promotion travaille actuellement à la création du nouveau site web Veau du Québec ainsi qu’à la planification des activités 2021 avec CRI agence. Le lancement du nouveau site est prévu le 8 décembre.
  • 11 novembre 2020 : Pour son 9e livre en carrière, le chef Jean-François Plante souhaitait offrir des recettes réconfortantes, familiales et rassembleuses dans son livre Rôtir. Le Veau du Québec est ravi d’avoir participé à l’élaboration de ce livre en fournissant quelques découpes qui se prêtent bien à la cuisson au four, comme le filet, le carré, le haché et le rôti d’intérieur de ronde. Ces recettes seront bientôt disponibles sur le site web du Veau du Québec.
  • Restez à l’affût de la page Facebook du Veau du Québec, nous publierons des concours « Calendrier de l’avent » chaque lundi à compter du 22 novembre! Profitez-en pour inviter famille et amis à aimer notre page.

Source : PBQ

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BOUVILLON

Hausse des abattages de bouvillons au Québec

Au cours des 10 premiers mois de l’année 2020, le nombre de bouvillons abattus au Québec a doublé par rapport à la même période l’an dernier.

En 2019, les producteurs de bouvillons du Québec ont mis en marché 88 157 têtes de bouvillons. De ce volume, 16 % ont été abattus dans la province, ce qui représentait un volume hebdomadaire de 269 bouvillons. Dans les premiers mois de l’année 2020, soit la période précédant la COVID-19, on remarquait déjà une augmentation du nombre de têtes abattues au Québec. Au premier trimestre 2020, 23 % des bouvillons mis en marché ont été abattus au Québec. Sur une base hebdomadaire, cela représente en moyenne 336 têtes de bouvillons, soit 112 têtes de plus qu’à la même période en 2019.

Depuis le début de la pandémie, la hausse de la demande pour la viande de bœuf et l’engouement pour l’achat local ont fait croître le volume de bouvillons vendus aux abattoirs du Québec. Depuis avril dernier, près de 40 % des bouvillons mis en marché sont abattus ici. En moyenne, cela représente 558 bouvillons par semaine, soit 222 bouvillons de plus que le premier trimestre (avant la COVID-19) et 290 bouvillons de plus qu’à la même période en 2019.

Malgré la diminution du volume de bouvillons mis en marché en 2020, les abattages en sol québécois ont pratiquement doublé.

Source : PBQ

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Attentes des grands donneurs d’ordre de l’agroalimentaire

L’agence de vente des bouvillons, en collaboration avec les agences de vente des veaux d’embouche et des bovins de réforme et veaux laitiers, a retenu les services d’une firme de conseils en stratégie pour la réalisation d’une étude qualitative réalisée auprès des grands distributeurs de l’alimentation, des chaînes de restaurants et de décideurs du secteur institutionnel public afin de mieux connaître et comprendre leurs attentes lors de la décision d’achat de viande de bœuf au Québec.

L’étude permettra :

  • de mesurer la perception sur les attentes et préférences de leurs clients vis-à-vis le bœuf du Québec;
  • de déterminer si la pandémie a modifié leur perception à l’égard de l’achat local;
  • d’identifier leurs attentes et préférences envers leurs fournisseurs et acteurs de la chaîne d’approvisionnement du bœuf du Québec.

Les sujets couverts seront l’apparence, la reconnaissance des logos « Aliments du Québec » et « Aliments préparés au Québec », le type d’emballage, l’information sur les conditions d’élevage, la traçabilité, la race, leur intérêt pour les produits de niche. Les résultats de cette recherche seront notamment partagés avec les membres du comité de pilotage de la planification stratégique de la filière bovine.

Source : PBQ

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BOUVILLON ET VEAU D’EMBOUCHE

Des formations VBP+ populaires!

Du 2 au 5 novembre, les PBQ ont offert des formations sur le programme VBP+ en mode virtuel. Malgré le fait que la formation se réalisait à distance, différentes fonctionnalités de la plateforme Zoom, comme l’utilisation de sondages et le recours au chat virtuel, ont permis aux participants de prendre part de façon active à la formation. Les différentes sessions ont attiré 59 personnes.

Rappelons que cette formation permet de connaître les exigences du programme, de savoir quels registres doivent être remplis et de comprendre comment se déroule un audit à la ferme. Cliquez ici pour en savoir plus sur le programme VBP+.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

Gérer avec succès un enclos d’hivernage

AGRIcarrières, en partenariat avec les PBQ et la Commission des partenaires du marché du travail, offre une nouvelle formation qui s’adresse aux producteurs de bovins qui utilisent un enclos d’hivernage ou qui désirent en implanter un sur leur ferme. Cette formation est obligatoire pour ceux qui désirent bénéficier d’une aide financière du programme Prime-Vert.

Au terme de la formation, vous serez en mesure d’identifier vos besoins et de comprendre les principes d’un enclos d’hivernage, de comprendre et d’appliquer un rapport d’ingénieur, d’aménager un enclos d’hivernage selon les bonnes pratiques environnementales et de gérer efficacement des enclos et des bandes végétatives filtrantes.

Visitez le site web d’AGRIcarrières pour vous inscrire.

Source : Agri Carrières

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Les marchés – Prix des veaux d’embouche

Le prix des veaux d’embouche commercialisés dans les encans spécialisés varie en fonction de l’offre et de la demande locale et mondiale. La baisse de prix des veaux d’embouche observée dans les dernières semaines peut s’expliquer par les facteurs suivants : 

  • Habituellement, le prix des veaux d’embouche suit celui des bouvillons. Si les bouvillons se vendent bien, les producteurs sont portés à payer plus pour acheter des veaux d’embouche. Or, depuis quelques semaines, le prix des bouvillons au Québec ainsi qu’en Ontario a baissé, notamment parce que les abattoirs américains et ceux de l’Ouest canadien ont repris le contrôle après la première vague de COVID-19 et que le bœuf est maintenant disponible en grande quantité. Pour la semaine du 26 octobre 2020, le prix moyen des bouvillons était de 2,28 $/lb carcasse, alors que celui des veaux mâles castrés de 600 à 700 livres se situait à 1,96 $/lb vivant. Par rapport à la semaine du 28 septembre 2020, cela représente une baisse de 0,04 $/lb carcasse pour le bouvillon et une baisse de 0,37 $/lb vivant pour le veau mâle castré de 600 à 700 livres.
  • Actuellement, il y a de fortes variations des prix sur les marchés à terme pour les veaux d’embouche et les bouvillons puisque la seconde vague de COVID-19 a entraîné de l’incertitude à la Bourse.
  • L’augmentation du prix de l’alimentation animale, telle que le maïs et le fourrage, rend les producteurs de bouvillons plus prudents lors de leurs achats de veaux d’embouche.

Une des meilleures façons de maximiser les revenus de votre entreprise provenant de la vente de veaux d’embouche est de répartir les risques en livrant les veaux dans les encans spécialisés tout au long de la saison.

Source : PBQ

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