INFOLETTRE
La Minute bovine : décembre 2021

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COUP D’OEIL SUR LES MARCHÉS DU BOEUF ET DU VEAU

 

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BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

 

FILIÈRE BOEUF :

 

 

ACTUALITÉS

 

Joyeuses fêtes de la part des PBQ!

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Source : PBQ

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Interventions au Congrès général de l’UPA

À l’occasion du Congrès général de l’UPA, la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Mme Marie-Claude Bibeau, et le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, M. André Lamontagne, se sont adressés aux gens présents. Le président des PBQ, M. Jean-Thomas Maltais, a profité de l’occasion pour questionner les ministres sur deux dossiers de grande importance.

Question à l’honorable Marie-Claude Bibeau : 

« Mme Bibeau, vous savez que le règlement sur le transport cause de sérieux maux de tête aux provinces producteurs de bovins du Québec, en particulier les producteurs de lait et de veaux. Cette problématique touche tout autant les producteurs des maritimes. Nous vous avons écrit le 12 mai 2021 et le 3 novembre 2021 sans obtenir de réponse ni même d’accusé de réception de votre part. Depuis le tout début, Les Producteurs de bovins du Québec ont été actifs et constructifs dans ce dossier. Malheureusement, la pandémie est venue ralentir considérablement deux projets de recherche majeurs, un sur l’impact de la durée du transport des veaux laitiers, l’autre sur le développement d’une formule de rechange à l’alimentation des veaux laitiers. Ces recherches sont absolument nécessaires afin que les modalités du règlement se basent sur la science. Mme Bibeau, si vous ne donnez pas suite positivement à nos demandes, des milliers de veaux laitiers devront être euthanasiés. Notre demande ne coûte rien à votre gouvernement. Êtes-vous prête aujourd’hui à nous annoncer officiellement la prolongation du moratoire actuel afin de nous permettre de terminer les études? »

À la suite de cette intervention, le cabinet de la ministre a contacté les PBQ afin de tenir une rencontre le 19 janvier prochain.

Question au ministre André Lamontagne :

« Les productions sous ASRA génèrent plus de 2 G$ de recettes annuellement, soit plus de 20 % des recettes agricoles du Québec. Elles sont un moteur de l’économie agricole québécoise. Depuis plus de 40 ans, de nombreux ajustements ont été faits au Programme pour qu’il conserve sa pertinence et son rôle de sécurité du revenu. Toutefois, même si les modèles sont actualisés tous les cinq ans et indexés annuellement, la rémunération de l’exploitant n’a pas été actualisée depuis 2005. À la suite d’un mandat donné par la FADQ, le CECPA a constaté que deux paramètres justifient l’actualisation et non une simple indexation. Ces paramètres sont basés sur les heures travaillées et sur les heures de gestion. Cette actualisation se traduirait par une hausse de la rémunération de l’exploitant. Les fonds sont disponibles à la FADQ, il n’y a aucune raison valable de ne pas procéder à l’actualisation de la rémunération de l’exploitant basée sur les heures travaillées et le temps de gestion. Quand allez-vous procéder? »

Les PBQ, en collaboration avec l’UPA, continueront de multiplier les représentations auprès des élus gouvernementaux afin de faire valoir la pertinence de cet ajustement de l’assurance stabilisation des revenus agricoles. Il est à noter que le ministre a décliné la demande des PBQ, mais qu’il a mentionné que cette décision n’était pas définitive ou éternelle.

Source : PBQ

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Plan d’agriculture durable du MAPAQ : les PBQ soumettent deux engagements

À l’automne 2020, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) dévoilait son Plan d’agriculture durable (PAD). Le PAD s’échelonne sur la période 2020-2030. Il vise à accélérer l’adoption de pratiques agroenvironnementales qui tiennent compte des préoccupations sociétales en matière d’utilisation des pesticides dans les pratiques agricoles ainsi que des engagements liés aux changements climatiques et au développement durable du gouvernement québécois. Le PAD veut assurer une cohésion entre la démarche agroenvironnementale et les pratiques agricoles des producteurs et productrices qui sont au cœur de l’action. Le PAD est doté d’une enveloppe de 125 M$ pour les cinq premières années.

Le plan de mise en œuvre du PAD 2021-2025 prévoit que les regroupements de productrices et producteurs agricoles ou de fédérations régionales (au moins trois) déposent des engagements pour la période 2021-2025. Ces engagements se traduiront par des actions structurantes menées avec des partenaires.

Compte tenu de l’engagement des PBQ dans un plan de durabilité, le conseil d’administration a jugé opportun que les PBQ déposent des engagements. Les PBQ en ont donc déposé deux qui leur ont permis d’avoir accès à l’appel d’offres du MAPAQ de septembre 2021 et de déposer deux projets.

Engagement des PBQ   Projet déposé

Former et accompagner les producteurs de bovins sur les pratiques à mettre en place à la ferme pour favoriser un habitat propice à la faune, notamment les oiseaux champêtres et les pollinisateurs, et pour améliorer la biodiversité

 

  Programme biodiversité en production bovine
Optimiser la gestion des matières fertilisantes pour réduire l’apport de matières fertilisantes azotées   Optimiser la gestion des matières fertilisantes en production bovine par la caractérisation

 

Les PBQ sont dans l’attente d’une réponse du programme d’aide financière pour démarrer les deux projets.


Source : PBQ

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Nouvelle édition du cahier Bovins du Québec – Spécial CIBQ maintenant disponible!

Source : TCN

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Reconnaissance des 25 années de service de Mme Isabelle Gingras

L’équipe de l’agence de vente des bouvillons est heureuse de souligner les 25 années de service de Mme Isabelle Gingras au sein des Producteurs de bovins du Québec. Au cours de toutes ces années, elle a contribué au développement de l’agence de vente et a assuré un service hors pair aux producteurs. Merci beaucoup Isabelle!

Source : PBQ

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Reconnaissance des 25 années de service de M. Jean-Sébastien Roy

L’équipe des PBQ est heureuse de souligner les 25 années de service de M. Jean Sébastien Roy au sein des Producteurs de bovins du Québec. Au cours de toutes ces années, il a contribué à divers projets spéciaux touchant tous les secteurs des PBQ et a assuré un service hors pair aux producteurs. Il a notamment été secrétaire du comité de mise en marché des bouvillons d’abattage et coordonne le service Bovitrace. En outre, il est le permanent responsable des dossiers de traçabilité. Merci beaucoup pour tout Jean-Sébastien!

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Calendrier des encans durant la période des fêtes (bovin de réforme et veau laitier)

Source : PBQ

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Transport des bovins de réforme et des veaux laitiers

Les modifications au Règlement sur la santé des animaux — partie XII — Transport des animaux sont en vigueur depuis février 2020. Il est donc important pour les producteurs de connaître les changements qui affectent leurs responsabilités par rapport au transport de leurs bovins.

Pour toute information sur le transport sans cruauté et le bien-être des animaux 

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

NouVeau en promo!

Depuis le 25 novembre, les producteurs de veaux du Québec sont les vedettes de la section Blogue sur le site Web d’Aliments du Québec. La nouvelle section Producteurs du site Web Veau du Québec est partagée sur le site Web et sur leur page Facebook. Deux portraits de productrices y sont présentés.

Pour terminer l’année en beauté et pour générer beaucoup d’engagement chez les abonnés, le concept de calendrier de l’avent est répété sur la page Facebook et la page Instagram du Veau du Québec durant tout le mois de décembre.

Un sondage a été réalisé par la firme Léger auprès de 1 000 répondants pour connaître les habitudes d’achats, de consommation et les perceptions à l’égard du veau. Voici les principaux constats :

  • L’achat et la consommation de veau sont surtout occasionnels;
  • Le veau est savoureux et nutritif, mais les répondants considèrent qu’il est dispendieux et ont l’impression qu’il s’agit d’un jeune animal;
  • Le Veau du Québec doit faire en sorte de changer les perceptions à l’égard du prix et démontrer que le veau est une viande accessible;
  • La mise en avant de l’origine québécoise des produits du veau est une bonne stratégie.

Une suggestion de recette de Noël : Rôti de filet de Veau du Québec au miel et au poivre rose, sauce au brie

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN

Entente avec les acheteurs pour la période des fêtes

Au cours des dernières semaines, le comité de mise en marché des veaux de grain a conclu une entente temporaire avec les acheteurs afin de mettre en place une stratégie d’écoulement des veaux lors de la période des fêtes.

L’objectif est de stimuler la sortie des veaux avant la période des fêtes afin de la diminuer lors des ventes des 15 et 22 décembre et, ainsi, réduire la pression d’abattage lors des semaines courtes de la période des fêtes.

Les acheteurs ont accepté de verser une prime lors des ventes du 24 novembre, 1er décembre et 8 décembre pour les veaux qui, abattus dans les neuf jours suivant la vente, auront un poids carcasse se situant entre 365 lb et 375 lb. Cette stratégie devrait permettre de répondre plus adéquatement aux besoins des acheteurs durant cette période et éviter l’engorgement dans la mise en marché.

Soulignons que les discussions se sont déroulées dans un climat de collaboration avec les différents acteurs de la filière.

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

 

Vaccination du troupeau reproducteur

À compter du 1er août 2023, les veaux d’embouche commercialisés dans le Circuit des encans spécialisés de veaux d’embouche du Québec devront provenir d’un troupeau reproducteur ayant été vacciné avec la protection foetale (FP).

Pour ce faire, l’implantation d’un protocole de vaccination du troupeau offrant la FP est nécessaire. La vaccination avec FP profite à la fois aux producteurs de veaux d’embouche et à leurs clients, les producteurs de bouvillons.

La protection foetale a comme avantages :

  • d’aider à prévenir les avortements causés par le virus de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR);
  • d’aider à prévenir les avortements causés par le virus de la diarrhée virale bovine (BVD);
  • d’effectuer le rappel annuel avec un vaccin vivant modifié (VVM) chez les vaches gestantes;
  • de vacciner les veaux allaités par une vache gestante elle-même vaccinée avec un VVM;
  • de prévenir ou d’aider à prévenir, selon le vaccin utilisé, l’immunotolérance au BVD et la naissance de veaux infectés par le virus avant la naissance (l’infection congénitale), mais qui ne sont pas immunotolérants.

Pour intégrer, mettre à jour ou poursuivre la vaccination de votre troupeau reproducteur avec protection foetale, contactez rapidement votre vétérinaire praticien. Celui-ci a déjà été avisé des modifications à venir grâce à la collaboration de l’Association des Médecins Vétérinaires Praticiens du Québec.

Pour plus d’information, consultez l’Info-circuit 2021.

Source : PBQ

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Circuit des encans spécialisés de veaux d’embouche du Québec – Inscription à la liste d’envoi électronique

Depuis la saison 2020-2021, les producteurs qui en font la demande peuvent recevoir la documentation complète du Circuit des encans spécialisés par courriel plutôt que par la poste.

Pour recevoir les documents par courriel, une minute suffit pour vous inscrire en cliquant sur le lien suivant : surveymonkey.com/r/circuitve.

C’est simple, rapide et accessible!

Nous vous souhaitons une saison 2021-2022 du Circuit remplie de succès!

Source : PBQ

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Récurrence bisannuelle de la deuxième visite de la campagne no 4 du Programme intégré de santé animale du Québec sur l’immunité dans les élevages vache-veau

Le 6 octobre 2021

Afin de soutenir l’amélioration continue des pratiques visant à améliorer l’immunité dans les élevages vache-veau, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) rendra désormais la deuxième visite de la campagne no 4, intitulée Optimiser la résistance immunitaire dans les élevages vache-veau, récurrente aux deux ans. Par conséquent, une exploitation vache-veau sera considérée comme admissible si elle a déjà reçu une deuxième visite et que cette visite n’a pas été effectuée entre le 1er avril et le 31 mars de l’année précédente.

Cette visite permettra à la productrice ou au producteur de vache-veau de mettre à jour les procédures normalisées établies lors de sa première visite pour la vaccination et la gestion du colostrum.

Les personnes qui désirent recevoir une visite en vertu de cette campagne sont invitées à communiquer avec leur médecin vétérinaire. Quant aux médecins vétérinaires qui veulent obtenir plus de détails sur les modalités de la campagne ou télécharger les documents utiles, ils peuvent consulter la page Web de la campagne à l’adresse www.mapaq.gouv.qc.ca/campagne4.

La campagne de sensibilisation et de prévention sur la résistance immunitaire dans les élevages vache-veau est le fruit d’une collaboration entre le MAPAQ, la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, Les Producteurs de bovins du Québec et l’Association des Médecins Vétérinaires Praticiens du Québec.

Source : PISAQ

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Enclos d’hivernement pour les bovins de boucherie : une solution gagnante!

Certains producteurs reconnaissent les avantages d’un site d’hivernement pour leurs bovins. Par exemple, la santé des veaux y est accrue et leur mortalité diminuée. Toutefois, ce ne sont pas tous les enclos d’hivernement qui sont installés de manière adéquate. Une bonne installation devrait permettre de loger le troupeau durant tout l’hiver, en assurant le confort des animaux et un nettoyage efficace, malgré la fonte des neiges et les grands froids. Fait intéressant : le coût de construction d’un enclos d’hivernement est relativement faible en comparaison des gains générés.

Dans cette vidéo, Mario Simard, propriétaire de la Ferme D.M. Simard S.E.N.C., présente l’enclos d’hivernement construit pour son troupeau. Jocelyn Jacob, conseiller membre du Groupe Bovi-Expert, nous explique l’importance des bandes végétatives et des glacières.

Source : PATBQ

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Deux nouveaux visages dynamiques se joignent à l’équipe du PATBQ!

Gabrielle Germain, diplômée en agronomie en 2018, occupera le poste de coordonnatrice du Programme d’analyse des troupeaux de boucherie du Québec (PATBQ). Elle a entre autres travaillé en recherche ovine à l’Université Laval et occupait le poste de chargée de projets en recherche et développement chez Conception Romain depuis 2018. Forte de son expérience en recherche et développement et en informatique, elle sera certainement un atout et une référence pour notre équipe.

Mélanie Lachance, diplômée en agronomie en 2001, occupera le poste de chargée de projets – PATBQ et CDPQ. Son poste précédent au sein du Bureau vétérinaire Global Porc lui a permis de réaliser plusieurs projets en production porcine depuis 2014 (ex. : Programme qualité « Excellence du porc canadien », recherche et développement, spécialiste technologies Gestal et Farmquest, etc.). Elle possède également une expérience de 10 ans en génétique porcine en tant qu’adjointe à la génétique chez Génétiporc.

Source : PATBQ

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Rabais de 25 % sur la formation « Gérer avec succès un enclos d’hivernage »

‘ | Obtenez 25 % de rabais sur la formation « Gérer avec succès un enclos d’hivernage » en utilisant le code promo lors de votre inscription sur CIBLE : https://bit.ly/2VDmhqt!

Offre valable jusqu’au 31 décembre 2021

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La formation « Gérer avec succès un enclos d’hivernage » s’adresse aux producteurs de bovins qui utilisent un enclos d’hivernage ou qui désirent en implanter un sur leur ferme. Elle est obligatoire pour ceux qui désirent bénéficier d’une aide financière du programme Prime-Vert.

Source : AgriCarrières

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VEAU D’EMBOUCHE ET BOUVILLON

 

Webinaires – Présentation du nouveau modèle de coût de production des secteurs veau d’embouche et bouvillon pour le programme ASRA

Tous les cinq ans, le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA) est mandaté par la Financière agricole du Québec pour effectuer un cout de production détaillé du secteur Veau d’embouche et du secteur Bouvillon d’abattage. En plus de soutenir la révision du Programme ASRA pour le produit Veau d’embouche et pour le produit Bouvillon d’abattage, cette étude est également utile à l’ensemble des intervenants, conseillers et producteurs. Elle sert, entre autres, de point de référence pour les entreprises désireuses de se comparer et d’améliorer leurs performances. Le présent webinaire vise à présenter les résultats technico-économiques du secteur Veau d’embouche et du secteur Bouvillon d’abattage tels qu’enquêtés par le CECPA pour l’année financière 2020.

Liens d’inscription aux webinaires :

Source : PBQ

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Progression du nombre de producteurs certifiés VBP+

En 2020 et 2021, le nombre de fermes certifiées VBP+ a progressé grandement. On dénombrait une cinquantaine de fermes certifiées en 2019, alors qu’à la mi-novembre 2021, ce nombre atteignait 148.

Rappelons que le programme national Verified Beef Production + (VBP+) est axé sur la salubrité des aliments, les soins aux animaux, la biosécurité et la participation communautaire. Il est reconnu par la Table ronde canadienne sur le bœuf durable (TRCBD) et permet de démontrer que des producteurs ont mis en place des pratiques qui donnent la priorité à la sécurité alimentaire, à la gérance de l’environnement, aux soins des animaux et à la participation dans leur communauté. Ces éléments sont les piliers de la définition du bœuf durable. La certification VBP+ de la ferme est l’une des conditions essentielles à la certification « durable » de l’animal. D’autres critères s’appliquent également pour assurer que la chaîne de valeur du producteur-naisseur au transformateur de bœuf est conforme.

Les formations sur le programme VBP+ ont elles aussi suscité de l’intérêt, car en 2020 et 2021 c’est 128 producteurs qui les ont suivies.

Source : PBQ

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En 2021, les webinaires VBP+ ont été populaires!

En 2021, les PBQ en collaboration avec le programme VBP+ et le Réseau Agriconseils ont offert aux producteurs de bovins du Québec une série de conférences en format webinaire qui ont touché les thèmes suivants :

  • la mise en marché;
  • le bien-être animal;
  • la santé;
  • les systèmes fourragers;
  • les crédits de carbone.

Cette offre d’activité a généré 1 358 inscriptions, 875 participants et 1 431 visionnements en différé.  

Cliquez sur le titre des conférences pour les voir ou les revoir : 

 

Source : PBQ

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RAPPEL : La TRCBD lance la mise à jour de l’Évaluation nationale de la durabilité du bœuf

Contribuez à la mise à jour! 

Appel aux producteurs de bœuf à contribuer à la collecte de données comparatives sur la durabilité

Qu’est-ce que l’Évaluation nationale de la durabilité du bœuf?

Lors de la création de la Table ronde canadienne sur le bœuf durable, la définition et les principes directeurs de la durabilité du bœuf au Canada ont été adoptés à partir de la Table ronde mondiale sur le bœuf durable, une organisation semblable travaillant à faire progresser la durabilité à l’échelle mondiale.

Le bœuf durable est un produit écologiquement sain, socialement responsable et économiquement viable qui priorise la planète, les personnes, les animaux et le progrès.

Les cinq principes directeurs suivants constituent la base de la définition de la durabilité du bœuf, qui sont tous fondés sur l’importance de la viabilité économique.

Afin d’améliorer continuellement la durabilité de l’industrie canadienne du bœuf, trois piliers fondamentaux du travail de la TRCBD ont été cernés, dont l’un est l’analyse comparative de la durabilité.

Il a été reconnu que pour déterminer comment progresser, nous devions savoir d’où nous partions. Par conséquent, l’une des premières initiatives entreprises par la TRCBD en 2014 a été de commander une Évaluation nationale de la durabilité du bœuf. L’évaluation et la stratégie de durabilité qui l’accompagne, publiées en 2016, ont fourni une base de référence complète de la ferme à l’assiette sur la performance de durabilité environnementale, sociale et économique de l’Industrie canadienne du bœuf et ont cerné des points à améliorer. Conformément aux lignes directrices et aux normes internationales, l’évaluation est fondée sur les données recueillies au moyen d’enquêtes auprès des producteurs et des entreprises de conditionnement, ainsi que de consultations avec de nombreux experts en la matière.  Des sources de données secondaires ont été utilisées pour compléter les données primaires de l’industrie recueillies, y compris des analyses documentaires approfondies et des données statistiques.  L’étude d’évaluation a été dirigée par un comité directeur de la TRCBD et examinée par un groupe d’experts externes.

Pourquoi est-ce important?

Les mesures de notre première évaluation, publiée en 2016, ont été largement utilisées pour démontrer le leadership du Canada en matière de durabilité à l’échelle mondiale, et ont joué un rôle crucial dans les efforts de communication de l’industrie du bœuf en ce qui concerne la production de bœuf durable au cours des cinq dernières années. L’ENDB fournit des chiffres concrets fondés sur des données scientifiques pour démontrer la durabilité du système de production de bœuf canadien, surtout en ce qui concerne notre empreinte environnementale. Certains des chiffres les plus percutants que nous utilisons constamment aident à dissiper les idées fausses au sujet de la production de bœuf au Canada. Voici quelques exemples :

  • notre empreinte de gaz à effet de serre (11,4 kg d’éq. CO2), qui ne représente que 2,4 % des émissions totales du Canada et, dans le contexte mondial, est inférieure à la moitié de la moyenne mondiale;
  • le potentiel de stockage et de séquestration du carbone de la production de bœuf au Canada (1,5 milliard de tonnes de carbone stockées dans les terres utilisées pour la production de bœuf);
  • notre contribution à la biodiversité (68 % de la capacité d’habitat faunique sur seulement 33 % des terres agricoles canadiennes utilisées pour la production de bœuf).

La Stratégie de durabilité qui a accompagné l’évaluation de 2016 a mis en évidence des indicateurs de performance clés et des mesures spécifiques à cibler pour une amélioration continue, ce qui a également contribué à élaborer les objectifs 2030 du secteur achevés plus tôt cette année.

Les données primaires recueillies auprès des agriculteurs et des éleveurs de tout le Canada au moyen d’enquêtes sont essentielles à la crédibilité et au succès des analyses du cycle de vie environnementales, sociales et d’utilisation des terres. Ces données sont complétées par des consultations avec des experts en la matière et des données scientifiques, qui sont utilisées pour dériver les hypothèses de modélisation des résultats de l’évaluation.

Comment participer?

Remplir un sondage auprès des producteurs de l’ENDB

Nous nous sommes fixés comme objectif de recevoir un minimum de 500 réponses. Le sondage sera ouvert le 1er octobre 2021 et se terminera le 7 janvier 2022.

Soyez l’un des 200 premiers producteurs à répondre au sondage et vous recevrez une carte-cadeau de 20 $ en guise de remerciement pour avoir pris le temps de contribuer.

Tous les sondages complétés seront inscrits au tirage au sort d’un grand prix d’un lecteur d’étiquettes (valeur de 1 100 $), généreusement offert par l’Agence canadienne d’identification du bétail. Une série d’autres lots de prix extraordinaires, d’une valeur totale de plus de 3 000 $, provenant des contributions des membres de la TRCBD dans l’ensemble de la chaîne de valeur du bœuf et au-delà, seront attribués par tirage au sort (par province ou région) parmi tous les répondants admissibles au sondage.

Merci à notre extraordinaire réseau de membres de la TRCBD qui comprennent la valeur de ce travail et qui ont contribué à ces prix en reconnaissance de votre temps et de vos efforts.

Le sondage comprend des questions pour les évaluations du cycle de vie environnemental et social au moyen d’un seul processus, et il devrait prendre de 30 à 45 minutes à remplir. Le sondage est disponible en anglais et en français.

Répondez au sondage en français dès aujourd’hui!

 Pour en savoir plus sur l’Évaluation et la stratégie nationales de la durabilité du bœuf et la stratégie, visitez le crsb.ca. Communiquez avec nous à projects@crsb.ca si vous avez des questions.      

Source : CRSB

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BOUVILLON

Orientation du secteur bouvillon

Les travaux du comité de mise en marché des bouvillons d’abattage (CMMBA) se poursuivent afin d’établir les priorités du plan de mise en œuvre visant à améliorer la rentabilité et à assurer la pérennité des fermes de bouvillons. Le CMMBA souhaite entamer un processus de consultation auprès des producteurs et des divers intervenants du secteur bouvillon afin de définir les priorités de travail.

Source : PBQ

 

À LIRE AUSSI : Producteurs de bouvillons et bovins d’abattage : simplification du processus de déclaration des volumes assurables

 À LIRE AUSSI : Reconnaissance des 25 années de service de Mme Isabelle Gingras

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

Producteurs de bouvillons et bovins d’abattage : simplification du processus de déclaration des volumes assurables

À compter de l’année d’assurance 2022, La Financière agricole du Québec (FADQ) utilisera uniquement les données d’Attestra pour établir le volume assurable de tous les bovins de boucherie assurés aux produits Veaux d’embouche et Bouvillons et bovins d’abattage à l’ASRA. Cette nouvelle façon de faire assurera le maintien de la qualité de l’évaluation du volume assurable tout en diminuant les démarches administratives pour les producteurs.

Un seul endroit pour transmettre vos déclarations d’événement

Que ce soit pour l’assurabilité ou la traçabilité de leur troupeau, il sera plus simple pour les producteurs de faire leurs déclarations d’événements (naissances, achats, ventes, mortalités, remplacements), puisqu’elles se feront à un seul endroit, auprès d’Attestra.

Quels sont les avantages?

  • réduction significative des pièces justificatives à transmettre;
  • retrait du délai de 45 jours pour la déclaration des entrées et des sorties; 
  • abolition des pénalités pour retard à produire les déclarations;
  • possibilité de consulter l’inventaire à la FADQ par l’entremise du dossier en ligne.

Fiche d’information disponible en ligne

Vous pouvez obtenir des précisions supplémentaires sur la méthode actuelle de transmission d’information et sur la démarche simplifiée qui s’appliquera à compter du 1er  janvier 2022 en consultant la fiche d’information disponible dans la section Assurance stabilisation/Documentation du site Web de la FADQ. Nous vous invitons à communiquer avec votre conseiller en assurance de votre centre de services pour plus d’information.

1 800 749-3646  |  www.fadq.qc.ca

Source : FADQ

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NOUVELLES DE LA CANADIAN CATTLEMEN’S ASSOCIATION

La CCA se réjouit de la progression des discussions sur l’ALE de l’ANASE

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Calgary, AB – En tant que partisan du libre-échange, la Canadian Cattlemen’s Association (CCA) se réjouit de l’annonce faite par le gouvernement du Canada d’entamer des négociations de libre-échange avec l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE).

« Le libre-échange est un élément important de la réussite économique du secteur canadien du bœuf », a déclaré Bob Lowe, président de la CCA. « Nous sommes heureux de constater la progression avec l’ANASE et nous nous réjouissons de l’ouverture de nouveaux marchés pour les exportations de bœuf canadien. »

Au sein du bloc de l’ANASE, un certain nombre de pays sont déjà couverts par l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP). Un exemple de réussite commerciale dans la région peut être donné par le Vietnam qui, depuis la mise en œuvre du PTPGP, est devenu un marché important pour le bœuf canadien. Toutefois, les producteurs de bœuf canadien s’intéressent aux marchés en croissance et espèrent pouvoir accroître leurs échanges avec des pays qui ne font pas partie du PTPGP, notamment les Philippines et la Thaïlande.

Alors que les discussions sur l’Accord de libre-échange (ALE) de l’ANASE sont en cours, la CCA a hâte de consulter les gouvernements et les intervenants et d’assurer un accord commercial significatif pour les producteurs de bœuf canadiens. La CCA a également soutenu la progression du commerce avec l’Indonésie par le biais de l’ALE Canada-Indonésie et continue de soutenir la croissance de ce marché potentiel.

Faits marquants :

  • Les producteurs de bœuf canadiens exportent environ 50 % du bœuf produit au Canada et ce commerce ajoute une valeur de 775 $ CA par animal par rapport à ce qui se passerait si les producteurs ne pouvaient vendre que sur le marché canadien.
  • Les exportations de bœuf canadien vers les Philippines étaient de 1 253 tonnes, d’une valeur de 5,2 M$ en 2020, mais étaient en forte hausse de janvier à septembre 2021, avec 4 145 tonnes, d’une valeur de 11,2 M$.
  • La croissance de ces marchés serait soutenue par un accord qui éliminerait les droits de douane de 10 % appliqués par les Philippines sur les coupes de muscles, de 5 % sur les foies et de 7 % sur les autres abats.
  • La Thaïlande n’est pas actuellement un marché pour le bœuf canadien, mais avec l’élimination des droits de douane actuels de 50 % sur le bœuf, la Thaïlande pourrait devenir un futur marché de croissance.


Pour de plus amples informations, veuillez contacter :
  
Association canadienne des éleveurs de bovins
communications@cattle.ca  

Source : CCA

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La CCA participe à la réunion des ministres de l’Agriculture des gouvernements fédéraux, provinciaux et territoriaux

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Le président de la CCA, Bob Lowe (deuxième à partir de la gauche), participant à la réunion des ministres de l’Agriculture des gouvernements fédéraux, provinciaux et territoriaux le 8 novembre 2021.

 

Les 8, 9 et 10 novembre dernier se tenait la réunion des ministres de l’Agriculture des gouvernements fédéraux, provinciaux et territoriaux (FPT) à Guelph en Ontario. De nombreuses parties prenantes nationales, incluant la Canadian Cattlemen’s Association (CCA) ont été invitées à y participer afin de présenter leurs priorités pour le prochain cadre stratégique pour l’agriculture. À la suite de la réunion, les ministres ont publié le communiqué, « Guelph Statement », qui s’aligne avec les priorités de la CCA. La CCA utilisera à bon escient cette dynamique et continuera de présenter ses priorités au gouvernement fédéral dans les mois à venir.

Les priorités énoncées dans le Guelph Statement incluent :

  • Faire face aux changements climatiques et viser la protection de l’environnement afin de soutenir la réduction d’émissions de gaz à effet de serre et la viabilité à long terme du secteur en permettant aux producteurs et aux transformateurs de bien se positionner pour profiter des retombées économiques provenant des exigences évolutives des consommateurs;
  • Continuer les investissements ciblés en science, en recherche et en innovation afin de surmonter les défis clés et de saisir les opportunités;
  • Soutenir l’agriculture durable et la croissance économique en créant les conditions essentielles pour que les entreprises canadiennes puissent affronter les défis toujours en évolution des marchés domestiques et mondiaux qui sont également interconnectés;
  • Renforcer les capacités et soutenir la croissance du secteur en reconnaissant le potentiel des produits de l’agroalimentaire et de l’agriculture à valeur ajoutée;
  • Améliorer la résilience pour anticiper, atténuer et répondre aux risques, incluant une série de programmes de gestion des risques de l’entreprise.

Lors des rencontres, l’accent a été mis sur l’environnement et les changements climatiques. Le président de la CCA, Bob Lowe, a participé à une table ronde avec les ministres et les représentants du secteur au sujet du rôle de l’agriculture dans la gestion des changements climatiques et la protection de l’environnement. M. Lowe a présenté l’important rôle que joue l’industrie bovine en ce qui a trait aux avantages environnementaux, de la séquestration du carbone à la protection de la biodiversité, et mentionné le besoin pour des investissements supplémentaires ainsi que des mesures incitatives destinées aux producteurs.

Bob Lowe a participé à une table ronde avec les ministres et des représentants de l’industrie.

Source : CCA

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L’industrie bovine canadienne en faveur d’investissements en agriculture; la CCA participe à des réunions de la COP

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Fawn Jackson de la CCA (centre) était panéliste à la COP26 le 3 novembre 2021.

Le 3 novembre dernier, la Canadian Cattlemen’s Association a publié un communiqué de presse afin de se positionner en faveur d’une augmentation des investissements en recherche agricole qui permettrait de faire avancer les objectifs de réduction d’émissions de méthane visés par l’industrie bovine canadienne.

L’industrie bovine canadienne continue à être un leader mondial en production bovine durable. Les producteurs de bovins gèrent des terres qui séquestrent 1,5 milliard de tonnes de carbone, ce qui est très impressionnant. L’industrie canadienne du boeuf émet la moitié moins de gaz à effet de serre par kilogramme produit que la moyenne mondiale. La clé afin d’atteindre ces objectifs est l’investissement en recherche et sa continuité pour l’application de la recherche à la ferme.

« Nous espérons que le gouvernement continuera à soutenir les producteurs canadiens et les partenaires de l’industrie alors que nous visons la mise en oeuvre éventuelle de solutions aux changements climatiques », a déclaré Bob Lowe, président de la Canadian Cattlemen’s Association. « Nous devons augmenter nos investissements en recherche et l’adoption de la recherche afin d’atteindre nos objectifs communs. »

Les plans de l’industrie visant la réduction des émissions de méthane grâce, entre autres, à des améliorations en génétique, en production et gestion des fourrages et des aliments et en santé animale. Les chercheurs sont particulièrement intéressés par les additifs alimentaires, dont le grand potentiel en réduction du méthane produit par le bétail se situe entre 20 et 70 % de réduction. Lorsque le gouvernement poursuivra ses objectifs, ses partenaires environnementaux, comme l’industrie bovine canadienne, devraient être inclus dans l’élaboration des politiques et de la planification des investissements.

Le communiqué de presse a été publié pendant le passage de Fawn Jackson de la CCA à la COP262021 United Nations Climate Change Conference à Glasgow où elle présentait au nom de l’agriculture canadienne et représentait l’histoire de l’industrie bovine canadienne.

Vous pouvez visionner sa présentation ici : Agriculture’s Ambition – delivering food security, resilience and mitigation in a changing climate

Source : CCA

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Cliquez sur le lien suivant pour consulter les nouvelles de l’Action News – 8 novembre 2021, 22 novembre 2021 et 6 décembre 2021 (en anglais seulement)

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NOUVELLES RÉGIONALES

CHAUDIÈRE-APPALACHES-SUD : Moisson Beauce distribuera 2 350 paniers de Noël

Avec le soutien de 55 organismes accrédités, Moisson Beauce distribuera 2 350 paniers de Noël en décembre aux personnes et familles en situation d’insécurité alimentaire. Ils contiendront des denrées non périssables, produits surgelés et réfrigérés, ainsi que des articles de soins corporels. Lire la suite

« On prend goût à vouloir aider les gens. La nourriture est à la fois un bien matériel et essentiel », a déclaré Sylvain Bourque, président des Producteurs de bovins de la Chaudière-Appalaches-Sud.

Source : Beauce Media

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ESTRIE : Soirées d’étables des Producteurs de bovins de l’Estrie

La pandémie continue de nous pousser à innover! En remplacement de notre Soirée bovine annuelle, le comité organisateur vous propose cette année deux nouvelles activités :

Inscrivez-vous au 819 346-8905, poste 5101 ou par courriel à ladubeau@upa.qc.ca

Ces deux activités sont rendues possibles grâce à la participation du réseau Agriconseils, de Sollio Agriculture, de la Financière agricole du Québec, du Centre de formation professionnelle – le CRIFA, de l’Hôpital vétérinaire de Sherbrooke et de la Banque Nationale.

 

Source : Les Producteurs de bovins de l’Estrie

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ESTRIE : Le milieu agricole estrien offre 18 000 $ en denrées alimentaires aux organismes de la région

COATICOOK. Le milieu agricole de l’Estrie a une fois de plus fait preuve de générosité en remettant plus de 18 000 $ aux différents organismes de la région offrant du soutien alimentaire, dont le Centre d’action bénévole de la MRC de Coaticook.

Parmi les donateurs, on retrouve Les Producteurs de lait de l’Estrie, Les Éleveurs de porcs de l’Estrie, le syndicat local de l’UPA de Coaticook, Les Producteurs bovins de l’Estrie et Les Producteurs acéricoles de l’Estrie. Lire la suite

Source : Le Progrès de Coaticook

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