INFOLETTRE

La Minute bovine : juillet 2020

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CAMPAGNE PUBLICITAIRE : «DE LA VIANDE BOVINE AU QUÉBEC? | C’EST SIMPLE»

Le 26 juin dernier était lancée la publicité des Producteurs de bovins du Québec (PBQ) « De la viande bovine au Québec ? | C’est simple ». Diffusée pour la première fois durant une pause publicitaire de l’émission Salut Bonjour, cette capsule vidéo est une réalisation de l’équipe des communications et de la vie syndicale des PBQ. Nous vous invitons à la partager massivement !

Outre sa présence en ondes à l’émission Salut Bonjour pour une période de quatre semaines, la publicité a également été visible durant diverses émissions d’ICI Radio-Canada (pour une période de trois semaines à partir du 27 juin) et d’ICI RDI (pour une période de trois semaines à partir du 29 juin).

Les PBQ ont trouvé que le contexte actuel était favorable à une sortie publique de l’organisation visant à promouvoir les initiatives locales et la profession. Cette sympathique publicité, qui explique aux consommateurs les informations clés à retenir pour s’assurer d’acheter de la viande bovine locale, pourrait avoir des retombées positives pour les ventes en magasin et à la ferme. Elle vient également appuyer l’importante campagne de relations publiques des dernières semaines des secteurs veau de grain et veau de lait. Qui plus est, ce montage vidéo pourra être modifié au besoin afin d’ajouter ou de retirer des logos pour une campagne future.

Les PBQ souhaitent remercier la Fédération de l’UPA de Lanaudière et tous les partenaires corporatifs pour leur contribution au projet.

Source : PBQ

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NOUVELLE ÉDITION DU CAHIER BOVINS DU QUÉBEC 

La nouvelle édition du cahier spécial Bovins du Québec a été publiée dans l’édition du 15 juillet 2020 de La Terre de chez nous.

  • Dossier « Des bâtiments en production bovine, en as-tu vraiment besoin ? »
  • Éditorial « Le marché local contribue à la diversification des marchés. »
  • Et bien plus !
  • Poursuivre votre lecture

 

 

Source : TCN

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FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

LA FADQ EN APPUI AUX ENTREPRISES CONFRONTÉES À DES DIFFICULTÉS D’APPROVISIONNEMENT EN EAU

En raison des périodes de canicule ayant cours au Québec, plusieurs producteurs sont aux prises avec des difficultés d’approvisionnement en eau. Toujours fidèle à sa mission de soutenir le

développement du secteur agricole, La Financière agricole du Québec rappelle que les investissements permettant d’atténuer cette problématique sont admissibles à ses programmes de financement, dont le Programme Investissement Croissance.

Pour plus de détails

Source : FADQ 

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RAPPEL — HAUSSE DU PRIX DU PROPANE EN NOVEMBRE 2019 : FAITES VOTRE DEMANDE D’AIDE FINANCIÈRE AVANT LE 31 AOÛT 2020

Si vous avez été touchés par la hausse du prix du propane en novembre 2019, vous avez jusqu’au 31 août 2020 pour déposer votre demande d’aide financière. Cette mesure s’adresse aux entreprises qui utilisent le propane pour le séchage du maïs-grain et dont les superficies produites ont été récoltées après le début de la grève du CN.

Pour plus de détails

Source : FADQ 

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SANTÉ ANIMALE : VOUS VOULEZ SAVOIR LA CAUSE DE MORTALITÉ DE VOTRE BOVIN?

Un bovin est mort et vous vous demandez pourquoi. Saviez-vous qu’il existe des services de laboratoire au Québec ?

Ceci est valable pour toutes les maladies animales sous surveillance :

  • La soumission d’échantillons aux deux adresses du Laboratoire de santé animale (LSA) doit se faire par l’entremise d’un médecin vétérinaire praticien.
  • L’envoi de colis par Dicom est subventionné à 100 % par le laboratoire si ceux-ci pèsent moins de 30 kg et sont d’une dimension inférieure à 60 cm sur 60 cm sur 60 cm.
  • Toutes les nécropsies standards (animaux entiers, tissus, avortons) concernant des animaux de consommation sont subventionnées à environ 85 % par le gouvernement (selon une estimation du prix réel d’une nécropsie standard à 1 000 $).
  • La subvention gouvernementale varie d’un programme à l’autre : les propriétaires d’animaux sont invités à s’informer auprès de leur médecin vétérinaire.
  • Les programmes sont balisés par des critères spécifiques. Le nombre d’échantillons admissibles est limité par année financière en fonction des ressources budgéta​ires et humaines.
  • La liste des programmes est révisée annuellement, mais des modifications sans préavis sont possibles selon les besoins et les ressources du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ).
  • Le MAPAQ devient propriétaire des échantillons dès leur remise et se réserve le droit de recourir aux services d’analyse d’un laboratoire externe et d’utiliser les résultats qui en découleront aux fins de recherche et de surveillance.

Pour plus d’information, visitez le site du MAPAQ en cliquant ici.

Source : MAPAQ

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NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION  :

 

 

 

LA CANADIAN BEEF BREEDS COUNCIL DEVIENT UNE DIVISION DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION

10 juillet 2020

Calgary, AB — La Canadian Cattlemen’s Association (CCA) est heureuse d’accueillir officiellement le Canadian Beef Breeds Council (CBBC) en tant que nouvelle division. Cette décision a été prise par les dirigeants des deux organisations à la suite des travaux réalisés par un comité consultatif qui a analysé les coûts et les bénéfices de cette adhésion.

Cette fusion sera profitable à l’ensemble de l’industrie bovine canadienne grâce à une meilleure collaboration et à une meilleure coordination des équipes sur le terrain, qui auront ainsi une portée et une visibilité accrues. La CCA et le CBBC ont travaillé en étroite collaboration sur de nombreux dossiers puisque les deux organisations ont comme mission de développer le secteur. Cette décision était donc logique pour les deux parties, autant d’un point de vue logistique que philosophique.

« Réunir le CBBC et la CCA sous un même toit unifie notre industrie davantage et permet aux producteurs de bovins de rentabiliser davantage leur investissement », a déclaré M. Bob Lowe, président de la CCA.

La pandémie de la COVID-19 a permis à tous de constater que tous les acteurs de la production bovine canadienne doivent travailler ensemble pour relever les défis au fur et à mesure qu’ils se présentent. Les plus grands défis ne surviendront pas toujours du secteur agricole même, ils peuvent également survenir de l’extérieur, et les organisations doivent se montrer solides et être prêtes à faire face à n’importe quelle situation. C’est la clé pour renforcer la production bovine canadienne et continuer à faire preuve de résilience.

« C’est un moment important pour l’industrie bovine canadienne et la convergence d’organisations avec des objectifs communs offrira de nouvelles possibilités qui auront des retombées positives à long terme pour l’ensemble du secteur », a déclaré M. Dave Sibbald, président du CBBC.

 Source : CCA 

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LES PRODUCTEURS DE BOVINS CANADIENS APPLAUDISSENT LE NOUVEL ACCORD DE LIBRE-ÉCHANGE NORD-AMÉRICAIN (ALENA)

1er juillet 2020

Calgary, AB — La Canadian Cattlemen’s Association (CCA) salue l’entrée en vigueur aujourd’hui du nouvel Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) et se réjouit de la croissance continue des avantages du libre-échange. La CCA remercie tous ceux qui ont participé à la négociation et à la gestion de l’accord dans le cadre de leurs processus gouvernementaux respectifs, et ce, dans un contexte où le temps était un enjeu important.

Depuis trois décennies, les producteurs de bovins du Mexique, du Canada et des États-Unis compétitionnent entre eux et prospèrent dans le cadre commercial de l’ALENA. Dans le nouvel accord, les producteurs de bovins du Canada continueront à profiter des avantages du commerce exempt de douane et de la demande des marchés pour la viande bovine, les bovins vivants et la génétique. 

« Face aux difficultés économiques générées par la COVID-19, l’entrée en vigueur du nouvel ALENA arrive à point pour assurer le maintien de la stabilité économique de nos communautés rurales, de nos systèmes alimentaires et de l’économie nord-américaine en général », a déclaré M. Bob Lowe, président de la CCA. 

La CCA est satisfaite que le nouvel accord préserve l’exemption des tarifs de douane pour les bovins vivants et le bœuf et que les règles d’origine existantes ainsi que les dispositions essentielles à la résolution de différends demeurent intactes, ce qui permettra aux partenaires dans l’ALENA de continuer à bâtir sur les succès déjà obtenus. La CCA désire encourager la poursuite de la coopération réglementaire entre les trois pays et le travail soutenu pour améliorer la coordination des chaînes d’approvisionnement.

La CCA encourage le gouvernement du Canada à créer de nouveaux débouchés pour les exportations de viande bovine. Les accords commerciaux internationaux et l’accès aux marchés étrangers, qui sont essentiels pour les transformateurs de bovins, les éleveurs, les sociétés alliées et les entreprises de la chaîne d’approvisionnement alimentaire, auront une incidence positive sur le secteur agricole et l’économie canadienne en général.

L’avantage d’une industrie bovine forte est non seulement de nature économique mais également environnementale. Grâce à des pratiques durables, l’industrie bovine nord-américaine protège notamment les écosystèmes menacés des prairies permanentes du continent. Au Canada, les producteurs de bœuf protègent et utilisent de manière durable 44,2 millions d’acres de prairies.  

La mise en œuvre de l’ALENA initial a entraîné une croissance significative des emplois et de la contribution de l’industrie bovine au PIB canadien. Les exportations de bœuf canadien vers les États-Unis ont augmenté de 67 % en volume et de 338 % en valeur, passant de 190 000 tonnes évaluées à 530 millions de dollars en 1995 à 317 000 tonnes évaluées à 2,3 milliards de dollars en 2019. De même, les exportations de bœuf vers le Mexique ont augmenté de 15 fois en volume et de 32 fois en valeur, passant de 1 000 tonnes évaluées à 3,7 millions de dollars en 1995 à 16 500 tonnes évaluées à 126 millions de dollars en 2019. Une croissance impressionnante des exportations, également attribuée à l’ALENA, a également été observée aux États-Unis et au Mexique.

La CCA continuera à plaider en faveur d’un commerce international stable et fondé sur des règles de commerce. L’expérience des industries bovines canadienne, mexicaine et américaine dans le cadre de l’ALENA témoigne de la valeur des accords commerciaux et de leur capacité à aider notre pays à se redresser après la crise de la COVID-19.

En bref

  • L’industrie bovine est le plus grand secteur agricole du Canada, contribuant au PIB à hauteur de 17 milliards de dollars tout en générant 228 000 emplois, avec une croissance supplémentaire anticipée.
  • Chaque emploi dans le secteur canadien du bœuf génère 3,56 emplois supplémentaires dans d’autres secteurs de notre économie.
  • Le bœuf canadien est vendu sur 58 marchés dans le monde entier. En moyenne, 50 % de ce qui est produit au Canada est exporté.
  • Les États-Unis sont le marché le plus important des producteurs canadiens. Le Mexique est le quatrième.
  • Les producteurs de bovins protègent et utilisent durablement l’écosystème des prairies nord-américaines. Seulement au Canada, l’écosystème des prairies capte 1,5 milliard de tonnes de carbone.

Read the original article

Cliquer ici pour consulter les nouvelles de l’Action News du 3 juillet 2020 (en anglais seulement)

Cliquer ici pour consulter les nouvelles de l’Action News du 26 juin 2020 (en anglais seulement)

Source : CCA

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SECTEURS BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER ET BOUVILLON :

VIDÉO : L’ENGRAISSEMENT DES BOUVILLONS HOLSTEIN, UNE OPPORTUNITÉ DE MARCHÉ POUR LE QUÉBEC ?

De nombreux travaux des Producteurs de bovins du Québec ont mené à la rédaction de protocoles d’engraissement adaptés à l’élevage de bouvillons Holstein au Québec. Ceux-ci se basent sur le modèle américain, un marché qui produit plus de cinq millions de bouvillons laitiers annuellement. Il devient nécessaire d’analyser sérieusement le potentiel de développement d’une telle filière dans la province.

Le secteur bouvillon d’abattage se joint donc au secteur bovin de réforme et veau laitier afin de présenter ce premier webinaire d’une série portant sur l’engraissement de bouvillons Holstein. Ce webinaire d’introduction se concentre sur les facteurs de succès et les points critiques pour les producteurs intéressés par cette production et présente une évaluation de la rentabilité dans un contexte normal de marché.

Le second webinaire, qui aura lieu cet automne, permettra d’approfondir les connaissances des participants sur les aspects techniques mentionnés dans le premier webinaire.

L’écoute de chacun des webinaires dans l’ordre est donc fortement recommandée.

Pour voir la présentation Powerpoint

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

TRANSPORT : ÉVITER L’ENGORGEMENT MAMMAIRE — TARIR SA VACHE AVANT DE L’ENVOYER À LA RÉFORME

Depuis l’application du Règlement sur la santé des animaux — Partie XII — Transport des animaux (Règlement), l’une des préoccupations majeures des producteurs laitiers est l’envoi des vaches de réforme à l’abattoir. En effet, l’une des nouvelles exigences du Règlement stipule qu’« il est interdit d’embarquer, de confiner ou de transporter, ou de faire embarquer, confiner ou transporter, dans un véhicule ou une caisse, sans ses petits, une animale qui est en période de lactation, sauf si elle est traite à des intervalles suffisants pour empêcher l’engorgement mammaire » (art. 142).

Avec cela en tête, il faut savoir qu’une vache de réforme nécessitera entre 12 et 48 heures pour effectuer l’itinéraire ferme-abattoir et que, lors du trajet, aucun accès à des installations de traite n’est possible. L’animal qui est toujours en lactation est donc à fort risque d’engorgement mammaire et son transport risque de ne pas répondre à l’exigence du Règlement.

Ainsi, afin de limiter les complications, il est recommandé de tarir sa vache avant de l’envoyer à l’abattoir. Cet aspect s’étant révélé problématique pour de nombreux éleveurs, Les Producteurs de lait du Québec, en partenariat avec le Réseau canadien de recherche sur la mammite bovine et la qualité du lait, ont élaboré une fiche technique qui regroupe des conseils et des pratiques recommandées pour tarir une vache rapidement, notamment en situation d’urgence.

Cliquer sur l’image ci-dessous pour avoir accès à la fiche technique de tarissement en format PDF.

À VOIR : PUBLICITÉ DES PBQ : «DE LA VIANDE BOVINE AU QUÉBEC | C’EST SIMPLE.»

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VEAU DE LAIT ET VEAU DE GRAIN : 

ACTIVITÉS DE PROMOTION DU VEAU DU QUÉBEC : LE VEAU DU QUÉBEC FAIT UNE CURE DE RAJEUNISSEMENT

Le 6 juillet dernier, les producteurs de veaux du Québec ont lancé les nouveaux logos Veau de grain du Québec et Veau de lait du Québec. Vous les retrouverez sur les barquettes de viande et sur les étalages un peu partout dans la province. Qui plus est, les éleveurs se sont unis afin de promouvoir leurs produits sous une image de marque unique : le Veau du Québec ! Le repositionnement stratégique visait une simplification du message aux yeux des consommateurs et une adaptation aux nouvelles tendances de consommation. Pour prendre connaissance de la campagne du veau, rendez-vous au veauduquebec.com.

À VOIR : PUBLICITÉ DES PBQ : «DE LA VIANDE BOVINE AU QUÉBEC | C’EST SIMPLE.»

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SÉRIE DE WEBINAIRES

Les Producteurs de bovins du Québec ont planifié une série de formations webinaires pour aider les producteurs de veaux à mieux comprendre et appliquer les recommandations des programmes de certification et pour les garder à l’affût des nouvelles du secteur. L’objectif est d’offrir une présentation par mois. Chaque formation contiendra une partie théorique et une autre partie plus interactive pendant laquelle les participants pourront s’exprimer.

Le premier webinaire de cette série, qui a eu lieu le 8 juillet dernier, a été consacré au nettoyage et à la désinfection des bâtiments d’élevage.

Voir la section Événements à venir pour le prochain webinaire animé par Martine Giguère, agronome, qui portera sur la qualité de l’eau. 

Source : PBQ

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VEAU DE LAIT

ÉTUDE DE DÉCOUVERTE DU PRIX DU CECPA

À la demande du comité de mise en marché des veaux de lait, le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA) a réalisé une enquête périodique sur l’évolution du prix du veau de lait du Québec afin d’évaluer l’impact de la crise sanitaire sur le secteur. Pour les premiers résultats de l’enquête, les données sont compilées pour les périodes 2018, 2019 et les quatre premiers mois de l’année 2020.

En résumé, l’analyse révèle que les années 2018 et 2019 ont été relativement stables avec des prix nets moyens respectifs de 3,71 $ et de 3,86 $/lb carcasse. En 2020, pour les trois premiers mois avant la crise de la COVID-19, le prix net moyen s’établit à 3,72 $/lb carcasse. Ce prix est relativement similaire à celui obtenu durant la même période en 2019. En avril 2020, le prix net moyen observé est de 3,21 $/lb carcasse, soit une baisse de 14 % comparativement au premier trimestre et une baisse de 17 % comparativement au mois d’avril 2019.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE :

CALENDRIER DE LA SAISON 2020-2021 DU CIRCUIT DES ENCANS SPÉCIALISÉS DE VEAUX D’EMBOUCHE

Cliquer sur l’image pour voir le calendrier.

 

Source : PBQ

À VOIR : PUBLICITÉ DES PBQ : «DE LA VIANDE BOVINE AU QUÉBEC | C’EST SIMPLE.»

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PISAQ VACHE-VEAU : REPRISE DES VISITES

Crédit photo : Jocelyn Morier

Le 15 juin 2020, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) a annoncé la reprise des campagnes de sensibilisation et de prévention, en lien avec l’Entente relative à la transition du Programme d’amélioration de la santé animale du Québec (ASAQ) vers le Programme intégré de santé animale du Québec (PISAQ).

Ainsi, les exploitants qui désirent recevoir une ou plusieurs visites en relation avec la campagne du PISAQ dans le vache-veau sont invités à communiquer avec leur médecin vétérinaire. Afin que les visites se déroulent en toute sécurité, tant pour les exploitants que pour les médecins vétérinaires, il est fortement conseillé d’observer les consignes formulées par les autorités de la santé publique en ce qui concerne la COVID-19.

Rappelons que le PISAQ vous donne droit à deux visites zoosanitaires gratuites d’une durée d’une heure et demie chacune pour discuter avec votre vétérinaire de la gestion du colostrum et de la vaccination.  Vous obtiendrez des procédures normalisées pour la gestion du colostrum et des protocoles de vaccination pour les différentes catégories d’animaux de votre troupeau.

Source : MAPAQ

À VOIR : PUBLICITÉ DES PBQ : «DE LA VIANDE BOVINE AU QUÉBEC | C’EST SIMPLE.»

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NOUVELLES RÉGIONALES :  

MONTÉRÉGIE-OUEST ET MONTÉRÉGIE-EST

Les Producteurs de bovins de la Montérégie-Est ont fait don de veau haché congelé à Moisson Sud-Ouest et Moisson Rive-Sud. Lire l’article.

Source : Journal Saint-François

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