INFOLETTRE
La Minute bovine : juillet 2023

 

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Nouvelles de La Financière agricole du Québec

Nouvelles de l’Association canadienne des bovins

Nouvelles régionales

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COUP D’ŒIL SUR LES MARCHÉS DU BŒUF ET DU VEAU

 

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Cliquez sur un secteur pour les prix du marché

BOUVILLON
BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER
VEAU DE GRAIN
VEAU DE LAIT
VEAU D’EMBOUCHE

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ÉVÉNEMENTS À VENIR

Filière bœuf et veau

WEBINAIRE : 5 SEPTEMBRE 2023 DÈS 19 H

Quelles sont les pratiques et équipements à mettre en place pour réduire les émissions de GES en production bovine? Voyez les stratégies pour réduire les émissions de GES par l’entreposage, le traitement et la gestion des fumiers.

Conférencier : Sébastien Fournel, agronome et professeur à l’Université Laval 

ACTIVITÉ GRATUITE | Cliquez ICI pour vous inscrire



Filière bœuf

 

ACTUALITÉS

Bœuf du Québec a fait son entrée chez Metro!

Grâce à un partenariat entre Les Producteurs de bovins du Québec (PBQ) et Montpak International, du bœuf haché de bovins élevés par des producteurs québécois dont la provenance est certifiée est désormais disponible en épicerie!

La marque de certification générique Bœuf du Québec, une initiative de l’agence de vente des bovins de réforme et veaux laitiers coordonnée par les PBQ, garantit la provenance de la viande et contribue à répondre à la demande du consommateur pour des produits locaux. La marque profite à l’ensemble de la filière bœuf québécoise. Restez à l’affût, la marque n’en est qu’à sa phase de prélancement! D’autres annonces suivront!

Source : PBQ

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Nouvelle édition du cahier Bovins du Québec disponible!

Source : PBQ

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L’ACB partage ses connaissances sur la fièvre aphteuse, les règlementations en matière de transport et les normes de santé animale lors d’une réunion du comité AGRI

Lire l’article original (version anglaise)

M. Matt Bowman, coprésident du Comité de la santé et des soins des animaux de l’Association canadienne des bovins (ACB), et le Dr Leigh Rosengren, vétérinaire en chef de l’ACB, ont participé à la réunion du Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire (AGRI) de la Chambre des communes concernant leur étude sur la biosécurité et la préparation aux situations d’urgence, le 5 juin 2023. L’ACB a profité de l’occasion pour mettre l’accent sur quelques priorités clés concernant le sujet à l’étude.

Tout d’abord, l’ACB a souligné l’importance d’une meilleure préparation à la fièvre aphteuse étant donné les effets néfastes qu’elle pourrait avoir sur l’industrie canadienne du bœuf, notant l’importance de la banque de vaccins qui a été annoncée dans le budget 2023. Outre la préparation à la fièvre aphteuse, l’ACB a mis l’accent sur les conséquences imprévues de la règlementation de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) en matière de transport et sur le risque de biosécurité qui en découle. Au cours de la période de questions et réponses, l’ACB a pu approfondir les normes de santé animale dans les exploitations de bovins de boucherie, parler des dispositifs d’enregistrement électronique (ELD) et de leur impact sur la santé animale, et discuter des règlementations à venir en matière de traçabilité. 

Écoutez les remarques préliminaires de M. Bowman aux membres du comité AGRI : allez directement à 20 :10 :49 (anglais seulement) :

Source : ACB

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Les Jeunes leaders de l’industrie bovine canadienne désignent leurs demi-finalistes pour 2023

Le programme Jeunes leaders de l’industrie bovine canadienne (JLIBC) de l’Association canadienne des bovins (ACB) est heureux d’annoncer ses demi-finalistes pour la prochaine année de programme 2023-2024.

Depuis sa mise en place par l’ACB en 2010, le programme JLIBC accueille des jeunes âgés de 18 à 35 ans de tout le Canada impliqués dans tous les domaines de la chaîne d’approvisionnement du bœuf pour construire la prochaine génération de leaders de l’industrie en offrant des opportunités uniques de mentorat, de formation et de développement professionnel et personnel.

 

 

Source : ACB

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Célébration de l’intendance environnementale : Ferme Sage, Québec

L’Association canadienne des bovins (ACB) est heureuse de présenter les lauréats provinciaux du prix d’intendance en lice pour le Prix d’intendance environnementale (TESA) de 2023.

Le récipiendaire du prix national de l’ACB sera annoncé lors de la Conférence de l’industrie canadienne du bœuf en août, à Calgary, en Alberta. Comme toujours, les lauréats ont en commun un profond sentiment d’obligation de prendre soin de la terre, de l’eau et des animaux.

Dans ce numéro, l’ACB présente le lauréat du Prix d’intendance environnementale 2023 des Producteurs de bovins du Québec, la Ferme Sage, propriété des exploitants Stan Christensen et Cheryl Sage, et de leurs fils, Ian et Eric.

 

 

Source : ACB

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Rappel enquête biodiversité

Notre enquête sur les pratiques agricoles favorables à la biodiversité est toujours en cours et nous vous encourageons à y participer si ce n’est pas déjà fait.

Si vous avez déjà rempli le questionnaire, nous vous remercions sincèrement de votre contribution.

CONTENU DE LA TROUSSE :

  • un nichoir pour Merlebleu de l’Est ou hirondelle bicolore
  • un hôtel à insectes
  • des graines de plantes mellifères.

COMMENT PARTICIPER?

Répondez à la question d’identification à la fin du questionnaire

 

 

 

 

 

 

Source : PBQ

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BOVIN DE RÉFORME ET VEAU LAITIER

Vos veaux laitiers correspondent-ils aux besoins des marchés?

Pour le savoir, consultez l’info-prix du secteur bovin de réforme et veau laitier disponible sur le site bovin.qc.ca.

Dans la section « quotidien » , sélectionnez le lieu de vente de vos veaux et comparez le prix reçu au prix minimum, moyen et maximum des veaux de même sexe et de même type. Vous pourrez ainsi déterminer si vous produisez les veaux les plus en demande, soit ceux qui obtiennent les meilleurs prix chaque semaine.

Source : PBQ

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Comment l’industrie peut-elle s’adapter au changement?

Le marché des veaux laitiers a grandement évolué depuis les cinq dernières années, suscitant un intérêt croissant de la part des producteurs et des acteurs de l’industrie. Comme suite aux travaux des Producteurs de bovins du Québec (PBQ) dans le cadre du projet d’utilisation de semence de taureaux de boucherie dans les troupeaux laitiers, plusieurs moyens ont été utilisés afin d’informer les producteurs de lait sur cette pratique.

Au cours des derniers mois, les PBQ ont été approchés par divers fournisseurs de semence de taureaux, tels que le Centre d’insémination artificielle du Québec (Ciaq) et STgenetics Canada, afin d’échanger des informations sur le croisement boucherie sur laitier. Mme Anaïs Gingras, agente à la mise en marché pour le secteur bovin de réforme et veau laitier, a été impliquée dans huit présentations organisées à travers le Québec et dans un podcast visant à partager des informations sur l’évolution du prix des veaux laitiers et les besoins des marchés. Elle y a également souligné l’importance de choisir des taureaux de boucherie qui favorisent le succès de l’ensemble de la filière bovine, autant pour la production de bouvillons que de veaux lourds. Lors de l’insémination de vaches laitières, il est important de sélectionner un taureau de boucherie en fonction du potentiel de croissance qu’il transmettra à sa progéniture, notamment en tenant compte des écarts prévus chez les descendants de poids à un an, de rendement en viande et de surface de l’œil de longe.

Cliquez sur les liens suivants pour accéder au guideà la capsule Web et au webinaire visant à informer et à outiller les producteurs de lait sur l’utilisation de semence de taureaux de boucherie en production laitière produits par les PBQ en 2020.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN

Des trucs et astuces à toutes les semaines!

Saviez-vous que vous recevez des trucs et astuces sur la certification à tous les vendredis à l’intérieur de votre VG-VL Hebdo?

Voici ceux de juin au cas où vous les auriez manqués :

Cliquez ICI pour télécharger la version PDF.

Source : PBQ

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VEAU DE GRAIN ET VEAU DE LAIT

Campagne BBQ de juillet

Les influenceurs Folks & Forks et Martin Goyette alias Guide de survie pour monoparental cuisinent le veau.

 

Pour sa dernière participation, Folks & Forks a proposé des brochettes de veau de grain à la française sur le BBQ; une recette dans laquelle elle met parfaitement en valeur la tendreté et le côté savoureux du filet de veau de grain. La recette a été publiée sous forme de REEL, de vidéo TikTok et stories Instagram. Cliquez ICI pour la recette.


 

De son côté, Martin Goyette alias Guide de survie pour monoparental a créé une recette d’escalopes de veau de lait farcies de tomates, roquette et fromage et enroulées de bacon. Il a su démontrer le côté abordable et facile à cuisiner des escalopes, tout en donnant un conseil pour préserver leur tendreté. Cliquez ICI pour la recette.

 

Source : PBQ

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VEAU D’EMBOUCHE

 

Bilan de la saison 2022-2023

La saison 2022-2023 du Circuit des encans spécialisés de veaux d’embouche du Québec s’est terminée avec un encan spécialisé à Sawyerville le jeudi 22 juin dernier.

Pour la période hiver-printemps 2023, il y a eu une diminution de 1 000 veaux (4 %) commercialisés dans les encans spécialisés comparativement à 2022.

Source : PBQ

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Prix moyen des veaux d’embouche

La tendance des prix pour les veaux d’embouche commercialisés au courant de la saison 2022-2023 connaît une hausse par rapport à la saison dernière. En effet, le prix moyen des mâles castrés de 600 à 700 livres est de 2,99 $/lb pour la période hiver-printemps 2023 comparativement à 2,19 $/lb pour la saison précédente. Le prix moyen de l’automne 2022 est de 2,57 $/lb pour cette même catégorie d’animaux alors que le prix moyen de l’automne 2021 était de 2,11 $/lb.

Concernant les femelles pour la même catégorie de poids, le prix moyen est de 2,50 $/lb pour la saison actuelle alors qu’il se situait à 1,82 $/lb pour la période hiver-printemps 2022. Le prix de l’automne 2022 était de 2,17 $/lb tandis que le prix moyen de l’automne 2021 était de 1,83 $/lb.

Le prix des veaux d’embouche commercialisés dans les encans spécialisés au Québec pour la période hiver-printemps 2023 était inférieur au prix de l’Alberta et supérieur à celui de l’Ontario.

Source : PBQ

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Carnet-Calendrier 2023-2024

Le carnet-calendrier de la saison 2023-2024 du Circuit des encans spécialisés de veaux d’embouche du Québec (Circuit) est maintenant disponible en versions papier et électronique.

Pour accéder à la version électronique, cliquez sur l’image à votre droite 

La documentation complète du Circuit se trouve ici

Pour recevoir les documents du Circuit par courriel, inscrivez-vous à la liste d’envoi électronique du Circuit au https://www.surveymonkey.com/r/circuitve.

Source : PBQ

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Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles : Les éleveurs de veaux d’embouche recevront un total de 47,2 M$ pour soutenir leur production

La Financière agricole du Québec versera un montant brut de 47,2 millions de dollars aux producteurs de veaux d’embouche dans le cadre de la première avance de compensation de l’année d’assurance 2023 au Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA). Après le prélèvement de leur contribution préliminaire annuelle au programme, les producteurs de veaux d’embouche recevront un montant total net de 18,9 millions de dollars, soit 57,02 dollars par vache et 0,6278 dollar par kilogramme de veau vendu.

Ce versement permettra aux producteurs d’avoir accès à des liquidités dans un contexte où le prix de vente est inférieur au coût de production. Ces liquidités permettront notamment aux producteurs de veaux d’embouche de l’Abitibi touchés par le manque de précipitations depuis le début de la saison de se procurer du fourrage.

Source : FADQ

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VEAU D’EMBOUCHE ET BOUVILLON D’ABATTAGE

 

Jusqu’à 13 200 $ de plus par année grâce à la tenue de registres!

Une étude réalisée au Canada en 2016 a trouvé qu’une entreprise vache-veau avec cent vaches saillies, qui fait de la tenue de registres, analyse ses données et utilise les comparatifs de l’industrie pour s’améliorer, pourrait gagner jusqu’à 13 200 $ de plus annuellement.

Il ne faut jamais sous-estimer les gains d’efficacité. Ils pourraient vous faire gagner gros!

Laissez VBP+ vous aider à devenir plus efficace dans votre gestion. Écrivez-nous au pbqcertification@upa.qc.ca pour plus de détails.

Source : PBQ

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Vous pensez à vous certifier VBP+, mais vous ne savez pas par où commencer ou ce que ça implique? Cette nouvelle série de courts articles vous dressera le portrait d’entreprises comme la vôtre, qui sont certifiées VBP+ et qui vivent les mêmes réalités que vous. Apprenez-en plus sur leurs histoires et comment ils voient la certification en production bovine. Et qui sait, vous serez peut-être l’ambassadeur VBP+ du mois prochain!

 

Pourquoi avez-vous décidé de vous certifier VBP+ et pourquoi avez-vous trouvé ça important de le faire?

« J’avais suivi la formation au tout début du programme, mais nous avons tardé à faire notre demande de certification. Nous avions mis ça de côté. Nous avons repris les démarches pour avoir notre certification en 2022. Pour nous, le programme VBP+ est assez simple. Je prenais déjà beaucoup de notes donc nous avons eu simplement quelques modifications à faire. J’aime la façon dont VBP+ est fait. C’est simple et nous pouvons faire nos registres à notre façon, pas de modèle obligatoire. Le retour financier sur les veaux vient rembourser le temps supplémentaire mis pour la gestion. Ce que le programme apporte de plus, à mon avis, c’est une meilleure image de notre industrie bovine auprès des consommateurs et une meilleure gestion des traitements. En écrivant tous les traitements, il n’y a pas d’animaux qui partent à l’abattoir avant la fin d’un retrait. »

Quel est l’élément de votre entreprise qui vous rend le plus fier?

« Nous avons construit un troupeau solide qui produit des veaux performants qui vont généralement chercher un petit plus à l’encan. De plus, je suis fier d’opérer une ferme familiale à dimension humaine qui pourra continuer à évoluer dans le temps et qui pourra accueillir une relève dans le futur. »

Remerciements

Nous tenons à remercier M. Germain Bédard de Ferme BFBG S.E.N.C., de Saint-Patrice-de-Beaurivage dans la région Chaudière-Appalaches, pour sa générosité et sa participation à notre série « Ambassadeurs VBP+ ».

Source : PBQ

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BOUVILLON D’ABATTAGE

Les marchés des bovins et de la viande bovine en transition : Une vision à long terme

Les marchés du bétail ont atteint des niveaux records au printemps 2023 et les perspectives sont relativement intéressantes pour les prochaines années. De telles conditions de marché n’ont pas été observées depuis 2015.

Au cours des cinq dernières années, les conditions de marché ont été relativement volatiles. Le cheptel bovin surpassait alors la capacité d’abattage des abattoirs américains laissant de grandes quantités de viande de bœuf en aval. 

Comme la demande pour la viande bovine était intéressante et en croissance, la solution pour les abattoirs, en plus de bénéficier de marges de profit intéressantes, a été d’ajouter une journée d’abattage le samedi ce qui était relativement rare avant 2015. En 2018, l’abattage du samedi était persistant et important. Les gros volumes d’abattage du samedi ont donc été la norme au cours des cinq dernières années afin d’éponger le surplus d’inventaire.

Les perturbations de la chaîne d’approvisionnement dues à la pandémie ont également eu un impact majeur sur le cheptel. Cet événement de santé publique survenu en 2020 a retardé l’abattage, la commercialisation et le placement des animaux, et a poussé les producteurs de bovins d’engraissement à retourner les animaux au pacage afin de ralentir le débit.

Ces éléments ayant bouleversé le marché ont fait l’objet d’une transition et nous avons assisté à une chute de l’inventaire du cheptel de bovins américains entre 2021 et 2023. Cette baisse s’explique en bonne partie par les importantes sécheresses ayant touché les principaux états producteurs de bovins lors des deux dernières années. La situation a donc rapidement changé en 2023 au niveau des marchés et sera assez différente de 2024 à 2026.

Le nombre de bovins sera considérablement réduit au cours des trois prochaines années. Actuellement, il y a moins de vaches de boucherie au pacage et il y aura donc moins de veaux et de bovins en engraissement. Cela se répercutera par une réduction de l’offre de viande bovine. Les effectifs devraient diminuer de 1 à 3 % par an pendant au moins les deux prochaines années. 

Le nombre de vaches de boucherie actuel aura une incidence sur l’offre de veaux de l’automne prochain. L’offre se resserrera davantage lorsque la reconstitution des troupeaux commencera et que les génisses seront envoyées aux pacages plutôt qu’en engraissement. Cependant, pour le moment, rien n’indique que les éleveurs de bovins de boucherie cessent de liquider les vaches et retiennent les génisses puisque le pourcentage de génisses de boucherie dans les abattages reste élevé malgré une légère diminution à l’automne dernier. Lorsque la reconstitution des troupeaux commencera, l’offre se resserrera encore pendant au moins un an. 

Les perspectives à long terme pour la production de bovins ainsi que l’offre de viande bovine seront très serrées, probablement plus qu’en 2014-2015. La probabilité d’une réduction spectaculaire de la part de marché de la viande bovine est assurément à prévoir.

Quelles seront les conséquences pour les prix du bétail et de la viande bovine? Il est clair que les conditions seront très favorables. Mais il faut aussi tempérer cet optimisme en tenant compte d’autres facteurs économiques comme la compétitivité face aux autres protéines animales ainsi que la demande d’exportation de la viande bovine.

Source : Farm Progress -Informa market par Stephen Koontz

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NOUVELLES DE LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC

Édition 2023 du Transac-TERRES : la valeur moyenne des transactions de terres agricoles continue de progresser

La Financière agricole du Québec (FADQ) présente l’édition 2023 du Transac-TERRES. Ce portrait illustre la valeur moyenne des terres agricoles transigées au Québec pour les années 2019 à 2021. En 2021, la valeur moyenne des terres agricoles transigées aux fins de l’analyse était de 16 627 $/ha comparativement à 14 166 $/ha en 2020, soit une augmentation de 17 %. Du côté des terres en culture, la valeur moyenne estimée était de 28 545 $/ha à l’échelle provinciale.

La FADQ a établi une nouvelle méthodologie de recensement et de calcul des données. Ces dernières proviennent d’une compilation de ventes effectuées en zone agricole et inscrites au registre foncier de 2019 à 2021. La dernière version du Transac-TERRES présente des sections particulières à chaque région accompagnée d’explications sur les variations observées.

La FADQ rappelle que la valeur unitaire des terres diffère d’une région à l’autre, mais aussi au sein d’une même région. Plusieurs facteurs influencent les conditions d’offre et de demande. Ainsi, le prix à l’hectare peut résulter des caractéristiques liées à la terre elle-même, telles que la qualité des sols, la morphologie du terrain et la localisation.

Source : FADQ

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Les producteurs agricoles soutenus face à l’incertitude  –  Paiement provisoire allant jusqu’à 75 % à Agri-stabilité

Chaque saison vient avec son lot d’aléas climatiques et économiques. Parmi les événements qui marquent ce début de saison 2023, mentionnons la présence de l’influenza aviaire H5N1, une conjoncture de marché fluctuante dans le secteur porcin, des conditions climatiques défavorables à la production acéricole dans certaines régions et des épisodes de gel tardif en mai affectant les cultures horticoles. À cela s’ajoutent des feux de forêt qui créent de l’inquiétude chez certains producteurs.

Ainsi, pour aider les producteurs agricoles à pallier certaines difficultés financières, le taux de paiement provisoire à Agri-stabilité est maintenu à un maximum pouvant atteindre 75 % du bénéfice estimé du programme pour l’année de participation 2023.

Les paiements provisoires permettent de devancer le versement estimé auxquel les participants ont droit afin d’avoir accès à davantage de liquidités pour mieux poursuivre leurs activités.

Rappelons également que pour combler vos besoins immédiats de liquidités, vous pouvez à tout moment retirer les soldes disponibles dans vos comptes Agri-investissement et Agri-Québec.

La participation aux programmes AGRI constitue une bonne stratégie afin de vous prémunir contre les risques du marché et les aléas climatiques.

 Le programme Agri-stabilité

Agri-stabilité protège la marge globale de votre entreprise contre les risques du marché et les catastrophes naturelles. Ce programme est disponible pour la plupart des productions agricoles. Il se base sur vos données financières réelles et stabilise votre marge de production en cas d’une baisse de vos revenus ou d’une augmentation de vos dépenses.

Pour être admissible à un paiement provisoire, vous devez respecter certaines conditions, dont :

  • Avoir confirmé votre participation au programme Agri-stabilité pour l’année de participation 2023
  • Avoir transmis vos données financières finales de l’année de participation 2022
  • Avoir subi une baisse de marge estimée à plus de 30 % par rapport à votre marge de référence
  • Au moins six mois de votre année financière 2023 doivent être écoulés et un cycle de production doit être complété au cours de votre année de participation

En s’inscrivant à Agri-stabilité, les producteurs participent automatiquement au programme Agri-Québec Plus. Celui-ci offre une couverture à 85 % de la marge de référence et est complémentaire au programme Agri-stabilité. Depuis 2023, les programmes Agri-stabilité et Agri-Québec Plus sont bonifiés par un paiement représentant 80 % de la baisse de marge couverte.

De plus, différents programmes de financement sont offerts pour vous soutenir en cas de besoin.

Pour plus d’informations, contactez votre centre de services.

1 800 749-3646 | http://www.fadq.qc.ca/

Source : FADQ

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NOUVELLES DE L’ASSOCIATION CANADIENNE DES BOVINS


Les industries canadiennes du bœuf et du porc s’opposent vivement à l’adhésion du Royaume-Uni au PTPGP en ce qui concerne la viande canadienne

Le Conseil des viandes du Canada (CVC), l’Association canadienne des bovins (ACB) et le Conseil canadien du porc (CCP) sont profondément déçus de l’accord annoncé par le ministre du Commerce aujourd’hui, accordant au Royaume-Uni (RU) l’adhésion à l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP).

 

 

Source : ACB

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Un investissement fédéral de 12 millions $ pour favoriser la durabilité environnementale, économique et sociale du secteur canadien du boeuf

Le Conseil de recherche sur les bovins de boucherie (CRBB) se réjouit du financement de plus de 12 millions $ accordé par le gouvernement du Canada à la grappe scientifique canadienne en production bovine et en cultures fourragères durables dans le cadre du Partenariat canadien pour une agriculture durable – Programme Agri-science. M. Francis Drouin, secrétaire parlementaire du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, a fait l’annonce de ce financement aujourd’hui, alors qu’il assistait au Stampede de Calgary. 

 

 

Source : ACB

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L’ACB surveille le projet de loi d’initiative parlementaire C-293 : Loi concernant la prévention des pandémies et l’état de préparation à celles-ci

Lire l’article original (version anglaise)

L’Association canadienne des bovins (ACB) a suivi de près ce printemps un projet de loi d’initiative parlementaire, le projet de loi C-293, présenté par la députée libérale Mme Nate Erskine Smith, qui porte sur la préparation en cas de pandémie. À première vue, ce projet de loi ressemble à une réponse à une pandémie qui relèverait de Santé Canada. Cependant, lorsqu’on y regarde de plus près, l’article 4.2.L du projet de loi mentionne « la règlementation des activités commerciales qui peuvent contribuer au risque de pandémie, y compris l’agriculture animale industrielle… promouvoir les activités commerciales… y compris la production de protéines de remplacement ». Ce projet de loi est très préoccupant pour l’ACB qui a travaillé avec d’autres parties prenantes pour aborder cette question de manière stratégique. Le projet de loi a été soumis au Comité de la santé avant que la session ne soit interrompue pour l’été. Lorsque le Parlement reprendra ses travaux à l’automne, les parties prenantes (qu’elles soient pour ou contre le projet de loi) seront invitées à soumettre des observations écrites et des demandes de comparution. L’ACB travaillera avec tous les parlementaires pour retirer de ce projet de loi les dispositions relatives à l’agriculture.

En deuxième lecture à la Chambre des communes, le projet de loi C-293 a été renvoyé au Comité de la santé avec l’appui des libéraux, du Nouveau Parti Démocratique et du Bloc Québécois. Les conservateurs ont voté contre le projet de loi. 

HESA a tenu une réunion avant l’interruption de la session d’été, au cours de laquelle Mme Erskine-Smith a présenté le projet de loi et répondu aux questions. HESA présentera des témoins pour une étude plus approfondie et examinera les témoignages avant d’envisager tout amendement au projet de loi. La HESA renvoie ensuite le projet de loi à la Chambre pour une troisième lecture et un vote. Le projet de loi est ensuite transmis au Sénat pour un examen plus approfondi. 

Comme pour tout PMB, il est très peu probable que ce projet de loi progresse rapidement. En effet, environ 1 % des projets de loi sont sanctionnés (et deviennent des lois). Toutefois, nous ne nous reposons pas sur nos lauriers et nous veillerons à ce que notre voix soit entendue par les parlementaires. Nous encourageons les producteurs concernés à contacter leurs députés et à leur faire part de leurs préoccupations.

Source : ACB

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NOUVELLES RÉGIONALES

CHAUDIÈRE-APPALACHES
Beau et chaud : parfait pour visiter le pâturage!

L’Atelier pâturage du 6 juillet dernier chez Le jardinier palmé, ferme d’élevage de bœufs Wagyu biologiques, a été un véritable succès!

Cet événement a réuni de nombreux producteurs de bovins passionnés. Ils ont eu la chance d’apprendre de précieux renseignements sur la gestion des pâturages tels que les critères de délimitation de parcelles, la planification de la rotation et la gestion des pâturages tout au long de la saison de croissance. Ils ont pu explorer les aspects liés au courant électrique des clôtures et apprendre comment éviter des erreurs.

Une découverte intéressante : un sol riche joue un rôle clé dans la lutte contre les mauvaises herbes. En effet, un sol pauvre favorise leur prolifération. Heureusement, nos vaches sont une source naturelle de fertilisant grâce à leur urine et leurs selles, ce qui est économiquement très avantageux.

Nous tenons à remercier le Conseil québécois des plantes fourragères, M. Jean Lambert et les experts de Sollio Agriculture et Agrizone BMR pour leur précieuse contribution à cette journée réussie. Restez à l’affût des prochains événements et formations qui vous aideront à améliorer vos pratiques d’élevage!

Source : PBQ

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OUTAOUAIS-LAURENTIDES
Beau et chaud pour observer la biodiversité en Outaouais-Laurentides

Quyon, le 11 juillet 7 h 30, une trentaine de participants dégustent café et muffins avant le départ pour l’activité du Programme biodiversité en production bovine. C’est à la Ferme Jae que se déroulait l’avant-midi consacré aux espèces en péril et leurs habitats ainsi qu’à une visite des milieux humides, endroit privilégié pour la rainette faux-grillon.

M. Blake Draper, qui utilise les terres pour le pâturage et les foins, nous a expliqué la pratique de la fauche retardée qu’il a mise en place pour la protection de la nidification des sturnelles des prés et du goglu des prés. Une sturnelle femelle nous a d’ailleurs accompagnés de son chant tout au long de la présentation du biologiste, M. Carl Savignac, sur les oiseaux champêtres. Le groupe s’est ensuite déplacé près d’un des étangs vernaux situé dans un champ de foin dont les caractéristiques se prêtent à l’habitat de la rainette faux-grillon. Mme Caroline Gagné, de Conservation de la nature Canada, a expliqué les habitudes de ce petit amphibien et le groupe a pu apprécier le chant choral des rainettes faux-grillon sur une application pour téléphone portable.

Après une bonne marche sous le soleil, quoi de mieux qu’une bonne gorgée d’eau et des discussions sur les actions positives des producteurs de bovins envers la biodiversité.

Cette activité, organisée par ALUS Outaouais, UPA Outaouais-Laurentides et les Producteurs de bovins du Québec, a été financée par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, dans le cadre du programme Prime-Vert.

Source : PBQ

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SAGUENAY-LAS-SAINT-JEAN
Atelier pâturage (Ferme de la Carpe) : 10 août 2023 

Une invitation du Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF) dans le cadre du Programme d’Actions à la ferme pour le climat (FAFC). Une occasion unique d’apprentissage par la manipulation d’équipements et l’échange avec des producteurs et des intervenants dans le domaine.

Ferme de la Carpe | 782 chemin Rousseau, Saint-Stanislas (au nord de Dolbeau)

Inscription obligatoire avant le 3 août auprès de Mme Elizabeth Lepage
En ligne : https://forms.gle/5STDcfsB3XjSC1F47
Courriel: elizabeth.lepage@optiboeuf.coop OU Cellulaire: (418) 569-1332